Passation de pouvoirs
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15.5.12
L'écrivain mexicain Carlos Fuentes est mort
L'écrivain mexicain Carlos Fuentes est décédé ce mardi à Mexico, à l'âge de 83 ans, a annoncé le président de la République Felipe Calderon sur son compte Twitter. «Je regrette profondément le décès de notre estimé et admiré Carlos Fuentes, écrivain et Mexicain universel. Qu'il repose en paix», a écrit le président.
Des problèmes cardiaques
Des problèmes cardiaques
Selon la presse locale, il aurait succombé à des problèmes cardiaques dans un hôpital du sud de la capitale mexicaine.
Souvent cité comme potentiel prix Nobel de littérature, Carlos Fuentes avait obtenu en 1987 le prix Cervantès, considéré comme le prix de littérature de langue espagnole le plus prestigieux au monde.
Il était notamment l'auteur de La mort d'Artemio Cruz (1962) ainsi que d'une vingtaine d'autres livres et portait depuis plus d'un demi-siècle un regard critique sur la société mexicaine contemporaine.
Ancien ambassadeur en France
Ancien ambassadeur en France
Né au Panama le 11 novembre 1928 de parents diplomates, il a passé son enfance entre les Amériques et l'Europe. En 1950, après un diplôme en droit à Mexico et une formation aux relations internationales à Genève, il embrassa la carrière diplomatique avant de s'orienter vers la littérature et le journalisme.
Intellectuel de gauche, il a acquis une notoriété internationale dès l'âge de 30 ans avec son premier roman, La plus limpide région (1958).
Sa carrière diplomatique l'a conduit à se partager entre Mexico, Paris et Londres, où il vivait une partie de l'année. En France, où il a été ambassadeur de 1975 à 1977, l'ancien président François Mitterrand lui avait décerné la Légion d'Honneur en 1992.
Avec AFP.
13.5.12
Castres-Bayonne : L'Aviron est allé au bout!
Ils partirent 500. Et sans même un prompt renfort, ils se virent 3000 arrivés au stade Pierre-Antoine. Ou du moins, les supporters de l'Aviron Bayonnais ont fait du bruit comme s'ils étaient six fois plus hier dans le Tarn. Et c'est vers eux, ces fidèles qui ont fait l'aller-retour en bus (pour la plupart) dans la journée pour soutenir les leurs, que Didier Faugeron et ses joueurs ont pensé en premier. « Pour notre public, pour tous ces gens-là, qui se sont déplacés, il fallait qu'on soit exigeant. C'était une question de respect », a déclaré le désormais ex-entraîneur de l'Aviron Bayonnais.
Si le maintien n'était officiellement pas acquis avant cette dernière journée du Top 14, Bayonne, officieusement, avait la semaine passée gardé sa place dans l'élite. Mais dans la semaine, le mot d'ordre était le suivant : pas question de laisser filer. La sortie devait se faire tête haute, et si possible sans prendre une danse sur la pelouse de Pierre-Antoine. Afin de ne rien regretter, de ne pas laisser s'instiller un certes plus qu'hypothétique doute, l'Aviron devait prendre un point. Ce qui fut fait. « On a tout donné sur ce dernier match, insiste l'ailier international Yoann Huget. Plus personne ne peut nous reprocher quoi que ce soit ». En prenant un point donc, dans les arrêts de jeu par un essai de l'inévitable Sam Gerber, Bayonne n'a en effet pas eu besoin de Clermont, qui a rossé Brive (57-14), pour se sauver définitivement.
« La fin d'une aventure » Ce match, hier, dans une ambiance parfois proche de celle de Jean-Dauger, eu égard à la présence basque en tribunes, est finalement une mise en abyme de la saison bayonnaise. Quand juste avant la pause Castres mène 23-0 grâce à deux essais de son pilier gauche Taumoepau (23e, 36e), personne ne donnait cher des ambitions « avironardes » de glaner un point. Mais Dwayne Haare et ses camarades s'étaient fait une promesse avant la rencontre. Les derniers mots, prononcés sans Didier Faugeron, qui, pris par l'émotion a préféré rester sur la pelouse, étaient ceux-là : « On donne tout, pendant 80 minutes. On ne lâche rien ». C'est Sam Gerber qui parle.
