"Mourir d'aimer"
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31.7.14
Images - Bébés tigres en Chine
Le bain des bébés tigres
Des bébés tigres prennent un bain en pleine chaleur estivale à Yanghzhou, dans la province du Jiangsu, en Chine.
30.7.14
Images - Beaux lieux oubliés du monde - La cité sous-marine, Shicheng, Chine
Shicheng est sous l'eau depuis 53 ans, soit depuis que la construction d'un barrage a entraîné sa disparition. La cité avait 1300 ans (image de synthèse).
DR
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27.7.14
Images - Beaux lieux oubliés du monde - Metro Croix Rouge - France
La station Croix-Rouge est le premier terminus de la ligne 10 mise en service en 1923. Elle a été fermée le 2 septembre 1939, au début de la Seconde Guerre mondiale, et n'a jamais été rouverte depuis, en raison d'une trop grande proximité avec la station Sèvres-Babylone.
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Images - Beaux lieux oubliés du monde - Mine de diamants de Mirny - Russie
Ce trou, le deuxième plus gros au monde creusé par l'homme, a été fait à la demande de Staline pour satisfaire les besoins de l'URSS en diamants. La mine a été abandonnée quand les difficultés de creuser davantage se sont révélées trop insurmontables.
Image - Gaza
A Jabaliya, dans le nord de la bande de Gaza, un enfant réfugié palestinien se met à l’abri des attaques israéliennes dans une école de l’UNRWA, l’agence de l’ONU pour les réfugiés palestiniens. Le 25 juillet, un tir d’obus israélien a fait au moins 15 morts dans cet établissement. REUTERS/Finbarr O’Reilly
14.7.14
L'image du jour 14-07-2014
Un jeune garçon se jette dans un cratère rempli d’eau dans le quartier al-Shaar d’Alep, en Syrie. Les activistes affirment que ce cratère est dû à l’explosion d’un baril d’explosif largué par l’armée de l’air syrienne.
REUTERS/Hosam Katan
REUTERS/Hosam Katan
7.7.14
L'image du jour 07-07-2014
Ouvrez les vannes !
Comme à chaque année, l’ouverture des réservoirs du barrage de Xiaolangdi, situé sur le fleuve jaune et dans la province chinoise du Henan, a donné lieu à un spectacle incroyable. Ces opérations de « nettoyage » ont pour objectif de prévenir tous risques d’inondation en purgeant les sédiments – vase et sable – qui s’accumulent en aval du fleuve.REUTERS
6.7.14
La présidence de Jean-François Copé à l'UMP a plombé la comptabilité du parti. Telle est la conclusion de l'audit financier qui sera rendu ce mardi à Luc Chatel, le secrétaire général par intérim, rapporte ce dimanche le JDD. La dette du parti s'élèverait au total à 80 millions d'euros. Pour la deuxième année de suite, l'UMP pourrait ne pas honorer ses prêts bancaires. Une somme qui serait liée au train de vie, jugé extravagant, de Jean-François Copé et de ses proches.
51 000 euros de billets d'avion pour le couple Copé
En 2013, l'ex-président de l'UMP aurait dépensé 27 000 euros de billets d'avion. Sa femme, Nadia Copé, aurait, elle aussi, profité des largesses du parti: 24 000 euros de voyages ont été réglés par le parti.
Pourtant, selon un cadre cité par le JDD, ses billets d'avion auraient dû être pris en charge par Génération France, le micro-parti de Jean-François Copé. "[...] Jérôme Lavrilleux avait dit qu'il s'en occupait; apparemment c'est le parti qui a payé", explique-t-il au journal.
Des salaires élevés
Les salaires de certains cadres du parti n'ont rien arrangé aux finances de l'UMP. Éric Cesari, son ex-directeur général, aurait ainsi perçu 12 500 euros mensuels brut (10 000 euros net). "Il a un contrat béton et un gros salaire", décrivait un filloniste à L'Express pour expliquer les difficultés à virer ce sarkozyste.
Le salaire de Geoffroy Didier serait encore plus inattendu. Pour le simple titre de collaborateur de l'ex-vice président de l'UMP, Brice Hortefeux, il aurait touché 8500 euros brut (6200 € net).
