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21.1.13

Images du monde - Chine

Coucher de soleil après la pluie, un tableau chinois parfait à Shicheng le 19 janvier.
 
Coucher de soleil après la pluie, un tableau chinois parfait à Shicheng le 19 janvier.

Photo - Belles places du Monde - Piccalilly Circus

Piccadilly Circus à Londres
La fontaine, surmontée d'un ange, sur Piccadilly Circus est un hommage à Lord Shaftesbury, un célèbre philanthrope britannique.

19.1.13

Photo - Belles places du Monde - Times Square - New York

Times Square à New York
Plus de 365 000 personnes passent chaque jour par Times Square, à New York. Initialement baptisée Longacre Square, la place a pris le nom de Times Square lorsque les bureaux du New York Times s'y sont installés.

Photos - Animaux - L'oiseau et la pomme

Un oiseau essaie de manger une pomme à Kaufbeuren.

Un oiseau essaie de manger une pomme à Kaufbeuren.
KARL-JOSEF HILDENBRAND/AFP

Photos - Animaux - Le requin joueur

Un requin-tigre s'est pris d'affection pour un plongeur. Le requin-tigre fait partie des espèces de requin dangereux pour l'homme.DEL VILLAR/CATERS NEWS AGENCY

Un requin-tigre s'est pris d'affection pour un plongeur. Le requin-tigre fait partie des espèces de requin dangereux pour l'homme.


Photos - Animaux - Au Canada, Les ours dansent!

Deux ours donnent l'impression de danser, dans le région de Manitoba au Canada.CATERS NEWS AGENCY/SIPA

Deux ours donnent l'impression de danser, dans le région de Manitoba au Canada.

L'image du jour 19-01-2013

Festival de sculpture sur neige en Chine

Festival de sculpture sur neige en Chine
Sculpture de neige réalisée dans le cadre du festival de Harbin, en Chine.
Sheng Li/REUTER

Desenho - "Une impression"

Une impression - 01-04-2009

18.1.13

Photo - Oliana Mira




OLIANA MIRA
 
(ma petite-fille)

Photo - Belles places du Monde - Tian'anmem - Chine

Par , publié le
Place Tian'anmen à Pékin
Avec une superficie de 40 hectares, la place Tian'anmen en Chine, est l'une des plus grandes du monde, juste derrière Merdeka Square à Jakarta et Praça dos Girassois au Brésil.

Faim dans le Monde: Un affreux gâchis

Près de quatre milliards de tonnes de nourriture sont produites chaque année sur la planète, mais 1,2 à 2 milliards ne seront jamais consommées, affirme une étude réalisée par l'Institut (londonien) du génie civil, qui fait grand bruit.Cause du gaspillage : des récoltes mal faites, des déficiences dans le 
stockage et le transport et l'irresponsabilité des distributeurs et des 
consommateurs.
En ce qui concerne la nourriture en supermarché, 30 à 50% de ce qui est acheté dans les pays développés sera jeté par les clients, la plupart du temps à cause de leur mauvaise compréhension des mentions "à consommer de préférence avant" et "date limite de consommation", précise le rapport. En outre, les offres promotionnelles et les remises quantitatives encouragent les consommateurs à acheter plus que ce dont ils ont besoin. Et à remplir les poubelles en conséquence.

 
La moitié de la nourriture est jetée.
 
Près de quatre milliards de tonnes de nourriture sont produites chaque année sur la planète, mais 1,2 à 2 milliards ne seront jamais consommées, affirme une étude réalisée par l'Institut (londonien) du génie civil, qui fait grand bruit.

Cause du gaspillage : des récoltes mal faites, des déficiences dans le stockage et le transport et l'irresponsabilité des distributeurs et des consommateurs.

En ce qui concerne la nourriture en supermarché, 30 à 50% de ce qui est acheté dans les pays développés sera jeté par les clients, la plupart du temps à cause de leur mauvaise compréhension des mentions "à consommer de préférence avant" et "date limite de consommation", précise le rapport. En outre, les offres promotionnelles et les remises quantitatives encouragent les consommateurs à acheter plus que ce dont ils ont besoin. Et à remplir les poubelles en conséquence.
Dessin de Tom paru dans Trouw

Manoel de Oliveira, un cinéma marqué par le doute

Manoel de Oliveira est le plus vieux réalisateur de films encore en activité - Nuno Beirao/FlickR/CC

Hospitalisé en début d'année, le réalisateur portugais, 104 ans, prépare un nouveau film. Accordant rarement des interviews, il parle ici de la vie, du cinéma et de la foi.
 