Mené 23-12 à la pause, Bayonne va rester dans le coup grâce à Boyet (40e, 51e). Puis va se laisser à nouveau distancer quand Forestier signe le troisième essai, synonyme de bonus pour Castres (31-15, 64e). Alors que le money time se rapproche, Bayonne ne s'affole pas, continue à mettre du volume, tant dans les rucks que dans le jeu. Sans pression particulière, si ce n'est celle de bien figurer, l'Aviron se libère. Trois minutes après l'essai castrais, Flavell, repositionné en troisième ligne déchire la défense tarnaise. Audy est au relais pour servir Huget qui marque sous les poteaux (67e). L'objectif de prendre au moins un point, redevient alors réalisable (31-22). Alors que les minutes filent, comme les journées de championnat plus tôt dans la saison, Bayonne est toujours dans le coup. Pas décroché pour atteindre son but.
Juste avant que la sirène ne résonne, M. Cloute siffle une dernière mêlée, pour Bayonne qui joue plutôt que de taper en touche. Le ballon est perdu. Quelques instants seulement car Gerber ramasse un ballon perdu et file dans l'en-but (31-29, 82e), alors que le temps réglementaire est terminé. Didier Faugeron, grand artisan du maintien, ne cache pas sa joie. « C'est la volonté, le courage, la persévérance qui ont fait qu'on est allé au bout ». Plus tard, il dira avec dans la voix un peu de tristesse : « C'est la fin d'une aventure ». Un peu trop tôt à son goût. « J'aurais aimé qu'il reste quelques matches supplémentaires… ».
SUD-OUEST
L'image du jour 13-05-2012
Les "Indignés" célèbrent leur premier anniversaire
Attentats en Italie
Le gouvernement italien a décidé d'élever le seuil d'alerte autour des objectifs sensibles dans toute la péninsule après l'attaque contre un dirigeant d'entreprise revendiquée par un groupe anarchiste, a annoncé ce dimanche la ministre de l'Intérieur Anna Maria Cancellieri.
«Une circulaire a été envoyée pour inviter (tous les services concernés) à élever le seuil d'alerte autour des objectifs sensibles sur le tout le territoire national», a-t-elle déclaré dans un entretien aux quotidiens La Repubblica et Il Corriere della Sera.
«Jeudi est prévue une réunion du comité pour l'ordre et la sécurité» au cours de laquelle sera présenté «un paquet de propositions», a indiqué la ministre, qui a également jugé possible «l'usage de l'armée» pour défendre «des objectifs sensibles».
«Huit nouvelles actions» prévues
Cette annonce intervient alors qu'une cellule anarchiste italienne a revendiqué vendredi l'attentat qui a blessé lundi à Gênes (nord-ouest) le patron d'Ansaldo Nucleare, une filiale du géant public Finmeccanica. Selon le procureur de Gênes Michele Di Lecce, cette revendication de la Fédération anarchiste informelle (FAI), qui a aussi annoncé «huit nouvelles actions» pour venger des anarchistes emprisonnés en Grèce, «apparaît fiable».
La FAI, qui avait déjà revendiqué en décembre un attentat au colis piégé contre le directeur de l'agence de collecte des impôts Equitalia à Rome, a signé de nombreuses actions similaires en Italie et à l'étranger depuis le début des années 2000.
Une agence visée par des cocktails molotov
Par ailleurs, deux cocktails molotov ont visé dans la nuit de vendredi à samedi une agence d'Equitalia à Livourne (Toscane), et là aussi la piste anarchiste est privilégiée par les enquêteurs. Anna Maria Cancellieri a «rappelé de manière forte et claire qu'Equitalia représente l'Etat», même si elle a «beaucoup de respect pour les familles qui ne réussissent pas à faire face à leurs dettes».
