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31.5.15
30.5.15
Grands Peintres Impressionnistes - Vincent Van Gogh - "Autoportrait"
L'oeuvre "Autoportrait", peinte en 1889 par l'artiste peintre et Grand Maître Vincent Van Gogh, est exposée au musée Collection Mrs. John Hay Whitney.
25.5.15
24.5.15
Texte - Une soirée pas ordinaire
C’était un début de soirée comme
beaucoup d’autres; à la différence qu'on était samedi et qu’en ce début de mois
de mai le parfum des fleurs nous rendait particulièrement volatiles ; je m’apprêtais,
donc, à sortir sans avoir, auparavant, pris le soin de vérifier que ma sœur s’était bien échappée par la fenêtre de sa
chambre comme d’habitude…
Sauf, qu’au moment de partir mon
père me fit signe de vouloir sortir lui aussi. Interloqué, je lui demandai quelle
voiture il souhaitait prendre, sachant qu’il n’en avait pas et que moi je
détenais toujours ma Renault 4 en fin de vie, et une Fiat 124; cela n'éludait en rien les questions que je me posais sur son changement d’attitude...
Il prît la 4 CV. Après l’avoir
informé des dangers qu’il courrait avec la caisse à bout de souffle, je partis
moi-aussi.
La soirée, après avoir éclusé
moultes boissons alcoolisées se passait normalement, quand mon père, me
trouvant tout-à-fait par hasard auprès d’un débit de boissons près de la gare,
me fit savoir qu’en peu de temps il rentrerait à la maison mais pas avec la
Renault 4, plutôt avec la Fiat. Et il s’éloigna.
En fin de soirée ne le voyant pas
revenir, je décidai de prendre la « catcharre » en prenant soin
de laisser, sous le tapis, les clés de l’autre voiture.
Et il les a trouvées…
Quelque temps après il m’a
raconté qu’il avait pris un avion pour la Tailande… que le voyage avait été
mouvementé au départ, l’appareil n’arrivant pas à prendre de l’altitude, volant
entre panneaux publicitaires et câbles électriques, qu’il avait eu très peur
mais qu’un voyageur à son côté avait été d’une grande prévenance en l’aidant et
rassurant.
C’était moi, papa !!!
24-05-2015
JoanMira
Grands Peintres Impressionnistes - Pierre-Auguste Renoir - "Mère et enfant"
L'oeuvre "Mère et enfant", peinte en 1892 par l'artiste peintre et Grand Maître Pierre-Auguste Renoir, est exposée au musée National Gallery of Scotland, Edinburgh.
23.5.15
Le toit de la gare Saint-Jean (Bordeaux) abîmé?
Survol autorisé. La SNCF a annoncé, vendredi, qu’elle allait utiliser un drone pour visiter les installations se trouvant sur la toiture de la gare de Bordeaux Saint-Jean.
Si les conditions météorologiques le permettent, l’opération devrait se dérouler pendant trois jours, du 27 au 29 mai. Le transporteur ferroviaire à l’intention de réaliser une cartographie complète des installations présentes sur l’ensemble de la toiture de la gare bordelaise.
Autorisation obtenues
Pour cette mission, la SNCF a fait appel à Philippe Bortolussi, ingénieur Construction, et à son appareil : un drone de type multicoptère équipé d’une caméra. La législation en vigueur est très stricte en ce qui concerne les survols en agglomération. Mais, pas de panique, la compagnie ferroviaire assure que « toutes les autorisations » ont été demandées, et obtenues, notamment auprès de la préfecture, de la ville et de la Direction de l’aviation civile (DGAC).
Détection de l’usure prématurée
Le drone et son opérateur réaliseront des photographies en haute définition qui permettront de « connaître l’emplacement précis de l’ensemble des matériels situés sur le toit de la gare et à visualiser toutes les faces de la toiture », explique la SNCF. Les images récoltées pourront aussi servir à détecter « une usure prématurée sur les couvertures ou sur les descentes d’eaux pluviales ».
