L'artiste Cai Guo Qi Ang, inspiré par les couleurs et les formes florales, a organisé un feux d'artifice sur le thème des fleurs de Primavera de Botticell, à Florence, en Italie.
Le photographe a a utilisé le ciel nocturne comme toile de fond pour photographier ce site naturel, illuminé par des millions d'étoiles, à Rockville aux États-Unis,
Dans une ambiance quasi-insurrectionnelle, plusieurs milliers de manifestants aux motivations très disparates ont laissé éclater leur colère dans plusieurs face-à-face violents avec les forces de l'ordre tout au long de la journée.
A plusieurs reprises, Libération a vu des convois de plusieurs véhicules de police littéralement pris d’assaut par des casseurs survitaminés, qui les ont contraints à déguerpir en vitesse. Plus loin, ce sont des policiers à cheval qui sont hués par la foule. A un autre endroit, les manifestants prennent même le volant d’une pelleteuse de chantier et avancent, comme un défi, vers les cordons de police.
Certains parisiens signalent à grand renfort de klaxons et d’applaudissements leur soutien aux gilets jaunes. On croise en ces passants qui lèvent le poing place de l’Opéra lorsqu’ils entendent «Macron démission !»...
Sur les Champs-Élysées, des gilets jaunes érigent des barricades et lancent des pavés
La manifestation de ce 24 novembre est marquée par des heurts entre manifestants et forces de l'ordre, qui ont utilisé gaz lacrymogènes et canon à eau.
La tension est montée rapidement. Le rassemblement de plusieurs milliers de gilets jaunes, mobilisés ce samedi 24 novembre pour "l'acte 2" de leur protestation contre la hausse des carburants, a été marqué à Paris par des heurts avec les forces de l'ordre.
La foule a convergé en milieu de matinée sur l'avenue des Champs-Élysées. Une partie des gilets jaunes a tenté de pénétrer dans un périmètre interdit d'accès incluant notamment les abords de l'Élysée, la partie basse des Champs-Élysées et la place de la Concorde. Elle a été dispersée par des tirs de gaz lacrymogènes et un engin lanceur d'eau.
La vieille ville de Mostar et le Stari Most (« Vieux Pont ») sur la Neretva, en Bosnie-Herzégovine. Détruit pendant la guerre de Bosnie-Herzégovine en 1993, le Stari Most a été reconstruit en 2004