Vos projets inaboutis sont aussi nombreux que ceux portés à l'écran.
MANOEL DE OLIVEIRA C'est exact. Mais ma filmographie a l'Histoire pour fil rouge. Aniki-Bobó [son premier long-métrage en 1942 sur le quotidien d'enfants des quartiers populaires de Porto] représente en partie mon enfance et les films qui ont suivi ont acquis un caractère toujours plus historique. Mes films évoquaient la plupart du temps des événements historiques. Puis je me suis intéressé à l'histoire du cinéma. Aujourd'hui, on considère le cinéma comme un mouvement. Mais le mouvement n'existe pas. Ce qui existe, ce sont les choses qui évoluent dans l'espace. Et cela représente du temps. Quand les frères Lumière ont réalisé à trois reprises un film sur la sortie d'usine des ouvriers, ils ont voulu imprimer du mouvement à des personnages.
Vous avez eu l'idée audacieuse de filmer l'histoire du Portugal à travers ses défaites dans Non, ou la vaine gloire de commander (1990). Pourquoi un tel choix ?
Camões fait dire au vieux du Restelo [personnage des Lusíadas – épopée nationale écrite au XVIe siècle – qui symbolise les sceptiques quant au succès des conquistadors portugais] la chose suivante : "Prenez garde aux victoires, car elles peuvent produire des défaites." Et c'est ce qu'il s'est produit. Tout ce que nous faisons laisse présager une défaite. Un philosophe a affirmé que l'Histoire était finie, car, désormais, on écrit des romans. Et dans un film historique, personne ne raconte fidèlement les événements.
L'Histoire est-elle, d'une certaine façon, une fiction ?
C'est une fiction. Plus nous en sommes conscients et moins nous avons l'illusion de réaliser véritablement un film historique. [Changeant de sujet ou peut-être pas – note de l'intervieweur] Dans Guerre et Paix, un noble est blessé et sait qu'il va mourir, il se demande ce qu'est la mort. Il regarde autour de lui et voit une porte. Il dit alors : "Ah, c'est une porte !" C'est une porte qui a une sortie mais dont on ne connaît pas l'entrée.
Vous pensez qu'il y a quelque chose derrière la porte ?
Le doute existe. Saint Paul disait que si le Christ n'était pas ressuscité toute notre foi serait vaine. La religion elle-même est empreinte de doute. Personne ne peut dire ce qu'il y a derrière la porte.
Outre l'Histoire, il y a un autre thème central dans votre œuvre, celui des amours frustrés.
La vie est une défaite. Les gens vivent dans la défaite. On naît à contrecœur et nous ne sommes pas maîtres de notre destin.
La persistance est un des aspects les plus admirables de votre parcours, la notion que vous aviez un chemin à suivre même si le public ne le comprenait pas.
J'ai été élevé dans une famille catholique. Un jour, un prêtre, ami de mon grand-père, rend visite à l'hôpital à un autre prêtre et lui dit : "Ah ! tu as vraiment très bonne apparence." Le malade lui répond : "Je n'ai pas à me plaindre de mon apparence." Cette anecdote répond à beaucoup de choses. L'apparence ne permet pas de tirer de conclusions.
Mais la conviction que votre cinéma était différent vous a-t-elle aidé à ne pas vous décourager ?
J'admire les saints... plus que les révolutionnaires.
Pour quelle raison ?
Parce que les saints œuvrent dans l'abstrait.
Proposez-vous au spectateur d'être ouvert à l'idée de mystère ?
Le monde est complexe, incompréhensible, sans doute moins pour ceux qui croient fermement à quelque chose que pour ceux qui vivent dans le doute. Ce que je leur propose, c'est le doute. Le doute est une manière d'être.
Et vous gardez la foi dans le cinéma ? Ou là aussi vous éprouvez des doutes ?
C'est la même chose que d'avoir foi en l'honneur. Mais qu'est-ce que l'honneur ?
COURRIER INTERNATIONAL

Photo - Belles places du Monde - La Concorde - Paris


Place de la Concorde à Paris
 
L'obélisque, situé sur la Place de la Concorde, est le plus vieux monument de Paris. Erigé sous le règne de Ramsès II au XIIIe siècle avant J-C., il a été offert à la France en 1836.