La matinée du 27 sera consacrée à la mise en place et à la sécurisation de l’espace de survol, situé devant le restaurant Mc Donald’s. Le premier vol de l’engin est prévu le 28, entre 14 h 30 et 17h. D’autres vols auront lieu le lendemain.
20 Minutes - France
22.5.15
Dessin de Presse - Le groupe EI s'apprête à détruire Palmyre
Eternelle DS
Face à une ancienne gloire de l’automobile, les sentiments que l’on éprouve généralement varient entre l’attendrissement et la nostalgie. Rien de tout cela lorsque l’on considère la Citroën DS. Soixante ans après sa naissance, cette voiture fait toujours son effet, comme si on la découvrait pour la première fois. Six décennies plus tard, on prend toujours au sérieux la merveille de Javel (nom du quartier de Paris où étaient installées les anciennes usines Citroën).
La DS n’est pas pour autant un modèle précurseur : elle n’eut pas de véritable descendance et son obsession du tout hydraulique ne s’est pas imposée comme un standard. C’est cela, aussi, qui en a fait une icône et conservé intacte la charge d’innovation et d’audace qui fit sensation, en octobre 1955, sous la verrière du Grand Palais, où se tenait alors le Salon de l’automobile.
L’attente de la nouvelle Citroën avait été longue. L’enjeu n’était pas mince : donner une descendance à l’héroïque Traction, née en 1934, et qui, vingt et un ans plus tard, continuait de fort bien tenir son rang. Les révélations de L’Auto-Journal, qui lui avaient valu d’être poursuivi en justice par la marque aux chevrons, avaient en partie levé le voile mais on n’imaginait pas que les concepteurs de la DS renverseraient à ce point la table.
Le secret de cette automobile de rupture, c’est qu’elle s’inscrit dans une continuité. Chez Citroën, on a commencé à réfléchir dès 1938 à la succession de la Traction avec la volonté de mettre au point un véhicule qui dispose de la même avance technique sur la concurrence. L’enjeu était d’être à l’avant-garde technique… mais pas seulement. Quai de Javel, on entendait développer pour chaque modèle « un désir de création analogue à celui qui préside à la naissance d’une œuvre d’art », comme l’écrira dans son autobiographie Pierre Bercot, directeur général de Citroën en 1950 puis PDG de 1958 à 1970.
Les deux têtes pensantes du projet « VGD » (pour « véhicule de grande diffusion ») se connaissent bien. André Lefebvre (1894-1964), qui dirige le bureau d’études, et l’Italien Flaminio Bertoni (1903-1964), qui inspire le style Citroën (on ne dit pas encore design), ont œuvré ensemble sur la Traction (1934) et la 2CV (1948).
Après la guerre, lorsque l’on remet l’ouvrage sur le métier, ils s’attellent au projet D, ex-projet VGD, avec des idées assez claires. Lefebvre, qui a engagé sa carrière dans l’aéronautique, reprend une proposition de stabilisation hydraulique un temps envisagée pour réduire les ondulations de la 2CV sur ses roues. Les résultats de cette solution oléopneumatique sont bons mais Lefebvre pousse son idée plus avant. Non seulement toute la suspension sera asservie à un circuit d’huile sous haute pression mais celui-ci sera mis à contribution pour assurer également le freinage, le passage des vitesses et la direction.
De son côté, Flaminio Bertoni (1903-1964) dessine les voitures comme le sculpteur qu’il redevient lorsqu’il rentre chez lui. Là ou les stylistes utilisent le bois pour leurs ébauches, lui recourt très tôt à la claie. On est frappé par la continuité qui existe entre les premières esquisses et la version finale de la DS. La partie avant est résolument plongeante et la recherche d’aérodynamique ouvertement privilégiée (le Cx, coefficient de pénétration dans l’air, de la DS sera de 0,30 alors que la norme des modèles de l’époque est de 0,50). Pour loger un moteur sous le capot avant très plongeant, on pensera un temps à un moteur à cylindres à plat, comme celui de la 2CV. Finalement, la mécanique de la Traction sera reprise – quelle déception… - mais en position reculée, quitte à transformer l’habitacle en fournaise.
