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28.4.16

Séisme en France: des répliques possibles

La terre a tremblé ce jeudi matin en Charente-Maritime. L'épicentre se situe entre La Rochelle et Rochefort
Un tremblement de terre de magnitude 4,9 s'est produit ce jeudi avant 9 heures entre La Rochelle et Rochefort. Il a été largement ressenti dans l'Ouest de la France.


De La Rochelle à Rochefort en passant par Saintes, nombreux ont été ceux à ressentir pendant quelques secondes une forte secousse ce jeudi vers 8h45. Il s'agit d'un tremblement de terre, confirme le Réseau national de surveillance sismique (Renass) joint ce jeudi peu après 9 heures. Aucune victime n'est à déplorer mais il faut s'attendre à de possibles répliques.


La préfecture de la Charente-Maritime communique : "La forte secousse ressentie ce matin à 8h46 est imputable à un séisme de magnitude 5,2 (magnitude réévaluée à 4,9 en milieu de journée) dont l'épicentre se situe entre La Rochelle et Rochefort.

A cette heure, cet événement a fait l'objet de nombreux appels auprès des services d'urgence mais aucun sinistre n'a été signalé et aucune victime n'est à déplorer. Le recensement plus précis des conséquences est en cours, en particulier auprès des collectivités locales et des établissements sensibles.

Les habitants sont invités à faire des vérifications de précaution d'usage dans les maisons et les entreprises sur les installations électriques et de gaz. Ils sont également invités à signaler toute suspicion aux services de secours et les dégâts auprès de leur mairie.


Sud-Ouest - France

27.4.16

L'image du jour - 27-04-2016 - Le pape tend la main aux fidèles

Le pape tend la main aux fidèles




Le pape François salue la foule au terme de l’audience générale sur la place Saint-Pierre de Rome, le 27 avril 2016.
REUTERS/Alessandro Bianchi

26.4.16

Barbara - "Dis, quand reviendras-tu?" (Classiques de la chanson française) - Video - Musique

"Dis, quand reviendras-tu?"

L'image du jour - 27-04-2016 - L'hiver contre-attaque

L'hiver contre-attaque




Un homme promène son cheval sur un chemin enneigé à Gnadenwald, en Autriche, le 25 avril 2016. Lors de la dernière semaine d’avril les températures en Europe sont tombées bien en dessous des normales de saison.
REUTERS/Dominic Ebenbichler

Texte - Marianne – “dit Titi Clown”


J’étais tranquille et peinard, je ne marchais pas au hasard puisque je baignais dans un insouciant farniente de bonheur confortable dans le ventre de ma maman. Ô, bien des sons intrigants appelaient mon attention ; naturels, ils faisaient partie de la vie heureuse, celle que l’on croit, va durer l’éternité… C’était, je crois, en juin de 1950, puisque en mars de l’année suivante je débarquais dans le monde que je ne savais pas encore cruel…

Et, quelque temps après, je commençais le parcours de la vie ; rampant, me redressant et marchant, finalement, comme il est prévu dans les gênes des êtres.

Là, je suis obligé de faire un grand bond dans le temps ; non pas que ma vie ait été inintéressante mais, simplement, parce qu’elle pourrait ressembler à toute vie commune des êtres qui naissent, vivent et meurent…

La mort nous guette avant même notre naissance et, comme tous, j’y ai été confronté ; mort du père et, en suivant, celle de la femme qui m’a mis au monde avec, dans l’espace, d’autres êtres très chers aussi. Et puis la mienne, en 1991… Non, non, aussi extraordinaire que cela paraisse, j’ai survécu…

La vie est faite, aussi, de grands bonheurs, heureusement ; je dédierai d’autres textes à la naissance de ma Nini, mon premier amour-né ; et Daniel, ma fierté de garçon… S’ensuivit Sophie que j’ai « chouchouté » à l’infini…

Mais il me restait une avant dernière mission : celle de contribuer à mettre au monde un petit être extraordinaire : le "P’tit Clown", pour mettre un peu de baume dans mon cœur après la disparition d’autres êtres aimés.

Et mon rayon de soleil est arrivé le 15 décembre 1992 !

Comprenez-vous pourquoi j’écris en ce jour ?

C’est son anniversaire ! Et mon P’tit Clown a 20 ans. C’est le plus beau des anniversaires !

Titi, je l’ai voulue, je l’ai choyée, je l’ai aimée et aujourd’hui je l’adore et fier d'elle.

Rio de Janeiro, le 15 décembre 2012.

JoanMira 

24.4.16

Photos - "Ile d'Oléron - France" - 09-08-2014

"Ile d'Oléron - France"

09-08-2014
JoanMira

L'image du jour - 24-04-2016 - Transhumance des moutons en Hongrie

Transhumance des moutons en Hongrie




Un berger hongrois mène ses bêtes, des moutons Racka, au moment de la célébration de la nouvelle saison de pâturage de l’Alföld, la grande plaine de Hongrie dans l’Est du pays.
Credit: Reuters/Laszlo Balogh
http://eurone.ws/4n1QCB

23.4.16

L'image du jour - 23-04-2016 - A la recherche de Don Quichotte

A la recherche de Don Quichotte


Une vue enchanteresse des moulins à vent au crépuscule, à Campo de Criptana, en Espagne. D’après les habitants, ils auraient inspiré Miguel de Cervantes pour raconter la bataille entre Don Quichotte et les moulins à vents, qu’il aurait pris pour des géants.
REUTERS/Susana Vera

18.4.16

Texte - "Aveu"

C’est vrai, j’avoue.

