Dans la petite ville bretonne de Carnac, près de 3000 dolmens s’élèvent bien alignés en rang d’oignon sur près de 4 kilomètres. Servaient-ils à d’obscurs cultes religieux ? Étaient-ils utilisés comme calendrier pour l’agriculture ? Cachent-ils le corps des soldats de l’armée romaine qui auraient été transformés en pierre ? Pour le moment, personne n’a la réponse.
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