L’inspiration aéronautique des formes oblongues, des flancs lisses, de la calandre pincée et de la partie arrière fuyante convient parfaitement à Lefebvre, ancien de Sup-Aéro qui avait commencé sa carrière chez l’avionneur Voisin. On prête même aux deux hommes d’avoir suggéré de remplacer le volant par une sorte de levier directionnel, sorte de préfiguration du joystick. Une tentative recalée par la direction de l’entreprise mais qui, finalement, aurait inspiré l’étonnant volant mono branche de la DS. Une voiture pilotée grâce à un manche à balai, à la manière d’un avion ? Pour ce modèle tellement hors-norme que, lors de son apparition, nombre d’observateurs le comparèrent à une soucoupe volante, cela n’aurait pas tellement choqué, au fond.
Le Monde - France
En savoir plus sur http://www.lemonde.fr/m-styles/visuel/2015/05/20/eternelle-ds_4636915_4497319.html#krwGiCFHOvq42JLQ.99
20.5.15
Grands Peintres Impressionnistes - Pierre-Auguste Renoir - "Monet peignant son jardin à Argenteuil"
L'oeuvre "Monet peignant son jardin à Argenteuil", peinte en 1873 par l'artiste peintre et Grand Maître Pierre-Auguste Renoir, est exposée au musée Wadsworth Atheneum, Hartford.
18.5.15
17.5.15
16.5.15
Texte - Avez-vous peur de Dieu?
C’est
une réalité ; nous avons tous peur de l’imaginaire qui s’est
insidieusement ancré dans nos pensées.
La
peur, par ceux qui délibérément nous l’ont
imposée, a une vertu : maintenir le troupeau à l’intérieur de l’enclos,
sans qu’aucun animal plus intelligent ou rebelle ne puisse avoir la velléité de, commençant à réfléchir, ne puisse
contester la doctrine sociale.
Mais
pourquoi parle-je de Dieu dans tout ca ?
Tout
simplement pour appeler à la réflexion, qui peut éviter l’excès de certitudes.
La
Science elle même, toute en prudence, évite de prendre position, évitant par
là, de reconnaître ce que la connaissance humaine lui impose.
Einstein,
lui-même, doutait… et il a cru en Dieu par défaut.
Nous
reconnaissons les limites que la science n’a pu encore transposer. Nous
acceptons l’existence de Dieu puisque le contraire n’a pas pu être démontré.
Nous
nous posons, malgré tout, la question qu’un Dieu, si bon, s’il existe, permette
tous les malheurs qui affectent le monde.
Et
une dernière question aux croyants : Dieu est amour, paix, bonté,
compréhension, Ami…Pourquoi laisse-t-il souffrir les êtres ?...
16-05-2015
JoanMira
Grands Peintres Impressionnistes - Claude Monet - "Un coin du studio"
L'oeuvre "Un coin du studio", peinte en 1861 par l'artiste peintre et Grand Maître Claude Monet, est exposée au musée Musée d'Orsay, Paris.
15.5.15
Grands Peintres Impressionnistes - Edouard Manet - "Vase de pivoines sur piédouche"
L'oeuvre "Vase de pivoines sur piédouche", peinte en 1864 par l'artiste peintre et Grand Maître Edouard Manet, est exposée au musée Musée d'Orsay, Paris.
14.5.15
13.5.15
12.5.15
Texte - Cuba
Je n’ai, à priori, pas de grands conflits avec la presse. J’avoue, cependant, être quelque peu excédé par tous les reportages, entrevues et interventions de spécialistes, dont on nous abreuve depuis que le président français se montre si fier d’avoir été le premier chef d’état des pays occidentaux à visiter Fidel Castro.
Comme si entre 1957 et 2015 l’Ile
n’avait pas existé !
Et, en outre, nous avons été soumis au matraquage des "avis autorisés" de la part d’hommes politiques de la droite française considérant que se réunir avec Fidel
était un déni de démocratie.
