PARTE 9 DE 10
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8 DE 10 - CLASSICOS DO CINEMA PORTUGUÊS - O LEÃO DA ESTRELA
PARTE 8 DE 10
PARTE 7 DE 10 - CLASSICOS DO CINEMA PORTUGUÊS - O LEÃO DA ESTRELA
PARTE 7 DE 10
Quand peut-on parler d'un krach boursier ?
Après la dégradation de la note des Etats-Unis par l'agence Standard and Poor's, le spectre du krach boursier a plané ce weekend. Il n'y a pas de définition économique précise d'un krach mais, dans la pratique, cette expression s'applique à une baisse soudaine et précipitée des actions (plus de 20% en quelques jours) touchant une ou plusieurs places financières.
D’une manière générale, il fait suite à une surévaluation du marché boursier. Le déclencheur est le plus souvent l’éclatement d’une bulle spéculative, financière ou immobilière. L'une de ses caractéristiques principales est l'effet de panique qui voit les investisseurs tous vendre en même temps, créant ainsi une spirale infernale.
EN 1636, LES RÉPERCUSSIONS DE LA TULIPOMANIA EN HOLLANDE
Le premier krach boursier de l'histoire a eu lieu en 1636 en Hollande et concerne le commerce de bulbes de tulipe. Cette marchandise très prisée possédait une valeur très élevée. Au point culminant de la spéculation, une tulipe était négociée l'équivalent de 87 000 euros en valeur actuelle. Lorsque la noblesse prit conscience du déséquilibre financier du produit, les prix chutèrent fortement. Surnommé la "Tulipomania", ce krach aura de sérieuses répercussions sur l'économie de l'époque.
Au XXe siècle, les places financières mondiales ont connu deux krachs marquants, en 1929 et en 1987, qui ont eu des conséquences très différentes. L'activité a rapidement repris après le krach d'octobre 1987, alors que la "Grande dépression" de 1929 s'est traduite par plusieurs années de récession économique, de chômage et de misère débouchant sur la 2e guerre mondiale.
L'effondrement des marchés boursiers en octobre 1929 a fait suite à l'explosion d'une bulle spéculative qui avait poussé des millions d'Américains à acheter des actions par le biais de fonds d'investissement, les "trust funds" qui se sont écroulés les uns après les autres.
Le lundi 28 octobre 1929, l'indice Dow Jones s'effondrait de 13 %, avec une nouvelle chute de 12 % le lendemain (le "mardi noir"). Fin novembre, il avait perdu la moitié de sa valeur, et près de 90 % à la mi-1932.Il ne retrouve ses niveaux d'avant le krach qu'en 1954. Il faut attendre la fin du second conflit mondial, en 1945, pour que l'économie internationale retrouve le chemin d'une croissance durable, jusqu'aux turbulences des années 1970 et au nouveau krach de 1987.
Cette année-là, encore un lundi d'octobre, le 19, le Dow Jones s'effondre de 23 % sur une seule séance, la plus forte jamais enregistrée sur cette place à ce jour. La plupart des marchés mondiaux suit le mouvement. Mais ce krach, aggravé par des problèmes de traitement informatique des ordres, fut sans lendemain. Les indices rebondirent rapidement et deux ans plus tard le Dow Jones revenait à ses niveaux d'avant krach.
Plus récemment, les Bourses mondiales ont connu des moments difficiles mais sur une période limitée, comme en 1997, lors de la crise asiatique, et en 1998, lors de l'effondrement du fonds spéculatif LTCM dans le sillage de la crise russe. Ou en 2000, lors de l'éclatement de la bulle internet, et en 2001 après les attaques terroristes aux Etats-Unis.
Le krach d'octobre 2008 entraîne la plupart des bourses mondiales vers la plus forte baisse de leur histoire sur une semaine: -22 % à Paris, -24 % à Tokyo, et -21 % à New York. En cause, le dégonflement brutal de la bulle de l'immobilier aux États-Unis, et principalement des subprimes, accompagné de difficultés de financement du capital-investissement. Le lundi 15 septembre 2008, l'annonce de la banqueroute de la banque d'affaires américaine, Lehman Brothers, avait fait chuter toutes les places financière du monde.
le monde
L'image du jour (08-08-2011)
Alors que les marchés s‘écroulent dans le Vieux continent et en Asie, un analyste résume la situation par trois petites figurines placées au cœur du centre boursier de Francfort : l’une parle trop, l’autre n‘écoute rien et la troisième se regarde le nombril. REUTERS/Kai Pfaffenbach
6 DE 10 - CLASSICOS DO CINEMA PORTUGUÊS - O LEÃO DA ESTRELA
PAERTE 6 DE 10
7.8.11
BEL-AIR - 14
BEL-AIR - 14
Revenant vers l’intérieur, je restai quelques secondes à
M’habituer, de nouveau, à la semi-obscurité; et là, j’ai eu
La confirmation de mes soupçons : les chuintements auparavant
Entendus, provenaient bel et bien des indigènes : les rats !
Gentils, au demeurant, car nullement effrayés, ils me
Dévisageaient d’un air intrigué, sans aucune agressivité ;
Pour eux aussi cela devait être une découverte. Mais dès
Mon premier pas, ils se sont éparpillés dans la pièce.
En bas, les adultes m’appelaient ; je devais les rejoindre ; je
Jetai juste un coup d’œil sur les objets épars qui jonchaient
L’étage ; en me promettant de poursuivre l’investigation…
J’étais bien curieux d’explorer minutieusement ce monde étrange.