La guerre Copé/Fillon
D'après le JDD, la bataille entre les deux hommes pour la présidence de l'UMP à l'automne 2012 aurait coûté près d'un million d'euros au parti. Une somme qui n'aurait jamais dû exister sans irrégularités de vote.
La dernière leçon de Vahid
Forte émotion chez quelques inconsolables confrères, scandalisés par le fait que l’intervention du président Bouteflika n’ait pas suffi à empêcher Halilhodzic de quitter son poste.
Selon leurs dernières analyses, il n’y a que le complot pour pouvoir expliquer le fait qu’un désir de Bouteflika, soutenu par une foule de supporters, n’ait pas été exaucé ! Ainsi, un collègue écrit-il : “Le successeur de Rabah Saâdane dérange-t-il (…) à tel point que ‘certains cercles’ osent contrarier le président de la République qui s’est, pourtant, montré catégorique sur ce sujet dernièrement, en soulignant que ce dernier ‘devait rester’” ? Un autre note que “le président de la République, qui est toujours à l'écoute de son peuple (sic !), veut donc exaucer son vœu de revoir coach Vahid à la barre technique des Verts” ; sûr de son fait, il rappelle que “l’Algérie est bien riche et peut se permettre n’importe quel coach” !
Souvent la foule, leurrée par sa puissance éphémère, s’autoproclame “peuple” et prend ses désirs pour des nécessités. Elle en oublie que “le peuple”, précisément, est fait d’individus. Et que dans certaines cultures, l’individu dispose librement de lui-même. C’est peut-être cette liberté que Halilhodzic vient d’exercer en s’en tenant à ce qu’il avait déjà décidé : changer d’air.
Dans la pensée totalitaire, que nous partageons avec notre pouvoir dans une sorte de syndrome de Stockholm généralisé, la volonté tapageuse de la foule, érigée en “volonté populaire” et endossée par le pouvoir, devient volonté absolue. Une volonté de la foule qui, donc, érigée en “volonté populaire” et s’exprimant par l’intermédiation du pouvoir, devient volonté absolue.
Mais où se croit-on ? En Algérie ? Personne n’a donc envisagé le cas où que Halilhodzic a simplement et librement choisi parmi les opportunités professionnelles qui se présentent à lui, ou le cas où, s’étant déjà engagé avec un club turc, il n’a peut-être pas trouvé correct de se rétracter ?... même pour l’offre d’un employeur “qui peut se payer n’importe quel coach”.
L’argent a contribué à la formation de la conviction selon laquelle Halilhodzic ne pouvait pas refuser l’offre algérienne : il est notoire que quand notre pouvoir aime, il ne compte pas.
Au lieu d’être scandalisée par la “qatarisée” des deniers publics qui servent à entretenir le “prestige” d’un pouvoir improductif, à soudoyer les corporations, clans et confréries, à asservir les élites “choisies”, la foule est scandalisée par l’échec du subterfuge politico-médiatique.
Tout le monde a vu qu’Halilhodzic espère que “l’on poursuive la dynamique”. Mais personne ne s’attarde sur son constat selon lequel “les choses n’ont pas toujours été faciles”.
Non, parce que l’on a coutume de couvrir les laideurs du système avec de l’argent. S’il accepte de rempiler, il acceptera de se taire. Il accepte l’oubli, cette formule ruineuse qui dispense nos “responsables” de rendre des comptes et qui fonde la démocratie de “la stabilité”.
Comme l’on couvre le déni de démocratie en payant au peuple, aux supporters, le meilleur entraîneur du monde et les meilleurs de la diaspora. Ne pouvant choisir leurs dirigeants, les Algériens, troquant leur statut de citoyens contre leurs fugaces ivresses de supporters, ont l’illusion que leurs dirigeants exécutent leur choix.