Depuis plusieurs mois, les suicides de chômeurs ou d'entrepreneurs étranglés par les dettes se sont multipliés en Italie, augmentant la rancoeur et la frustration d'une partie de la population contre Equitalia et le gouvernement de Mario Monti, qui a mis en oeuvre une sévère cure d'austérité.
20MINUTES Avec AFP
12.5.12
Rugby - L'Aviron Bayonnais gagne le droit de rester dans le "Top 14"
Castres s'assure le barrage à domicile. L'objectif de cette dernière journée est en effet pleinement rempli pour le Castres olympique. De son côté , l'Aviron bayonnais peut aussi repartir satisfait du stade Pierre-Antoine. Dès l'entame de la partie, les Bayonnais prenaient le jeu à leur compte et se montraient plus dangereux. Plus offensifs et plus réalistes avec une première pénalité passée par Boyet (1e, 0-3) à la suite de la première incursion des siens dans le camp des locaux du jour. Dans une première période hâchée, la faute à un temps pluvieux ,un véritable chassé-croisé de buteurs s'amorçait entre Boyet et Bernard (6-9) successif à une multitude de fautes de part et d'autre.
Le réveil castrais intervenait peu après la vingtième minute de jeu avec un essai inscrit par le pilier Taumoepeau (23e, 13-9). Profitant de ce regain de forme, Teulet enfonçait le clou par une pénalité (34e, 16-9). Face à des Bayonnais en difficulté notamment en touche, les Castrais désormais en confiance marquaient un second essai par le biais de Taumoepeau pour son doublé (36e, 23-9). Mais les Basques étaient loin de se laisser abattre et Boyet réduisait la marque juste avant la pause (40e, 23-12).
L'indiscipline bayonnaise
Au retour des vestiaires, les Bayonnais prenaient cette seconde période par le même bout que la première. Boyet passait en effet une nouvelle pénalité (50e, 23-15) permettant à son équipe de recoller au score. Dans une seconde mi-temps tout aussi entâchée par de multiples fautes, Bernard lui répondait quelques minutes plus tard (58e, 26-15). Et l'indiscipline commençait à coûter pour l'Aviron bayonnais avec Gerber qui écopait d'un carton jaune. La sanction était alors immédiate pour les hommes de Didier Faugeron qui encaissaient un essai par Forestier (64e, 31-15). Profitant d'un certain relâchement de la part du CO, les Bayonnais montraient de nouveau un visage offensif en toute fin de partie avec la marque de deux essais. Via Huget (66e, 31-22), auteur de son dernier essai sous les couleurs ciel et blanc, puis Gerber (81e, 31-29).
Grâce à ce succès et profitant de la défaite de Montpellier à Toulouse, Castres gagne le droit de disputer son match de barrage à Pierre-Antoine pour la deuxième saison consécutive. Pour sa part, Bayonne repart des terres castraises avec un point de bonus défensif. Les Basques sont désormais assurés de jouer dans l'élite la saison prochaine.
MIDI OLYMPIQUE
L'image du jour 12-05-2012
L'Afghanistan aussi a son Spiderman
11.5.12
Le président élu se jette dès son investiture mardi dans le grand bain européen
Le futur chef de l'Etat l'avait promis: son premier déplacement sera à Berlin.
Quelques heures à peine après sa prise de fonctions, il rencontrera Angela Merkel mardi en fin d'après-midi.
La chancelière allemande, qui ne l'a pas reçu avant son élection, l'attend maintenant «à bras ouverts» et promet une poursuite de la «coordination traditionnellement étroite avec la France».
La rencontre sera scrutée de près par les partenaires européens et par les marchés, qui traversent une nouvelle zone de turbulences.
Discorde autour du pacte budgétaire
Car un premier différend est déjà sur la table: le socialiste Hollande a promis de «renégocier» le traité de discipline budgétaire signé début mars par 25 Etats de l'UE, pour y ajouter un «volet croissance», accusant la conservatrice Merkel d'avoir fait de l'austérité l'alpha et l'oméga de la zone euro.
Or, si elle est favorable à un «agenda de croissance», la chancelière a prévenu que cela se fera sans toucher au pacte budgétaire et sans creuser les déficits.