Bref, je ne veux pas dire à
certains, tel Bruno Lemaire – qui se voit déjà à un poste de responsabilité –
ni à d’autres, y compris à Hollande, que l’Etat français a serré bien d’autres
mains, souvent sanguinolentes : Kadhafi et le nain Petit Sarko, Bokassa et
les diamants reçus par le donneur de leçons
Giscard d’Estaing… Ni les crimes commis au nom de la France : ratonnades de maghrébins,
massacre de kanaques par Bernard Pons, etc...
Par contre, je pourrai vous
parler de Cuba sans concessions et avec l’objectivité relative que me confère
le séjour dans ce Pays en 2010.
Contrairement à la civilisation "made in France", c’est un Pays ou, à trois heures
du matin, dans les plus sombres ruelles, personne ne vous agresse.
Nous avons pu converser avec des
ouvriers cubains. Distilleries, fabriques de tabac ; et il nous a été dit,
qu’effectivement, les travailleurs ne gagnaient qu’environ l’équivalent de 13
euros par mois. C’était le cas, d’ailleurs de médecins, ingénieurs. La plainte
venant d’une ouvrière, libre de dire ce qu’elle pensait, nous est restée en
mémoire.
Nous avons vu les épiceries pour
étrangers ou l’on pouvait acheter ce que l’on voulait avec des pesos
convertibles et les autres, destinées aux autochtones rationnées à travers la "libreta".
Nous avons vu un peuple au seuil
de la misère, mais propre, souriant, joyeux et en aucun cas misérable… Nous avons même vu
des gens qui, le samedi soir, s’éclataient dans les "discothèques" cubaines (casas de la trova).
J’ai même vu des étrangers
heureux prêts à vivre dans ce Pays béni.
Je ne parlerai que très
brièvement de l’excellence du système cubain de santé d’éducation, de culture,
ou tout est gratuit.
Je ne vous parlerai pas, surtout,
de la peur du peuple cubain de devenir appât du capitalisme en faisant une référence,
certaine à l’ex Union Soviétique…
Love you Cuba
12-05-2015
JoanMira
11.5.15
Grands Peintres Impressionnistes - Paul Gauguin - "Nave Nave Moe"
L'oeuvre "Nave Nave Moe", peinte en 1894 par l'artiste peintre et Grand Maître Paul Gauguin, est exposée au musée L'Hermitage, St. Petersbourg.
10.5.15
Grands Peintres Impressionnistes - Edgar Degas - "Portrait de Hilaire Degas"
L'oeuvre "Portrait de Hilaire Degas", peinte en 1857 par l'artiste peintre et Grand Maître Edgar Degas, est exposée au musée Musée d'Orsay, Paris.
9.5.15
Surveillance. Le Canada, lui aussi, vote une loi antiterroriste
Un projet de loi étendant le pouvoir des services de renseignement a été adopté par le Parlement d'Ottawa. Il fait l'objet de nombreuses critiques dans la presse canadienne.
Les Conservateurs font adopter le projet de loi antiterroriste controversé C-51”, titre ce 6 mai le site du Toronto Star. Le Parlement canadien a adopté en troisième et dernière lecture le projet du gouvernement de Stephen Harper qui étend les pouvoirs du Service canadien de renseignement de sécurité afin de déjouer des complots terroristes.
Le projet de loi accroît aussi les échanges d'informations en matière de sécurité entre différentes institutions fédérales et criminalise le soutien au terrorisme, une disposition qui pourrait s'appliquer notamment au partage de contenus sur Internet, même quand ils ne sont pas liés à des complots terroristes.
Adopté à quelques mois d'élections législatives prévues en novembre, et annoncé juste après la fusillade du Parlement d'Ottawa en octobre dernier, ce projet de loi s'est attiré nombre de critiques. Dans un éditorial sévère publié juste avant son adoption, le quotidien nationalThe Globe and Mail condamne un projet “trop vaste et mal expliqué”,voté après un débat réduit au “minimum”. “Les mesures drastiques du projet constituent une atteinte injustifiée aux droits des Canadiens”,estime le journal.