Selon leurs dernières analyses, il n’y a que le complot pour pouvoir expliquer le fait qu’un désir de Bouteflika, soutenu par une foule de supporters, n’ait pas été exaucé ! Ainsi, un collègue écrit-il : “Le successeur de Rabah Saâdane dérange-t-il (…) à tel point que ‘certains cercles’ osent contrarier le président de la République qui s’est, pourtant, montré catégorique sur ce sujet dernièrement, en soulignant que ce dernier ‘devait rester’” ? Un autre note que “le président de la République, qui est toujours à l'écoute de son peuple (sic !), veut donc exaucer son vœu de revoir coach Vahid à la barre technique des Verts” ; sûr de son fait, il rappelle que “l’Algérie est bien riche et peut se permettre n’importe quel coach” !
Souvent la foule, leurrée par sa puissance éphémère, s’autoproclame “peuple” et prend ses désirs pour des nécessités. Elle en oublie que “le peuple”, précisément, est fait d’individus. Et que dans certaines cultures, l’individu dispose librement de lui-même. C’est peut-être cette liberté que Halilhodzic vient d’exercer en s’en tenant à ce qu’il avait déjà décidé : changer d’air.
Dans la pensée totalitaire, que nous partageons avec notre pouvoir dans une sorte de syndrome de Stockholm généralisé, la volonté tapageuse de la foule, érigée en “volonté populaire” et endossée par le pouvoir, devient volonté absolue. Une volonté de la foule qui, donc, érigée en “volonté populaire” et s’exprimant par l’intermédiation du pouvoir, devient volonté absolue.
Mais où se croit-on ? En Algérie ? Personne n’a donc envisagé le cas où que Halilhodzic a simplement et librement choisi parmi les opportunités professionnelles qui se présentent à lui, ou le cas où, s’étant déjà engagé avec un club turc, il n’a peut-être pas trouvé correct de se rétracter ?... même pour l’offre d’un employeur “qui peut se payer n’importe quel coach”.
L’argent a contribué à la formation de la conviction selon laquelle Halilhodzic ne pouvait pas refuser l’offre algérienne : il est notoire que quand notre pouvoir aime, il ne compte pas.
Au lieu d’être scandalisée par la “qatarisée” des deniers publics qui servent à entretenir le “prestige” d’un pouvoir improductif, à soudoyer les corporations, clans et confréries, à asservir les élites “choisies”, la foule est scandalisée par l’échec du subterfuge politico-médiatique.
Tout le monde a vu qu’Halilhodzic espère que “l’on poursuive la dynamique”. Mais personne ne s’attarde sur son constat selon lequel “les choses n’ont pas toujours été faciles”.
Non, parce que l’on a coutume de couvrir les laideurs du système avec de l’argent. S’il accepte de rempiler, il acceptera de se taire. Il accepte l’oubli, cette formule ruineuse qui dispense nos “responsables” de rendre des comptes et qui fonde la démocratie de “la stabilité”.
Comme l’on couvre le déni de démocratie en payant au peuple, aux supporters, le meilleur entraîneur du monde et les meilleurs de la diaspora. Ne pouvant choisir leurs dirigeants, les Algériens, troquant leur statut de citoyens contre leurs fugaces ivresses de supporters, ont l’illusion que leurs dirigeants exécutent leur choix.
Mustapha Hammouche
Liberté - Algérie
L'image du jour 06-07-2014
Un éclair à Manhattan au moment d’un coucher du soleil : un spectacle vibrant offert aux passants.
5.7.14
65 % des Français ne souhaitent pas que Sarkozy se présente à la présidentielle
Près de deux Français sur trois (65%) ne souhaitent pas que l'ancien président Nicolas Sarkozy se présente à l'élection présidentielle de 2017, selon un sondage BVA pour Itélé et Le Parisien-Aujourd'hui en France.
"J'aurai à décider, après un temps de réflexion, à la fin du mois d'août ou au début septembre, de ce que je vais faire", avait déclaré l'ex-chef d'État lors de son intervention télévisée, après l'annonce de sa mise en examen pour "corruption active", "trafic d'influence actif" et "recel de violation du secret professionnel".
