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12.10.17
L'image du jour - 12-10-2017 - Un pont dans Central Park
11.10.17
Expressions populaires françaises - "Etre fleur bleue"
Signifie :
Être sentimental.
Par extension, être naïf.
Origine :
Cette expression contient un adjectif composé qui est extrait d'une locution parfois encore employée "cultiver, aimer... la petite fleur bleue".
Dans le langage des fleurs, le bleu pâle exprime une tendresse inavouée, discrète et idéale.
Il faut remonter à 1811 et à une oeuvre du jeune écrivain allemand Novalis (), qui était en réalité le baron Friedrich von Hardenberg, pour trouver l'origine de cette expression.
Dans son roman inachevé "Henri d'Ofterdingen" (Novalis est mort à 29 ans), il y évoque à sa manière la légende d'un trouvère médiéval qui, parti à la recherche d'un idéal, découvre la fleur bleue symbole de la poésie.
Les Allemands parlent d'ailleurs de "die blaue Blume der Romantik" ou "la fleur bleue du romantisme".
En traversant le Rhin, la fleur bleue a un peu changé de sens, puisque de la poésie, elle a été associée à une sentimentalité mélée de naïveté.
Exemple :
« Il vous faisait à volonté une missive qui, transmise à un graphologue, trahissait un homme d'affaires, riche, volontaire, mais au fond un cœur d'or, généreux avec les dames, ou un timide employé de banque, sentimental, prêt à tout croire, épris de petite fleur bleue. »
Louis Aragon - les Beaux Quartiers
Article - Veille nucléaire (présence anormale de ruthénium 106) !
Du ruthénium 106, un élément radioactif, a été détecté, fin septembre-début octobre, dans l’air de
plusieurs pays européens.
Sa présence a été signalée par les réseaux de mesure officiels en Norvège, Finlande, Pologne, Autriche,
République Tchèque, Suisse, Italie.
Le ruthénium 106 est un radionucléide artificiel (produit de fission), émetteur de rayonnements bêta, de
période relativement longue (1,02 ans). Il se désintègre en donnant naissance au rhodium 106, émetteur
de rayonnements bêta et gamma de période 29,8 secondes.
Les niveaux mis en évidence sont relativement faibles mais ont pu atteindre, en Europe centrale, plusieurs
dizaines de millibecquerels par mètre cube d’air (mBq/m3
) en valeur moyenne journalière.
C’est par exemple le cas en Autriche : à Vienne l’activité du ruthénium 106 était de 13,2 mBq/m3 en
moyenne sur 7 jours, du 25 septembre au 2 octobre, 46 mBq/m3
du 2 au 3 octobre, 11 mBq/m3
du
3 au 4 octobre ; valeurs inférieures à 0,2 mBq/m3 du 4 au 6 octobre.
En Pologne, l’activité du ruthénium 106 (sous forme d’aérosol) a atteint 6,4 mBq/m3 mais le
communiqué polonais ne précise pas la période d’échantillonnage.
En Suisse , une valeur de 1,9 mBq/m3 a été détectée dans le Tessin, sur le filtre du 2 octobre (9H) au
3 octobre (11H)
L'image du jour - 11-10-2017 - Le château de Hohenzollern
Le château de Hohenzollern, dans la municipalité de Bisingen, près de Stuttgart (Allemagne).
Football - France 2, Biélorussie, 1 -
L'équipe de France sera bien au rendez-vous du Mondial 2018 en juin prochain. Et à l'image de l'ensemble de sa campagne de qualification, l'épilogue du soir fut laborieux. Face à des Biélorusses sans complexes qui ont joué le jeu jusqu'au bout, la France a quand même fini par prendre son destin en main pour décrocher une victoire (2-1) qui suffit à son bonheur.
C'est donc une 6e phase finale de Coupe du monde que la France ira disputer durant l'été prochain. Une régularité louable à ce niveau quand on voit les difficultés rencontrées par des nations comme les Pays-Bas (absente des Mondiaux 2014 et 2018) ou même l'Angleterre(Euro 2008) pour se qualifier pour les grandes compétitions. Finaliste du dernier Euro, la France a toutefois attendu l'ultime rencontre de cette phase de qualifications pour valider son ticket quand dans le même temps, les favoris espagnols et allemands survolaient leurs groupes respectifs. De quoi nuancer cette qualification qui apparaît comme un moindre mal au vu du potentiel, notamment offensif, que possèdent les Bleus.
Le Point - France
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Footbal - Mondial 2018 - France 2
Football - Portugal 2, Suisse, 0
L’équipe de Suisse n’a pas pu éviter le pire des scénarios, celui qui consistait à se laisser coiffer sur le fil par le Portugal. Elle devra donc passer par le barrage de novembre afin d’assurer sa place lors de la prochaine Coupe du monde. Sur ce qu’elle a montré hier soir, ou plutôt sur ce qu’elle n’a pas réussi à développer, le verdict ne souffre aucune discussion. Même sans se montrer irrésistible, le champion d’Europe s’est révélé supérieur, aussi bien dans son expression collective que dans la valeur de ses individualités, à commencer par le magnifique Bernardo Silva. Et jusqu’à preuve du contraire, c’est souvent le talent pur de quelques-uns qui, dans les grands moments, contribue à faire les différences marquantes.
Jusqu’à la fin, jusqu’à n’en plus pouvoir, jusqu’à ce que tout s’arrête dans un silence intérieur assourdissant: l’Estadio de la Luz aura été le cimetière immédiat des espérances helvétiques. Mais cette cathédrale ne doit pas devenir le tombeau éternel des âmes suisses, fussent-elles torturées aujourd’hui. En tête du groupe B durant tous les éliminatoires, la Suisse termine donc à égalité de points avec le Portugal (10 matches, 27 points), mais au 2e rang pour une différence de but défavorable. C’est cruel, dur, mais il y a un avenir à envisager: un barrage aller-retour dans un mois.
La Tribune de Genève - Suisse
10.10.17
L'image du jour - 10-10-2017 - Le village de Novo Mesto (Slovénie)
Le village de Novo Mesto (Slovénie) en hiver, au bord de la rivière Krka.
9.10.17
L'image du jour - 09-10-2017 - Hôtel de ville de Werdau dans la Saxe (Allemagne).
8.10.17
L'image du jour - 08-10-2017 - Un arbre par fort givre, en Forêt-Noire (Allemagne)
Un arbre par fort givre, en Forêt-Noire (Allemagne).
7.10.17
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