J’ai trop déconné dans la vie ; je n’ai pas été le mec parfait voulu par mes parents…

J’ai déconné  adonf ; les sorties, l’alcool, les virées, les copains, le sport, les restos, les bagarres : j’ai vécu.

Je ne regrette rien ; si, peut-être, de n’avoir pas été plus prudent ; je n’aurais, alors, pas été jeune.

Aujourd’hui, pensant aux temps passés, je réalise que tout est lisse ; les gens ne s’invitent plus chez les amis passé 20 heures.

On prend rendez-vous, le calendrier des vacances scolaires dans l’œil, « faut 
Pas déranger » !

Quand à la fin du XXème siècle le « téléphone portable » n’existait pas encore, les gens allaient les uns chez les autres et, même tard, ils s’attardaient en connivence ; les problèmes se réglaient même à deux heures du matin, face à face, les yeux dans les yeux .

C’était le joli temps de l’amitié de la solidarité et de l’aventure.

Bordeaux, le 18 avril 2016


JoanMira

L'image du jour - 18-04-2012 - Des néo-prêtres s'allongent devant Dieu

Des néo-prêtres s'allongent devant Dieu


Des prêtres nouvellement ordonnés s’allongent devant l’autel de la Basilique Saint-Pierre pendant une messe du pape. A travers ce geste, ils montrent leur dévouement à Dieu.

17.4.16

Texte - J'adore les animaux

C’est vrai; j’adore les bêtes, les vertébrés et les autres;
Ils sont magnifiques dans leur domaine sauvage; vrais...

Mais je ne déteste pas, non plus d’autres êtres vivants ; même pas l’homme idéal !

L’Homme idéal est cet animal doté d’intelligence, dit-on, qui met celle-ci à profit afin de rendre le plus infernal possible le parcours de ses semblables !

Il vit pour cela. C’est son but ; il ne voit pas au-delà de son horizon merdique : se lever aux aurores pour ne pas irriter son patron, " casser la croûte" avec, si possible un "litron", redoubler d’effort pour récupérer le temps perdu et, à l’heure du déjeuner, manger  un bout en vitesse et, les mains toujours dégueulasses, s’affairer à la tache ; patron déjà là oblige.

"Ben, bon", le patron il n’est pas si mauvais ; même qu'ils diraient qu’il est sympa, tellement il consent à leur adresser la parole :

-         Salut Bernard, ca va ? Le Portos, où il est ?
-         Toujours au boulot ?! Oh le Fils de pute, mais y s’arrête donc jamais ?!
-         Putain, mangez bien et vite car c’est aprem’ il va falloir mettre les bouchées doubles ; faut finir la fondation !

Et ils se lèvent tous, rôtant le pinard même pas digéré… Manuel, le Portos, arrive :

-         Eh, les "coupeins", vous partez d’jà ?
-         Et oui mon pote, la fondation n’attend pas !

Et Manuel, sans avoir avalé une seule goûte du rouge acide qu’il adore se remet au travail...

Il est fatigué Manu ; la journée a été longue et le soleil n’est pas encore couché ; les collègues sont déjà en train de se changer dans la baraque de chantier…

Lui s’empresse de laver le matériel ; il va enfin pouvoir boire un coup avec son patron et collègues…

…Salut Manu ; ferme tout et à demain !

Ils sont partis… Manuel n’a plus ni faim ni soif, il est anéanti.

Il voyage en solitaire ; sa vie est d’un néant absolu ; à la porte de son "chez-lui", seul, il regarde la pleine lune, l’infini peuplé d’étoiles, se retourne, rentre et allume sa radio à ondes courtes…

…AQUI PORTuga…

Morreu…sem ouvir a emissão preferida que lhe poderia ter aconchegado o coração…

Il a râté, malheureusement aussi toutes ces conversations que nous écoutons quotidiennement dans les transports, en métro, tramway ou bus :

- “Salut cocotte, là chuis dans le bus, j’arrive à Martyrs de la Résistance
(le quartier des Resi-Martiriens) et j’sors chez les Ali-Rogerois (station de Roger Alô)…

- Tu me rejoins?

- Ah mais non, chuis chez les Médardois (Barrière de Saint-Médard), on est au moins à cinq minutes et je viens de retrouver mon copain Lesparre chez les Parcois. (Parc Bordelais) On se voit demain?

Reprenant son portable elle a eu ces mots mémorables:

- Ok?

Imitée par son copain:

-  Ciao!

Et voilà, que le monde est beau!

Pour en venir au début: j’adore les animaux; et c’est parce que je les aime que je ne veux pas en avoir dans ma case; aimer un animal ne signifie pas simplement le cajoler quelques instants par jour; le caresser quand l’envie nous prend;

Par expérience je sais leur fidélité et leur sentiment humain .

Bravo les bêtes et tant pis pour le “genre humain”.

(Dédié à "Pirolito", "Dick", "Snoopy" et...autres...leur âme me pardonnera sans doute les oublis).

Bordeaux, le 17 avril 2016.


JoanMira  

Christophe - "Succès fou" - Video - Musique - Live

"Succès fou"

Jean Louis Aubert - "Un autre monde" - Video - Musique - Live

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"Un autre monde"

L'image du jour - 17-04-2016 - Dans les coulisses du Grand Prix de Chine

Dans les coulisses du Grand Prix de Chine




Des hôtesses se tiennent prêtes avant les séances de qualification du Grand Prix de Chine de Formule 1 à Shangaï.
Reuters/ Aly Song

Indochine - "J'ai demandé à la lune" - Video - Music - Live

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"J'ai demandé à la lune"