À la question de savoir s'ils souhaitent que Nicolas Sarkozy se présente à l'élection présidentielle de 2017, 65% des personnes interrogées ont répondu "non", 33% "oui", tandis que 2% ne se sont pas prononcées. Si 94% des sympathisants de gauche ne souhaitent pas que l'ancien président soit candidat pour un nouveau quinquennat, 62% des sympathisants de droite y sont favorables, une proportion qui atteint 78% parmi les sympathisants de l'UMP (opposition), le parti de Nicolas Sarkozy, selon les résultats de cette enquête.
70% des Français pensent qu'il reviendra
Priés de dire s'ils pensent que Nicolas Sarkozy se présentera à la présidentielle de 2017, 70% des sondés ont répondu "oui", un point de moins qu'en mars, contre 28% "non". 2% ne se sont pas prononcés. Quant à savoir s'ils pensent qu'"avec les affaires en cours, l'UMP peut tout de même présenter Nicolas Sarkozy" comme candidat à la présidentielle, 57% des Français ont répondu négativement, contre 41% positivement. 2% ne se sont pas prononcés.
Le sondage a été réalisé après la mise en examen de l'ancien chef de l'État mais avant son intervention télévisée. L'enquête a été réalisée auprès d'un échantillon de 1057 personnes recrutées par téléphone et interrogées par internet les 3 et 4 juillet, représentatif de la population française âgée de 18 ans et plus.
"J'aurai à décider, après un temps de réflexion, à la fin du mois d'août ou au début septembre, de ce que je vais faire", avait déclaré l'ex-chef d'État lors de son intervention télévisée, après l'annonce de sa mise en examen pour "corruption active", "trafic d'influence actif" et "recel de violation du secret professionnel".
À la question de savoir s'ils souhaitent que Nicolas Sarkozy se présente à l'élection présidentielle de 2017, 65% des personnes interrogées ont répondu "non", 33% "oui", tandis que 2% ne se sont pas prononcées. Si 94% des sympathisants de gauche ne souhaitent pas que l'ancien président soit candidat pour un nouveau quinquennat, 62% des sympathisants de droite y sont favorables, une proportion qui atteint 78% parmi les sympathisants de l'UMP (opposition), le parti de Nicolas Sarkozy, selon les résultats de cette enquête.
70% des Français pensent qu'il reviendra
Priés de dire s'ils pensent que Nicolas Sarkozy se présentera à la présidentielle de 2017, 70% des sondés ont répondu "oui", un point de moins qu'en mars, contre 28% "non". 2% ne se sont pas prononcés. Quant à savoir s'ils pensent qu'"avec les affaires en cours, l'UMP peut tout de même présenter Nicolas Sarkozy" comme candidat à la présidentielle, 57% des Français ont répondu négativement, contre 41% positivement. 2% ne se sont pas prononcés.
Le sondage a été réalisé après la mise en examen de l'ancien chef de l'État mais avant son intervention télévisée. L'enquête a été réalisée auprès d'un échantillon de 1057 personnes recrutées par téléphone et interrogées par internet les 3 et 4 juillet, représentatif de la population française âgée de 18 ans et plus.
Le Figaro
4.7.14
Coupe du Monde de Football - Les bleus: Fin de l'histoire - l'Allemagne élimine la France
Les Bleus ont craqué une fois, la fois de trop... l’équipe de France a abandonné sous le cagnard du Maracana ses rêves d’une Coupe du monde plus aboutie... Menés dès la 13e minute de jeu et une tête de Hummels à un moment du match où l’Allemagne leur avait confisqué le ballon, les joueurs de Didier Deschamps ont cru jusqu’au bout, mais ni le passage en 4-2-3-1 après la rentrée de Rémy (73e), ni le remplacement de Valbuena par Giroud en fin de match leur auront finalement permis de poursuivre leur route.
Dans l’avion qui les reconduira en France, ils repenseront certainement à ces situations chaudes qu’ils auraient pu mieux négocier, mais ils ne devront pas non plus oublier qu’il a fallu un grand Hugo Lloris en fin de match pour continuer à croire. A en juger par les larmes de Griezmann ou par le regard dans le vide de Valbuena au coup de sifflet final, la déception des Bleus a été à la hauteur des espoirs qu’ils nourrissaient secrètement.
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