«Nous avons des positions qui ne sont pas encore convergentes», a reconnu jeudi François Hollande.
Le nouveau couple franco-allemand ira-t-il au «clash» dès sa lune de miel ? Plusieurs économistes pensent qu'une entente est possible, d'autant que les investisseurs eux-mêmes attendent des mesures pour éviter un cercle vicieux austérité-récession.
L'image du jour 11-05-2012
Aucun survivant retrouvé après le crash d'un avion russe en Indonésie
10.5.12
L'image du jour 10-05-2012
La flamme des JO de Londres allumée à Olympie
8.5.12
Une pleine lune exceptionnelle
Dans la nuit du 5 au 6 mai, un événement a précédé celui de l’élection du nouveau président français… Comme le vote, c’est un phénomène qui revient régulièrement. En l’occurrence, c’est lorsque la Lune est au plus près de la Terre sur son orbite légèrement elliptique que nous pouvons bénéficier dans le ciel nocturne d’une pleine Lune qui parait beaucoup plus grosse d’environ 14% et plus lumineuse de 30%.
Dans la nuit du 5 au 6 mai 2012, la Lune était à 356.400 kilomètres de la Terre –c’est son périgée-, au lieu de 384.000 kilomètres habituellement. Le 28 novembre prochain, à l’inverse, la Lune sera à son apogée, à 406.364 kilomètres, le point le plus éloigné de la Terre.
Dans la nuit du 5 au 6 mai 2012, la Lune était à 356.400 kilomètres de la Terre –c’est son périgée-, au lieu de 384.000 kilomètres habituellement. Le 28 novembre prochain, à l’inverse, la Lune sera à son apogée, à 406.364 kilomètres, le point le plus éloigné de la Terre.
Lire plus sur http://www.sciencesetavenir.fr/espace/20120507.OBS5009/en-images-une-pleine-lune-exceptionnelle.html
L'image du jour 08-05-2012
Les deux présidents de la République française
La CLASSE rejette en bloc
Les étudiants ont commencé à se prononcer lundi sur l’entente de principe négociée la semaine dernière entre le gouvernement et les représentants des fédérations étudiantes. En fin d’après-midi, les associations affiliées à la CLASSE avaient toutes refusées cette offre.
Conséquence directe de ces consultations : la grève pourrait être massivement reconduite partout où l’entente est rejetée.
Selon la Coalition large de l'Association pour une solidarité syndicale étudiante (CLASSE), le Collège de Valleyfield, le Collège de Bois-de-Boulogne, le Cégep de Saint-Laurent, le Cégep Marie-Victorin, et le Cégep de l’Outaouais ont déjà voté contre l’entente de principe qui prévoit notamment la création d'un comité pour revoir la gestion des universités et pointer les économies
envisageables. Les sommes épargnées seraient déduites des frais institutionnels obligatoires que les étudiants payent à chaque session.
À 17 h, toujours selon la CLASSE, Les étudiants du département informatique et de recherche opérationnelle de l’Université de Montréal (UdeM), l’Association facultaire étudiante des Langues et Communication de l’Université du Québec à Montréal (UQAM), les associations des étudiants en Littérature et en Sociologie à l’Université Laval, à Québec, de même que les étudiants en Études québécoises à l’Université de Trois-Rivières s’étaient également prononcés contre le document, qui avait été rendu public dès dimanche.
Les associations membres de la Fédération étudiante collégiale du Québec (FECQ) devaient également se pencher sur le texte ce lundi.
En début d’après-midi, les étudiants du Cégep de Gaspésie ont annoncé qu’ils acceptaient l’offre, tandis que ceux du Cégep de Saint-Hyacinthe l’ont rejetée après de longues heures de débat.
La Fédération étudiante universitaire du Québec (FEUQ) a prévu de consulter ses membres seulement vendredi.
Les leaders étudiants présents autour de la table de négociations en fin de semaine dernière ont tous refusé de faire des recommandations formelles à leurs membres.
Si l'entente était acceptée, plusieurs jours seraient nécessaires pour mettre sur pied un plan de reprise de cours.
LE JOURNAL DE MONTREAL
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