Les adultes s’impatientaient ; je dus descendre aussi vite que
Je le pus, non sans trébucher sur quelque objet bizarre qui
Sans doute allait me réserver des surprises ; et c’est vrai, je
Vous le décrirai lors de notre prochaine rencontre.
Pour lors, je me dépêchais de regagner l’escalier en bois tout
En faisant attention à ne pas passer au travers du sol et ses planches
Fragilisées par des siècles d’existence. Voilà ; j’étais aveuglé, de nouveau,
Par le jour. Nous reprîmes nos bicyclettes…à très bientôt « Bel-Air » !
Andorre, le 7 août 2011
L'image du jour (07-08-2011)
Des hommes habillés en Vikings prennent part au Festival Viking de Catoira, qui se tient chaque année dans cette région du nord-ouest de l’Espagne. REUTERS / Miguel Vidal
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PARTE 5 DE 10
Imagem e texto - Homenagem a Mondim de Basto
Hoje a etapa da volta a Portugal em bicicleta chega ao mitico Alto do Monte Farinha (Senhora da Graça)
Uma modesta homenagem a esta paisagem magnifica que recordo sempre com saudade, bem como os queridos Amigos que la tenho !
.../...
Mondim de Basto é um município português pertencente ao Distrito de Vila Real, região Norte e sub-região do Ave, com cerca de 9000 habitantes.
É um município com 171,87 km² de área, subdividido em 8 freguesias. O município é limitado a nordeste por Ribeira de Pena, a sueste por Vila Real, a sudoeste por Amarante, a oeste por Celorico de Basto e a noroeste por Cabeceiras de Basto.
Vila e sede de concelho, Mondim de Basto repousa numa chã fértil na margem esquerda do rio Tâmega e no sopé da grandiosa pirâmide verde do Monte Farinha,coroado pela ermida da Senhora da Graça.
07-08-2011
JoanMira
4 DE 10 - CLASSICOS DO CINEMA PORTUGUÊS - O LEÃO DA ESTRELA
PARTE 4 DE 10
A TORRE DE BELEM
A Torre de Belém é um dos monumentos mais expressivos da cidade de Lisboa. Localiza-se na margem direita do rio Tejo, onde existiu outrora a praia de Belém. Inicialmente cercada pelas águas em todo o seu perímetro, progressivamente foi envolvida pela praia, até se incorporar hoje à terra firme.
O monumento se destaca pelo nacionalismo implícito, visto que é todo rodeado por decorações do Brasão de armas de Portugal, incluindo inscrições de cruzes da Ordem de Cristo nas janelas de baluarte; tais características remetem principalmente à arquitetura típica de uma época em que o país era uma potência global (a do início da Idade Moderna).
Classificada como Património Mundial pela UNESCO, em 7 de Julho de 2007 foi eleita como uma das Sete maravilhas de Portugal.
Originalmente sob a invocação de São Vicente de Saragoça, padroeiro da cidade de Lisboa, designada no século XVI pelo nome de Baluarte de São Vicente a par de Belém e por Baluarte do Restelo, esta fortificação integrava o plano defensivo da barra do rio Tejo projetado à época de João II de Portugal (1481-95), integrado na margem direita do rio pelo Baluarte de Cascais e, na esquerda, pelo Baluarte da Caparica.
O cronista Garcia de Resende foi o autor do seu risco inicial, tendo registrado:
- "E assim mandou fazer então a (...) torre e baluarte de Caparica, defronte de Belém, em que estava muita e grande artilharia; e tinha ordenado de fazer uma forte fortaleza onde ora está a formosa torre de Belém, que el-Rei D. Manuel, que santa glória haja, mandou fazer; para que a fortaleza de uma parte e a torre da outra tolhessem a entrada do rio. A qual fortaleza eu por seu mandado debuxei, e com ele ordenei a sua vontade; e tinha já dada a capitania dela [a] Álvaro da Cunha, seu estribeiro-mor, e pessoa de que muito confiava; e porque el-Rei João faleceu, não houve tempo para se fazer" (RESENDE, Garcia de. Crónica de D. João II, 1545.),
A estrutura só viria a ser iniciada em 1514, sob o reinado de Manuel I de Portugal (1495-1521), tendo como arquitecto Francisco de Arruda. Localizava-se sobre um afloramento rochoso nas águas do rio, fronteiro à antiga praia de Belém, e destinava-se a substituir a antiga nau artilhada, ancorada naquele trecho, de onde partiam as frotas para as Índias. As suas obras ficaram a cargo de Diogo Boitaca, que, à época, também dirigia as já adiantadas obras do vizinho Mosteiro dos Jerónimos.
Com a evolução dos meios de ataque e defesa, a estrutura foi, gradualmente, perdendo a sua função defensiva original. Ao longo dos séculos foi utilizada como registro aduaneiro, posto de sinalização telegráfico e farol. Os seus paióis foram utilizados como masmorras para presos políticos durante o reinado de Filipe II de Espanha (1580-1598), e, mais tarde, por João IV de Portugal (1640-1656). O Arcebispo de Braga e Primaz das Espanhas, D. Sebastião de Matos de Noronha (1586-1641), por coligação à Espanha e fazendo frente a D. João IV, foi preso e mandado recluso para a Torre de Belém.
Sofreu várias reformas ao longo dos séculos, principalmente a do século XVIII que privilegiou as ameias, o varandim do baluarte, o nicho da Virgem, voltado para o rio, e o claustrim.
Classificada como Monumento Nacional por Decreto de 10 de Janeiro de 1907, é considerada como Património Mundial pela UNESCO desde 1983. Naquele mesmo ano integrou a XVII Exposição Europeia de Arte Ciência e Cultura.
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