Courrier International - France
8.5.15
7.5.15
Texte - Rêve, cauchemar et vie
Il y a des souvenirs qui rêvent et des cauchemars qui peuvent
devenir réalité ; pour le rêveur, les nuits se suivent sans se ressembler,
souvent.
Rêver est un privilège, d’autant plus qu’actes passés et
prémonition peuvent parfois se joindre permettant, ainsi, que nous nous
trouvions confrontés à un présent de souvenirs d’espérance.
La vie, plus longue, nous confronte chaque jour à une
réalité métaphysique : Qu’est-ce vivre ?
Est-ce d’être là a attendre, à humer l’air du temps, à se
réjouir de pouvoir entendre et de voir ?...
Non. Vivre c’est d’avoir conscience, dans l’absolu, de nos
sens afin de pouvoir interférer avec la vie visible et concrète.
Rêver serait-ce vivre ?
Il faudrait peut-être définir ce qu’est la mort, car vie et « le
après » me semblent être absolument liées par le sens d’exister.
Et exister… ?
Exister c’est penser… et…
Beaucoup d’autres choses à dire…Trop…J’arrête là.
Ceci m’a été inspiré par une maison où j’ai vécu et que j’ai
visité cette nuit pendant mon sommeil.
07-05-2015
JoanMira
Grands Peintres Impressionnistes - Paul Cézanne - "Le fermier en blouse bleue"
L'oeuvre "Le fermier en blouse bleue", peinte en 1897 par l'artiste peintre et Grand Maître Paul Cézanne, est exposée au musée Kimbell Art Museum, Fort Worth.
6.5.15
L'image du jour - 23-03-2015 - "Forêt" - (Peinture digitale)
5.5.15
3.5.15
L'image du jour - 03-05-2015 - Seul au monde
Seul au monde
1.5.15
Pourquoi offre-t-on des brins de muguet le 1er mai ?
Le 1er mai n'est pas que le jour de la fête du travail, c'est aussi celui où l'on offre des brins de muguet aux personnes que l'on aime. Cette tradition ne date pas d'hier. Dans la Rome antique, les célébrations en l'honneur de Flora, déesse des fleurs atteignaient leur apogée le 1er mai. Les Celtes célébraient le début de l'été le même jour. Ils érigeaient un arbre autour duquel ils dansaient pour chasser les mauvais esprits. Ils accordaient par ailleurs au muguet des vertus de porte-bonheur.
En 1560, le roi Charles IX en visite avec sa mère Catherine de Médicis dans la Drôme, se vit offrir par le chevalier Louis de Girard de Maisonforte un brin de muguet, cueilli dans son jardin à Saint-Paul-Trois-Châteaux. Le roi donne des brins de muguet dès le 1er mai 1561 aux dames de la cour en leur disant: «Qu'il en soit fait ainsi chaque année». La coutume était née.
Le 1er mai 1895, le chanteur toulonnais Félix Mayol (créateur de Viens, Poupoule! en 1902) arrive à Paris. Son amie Jenny Cook lui offre un bouquet de muguet. Il en porte à sa boutonnière le soir même pour la première de son tour de chant au Concert Parisien. Sa série de concerts est un triomphe. Mayol décide de ne plus s'en séparer. Le muguet devient son emblème. Très populaire à l'époque, le chanteur aurait relancé la tradition.
Le 1er mai 1900, lors d'une fête organisée par les grands couturiers parisiens, toutes les femmes reçurent un brin de muguet, clientes et petites mains. Séduites par l'idée les couturières en offrirent chaque année à leurs clientes. Christian Dior en fit même l'emblème de sa maison de couture.
Le muguet n'a été associé à la Fête du Travail que sous le gouvernement de Vichy. Le 24 avril 1941, le maréchal Pétain instaure officiellement le 1er mai comme «la Fête du Travail et de la Concorde sociale». L'églantine rouge, symbole de la journée internationale des travailleurs après 1891, trop connotée à gauche, est remplacée par le muguet.
Le Figaro - France
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