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3.11.12

L'image du jour 03-11-2012

La Chine, partenaire spatial du Venezuela

La Chine, partenaire spatial du Venezuela
Une fusée longue Marche a lancé le satellite d’observation vénézuélien “généralissime Francisco de Miranda”, depuis la base de Jiuquan (désert de Gobi). En 2008, le Venezuela s‘était déjà associé à la Chine pour le lancement du “Simon Bolivar”, son premier satellite. REUTERS

2.11.12

Les plus beaux châteaux du monde - Ordre Teutonique de Malbork - Pologne

Château de l’ordre Teutonique de Malbork
 
Château de l’ordre Teutonique de Malbork, Pologne C’est l’un des plus importants monuments érigés par les chevaliers de l'ordre Teutonique – des moines militaires, à l’origine de l’État monastique de Prusse, et qui livraient bataille aux païens. Sa construction débute vers 1270 et, en raison de guerres, plusieurs travaux de restauration sont effectués. Avec sa couleur rouille, le monastère fortifié est tout simplement renversant. D’autant plus que l’ocre des briques contraste de façon spectaculaire avec la verdure de la végétation, qui parsème la forteresse. Le château de l’ordre Teutonique Malbork figure sur la liste du patrimoine mondial de l’UNESCO.

Alerte em Haiti: Un million de personnes menacées par la famine

Sandy a fait plus de 50 morts en Haïti et détruit les maisons d'environ 20'000 personnes.

Il reste toujours difficile d'avoir une idée précise des dégâts causés mais Sandy, qui a fait plus de 50 morts dans le pays, a détruit ou endommagé les maisons d'environ 20.000 personnes, a expliqué Johan Peleman, du bureau de l'ONU pour les affaires humanitaires (OCHA), sur le site internet des Nations unies.
Le nord d'Haïti, qui a déjà été touché par une longue sécheresse plus tôt cette année, avait aussi été frappé par un précédent ouragan, Isaac, en août. Les autorités craignent à présent que ce qu'il restait des récoltes ait été complètement détruit par Sandy.
«Avec le sud touché à son tour, de sérieux problèmes de malnutrition et d'insécurité alimentaire sont à craindre dans les mois à venir», a ajouté Johan Peleman sur la radio de l'ONU.
Poussée de choléra
L'ouragan a dévasté l'agriculture et les réseaux routiers du pays. Le Premier ministre Laurent Lamothe a ainsi lancé un appel à «la solidarité internationale» mardi. Selon des statistiques présentées par ses ministres, d'énormes pertes ont été enregistrées dans le secteur agricole, s'élevant à plus de 104 millions de dollars.
La ministre de la Santé publique, Florence Guillaume, a en outre fait état d'une situation alarmante alors que de manière générale les cas de choléra augmentent les jours suivant les intempéries. Une augmentation du nombre de personnes touchées par le choléra est à craindre, a noté Johan Peleman.
Sur le plan international, cette nouvelle catastrophe qui a touché Haïti est passée relativement inaperçue comparée à la couverture médiatique de Sandy aux Etats-Unis, et notamment à New York. Cependant, le Venezuela, la France ou le Mexique ont déjà offert leur aide. (afp/Newsnet)

Extrader une ressortissante francaise: Valls tu fais mieux que ton maître Sarkozy!

Que reproche l'Espagne à la militante basque Aurore Martin?

Un banal contrôle routier. C'est ainsi qu'Aurore Martin, militante basque de 33 ans, a été arrêtée jeudi vers 16 heures à Mauléon, d'où elle est originaire. La jeune femme, qui s'est rendue sans résistance, a dans un premier temps été transférée à la gendarmerie de Pau, auprès de la Section de recherches, avant d'être remise vers 20h30 aux autorités espagnoles. C'est la première fois qu'un ressortissant français est extradé de l'autre côté des Pyrénées pour des faits liés aux affaires basques.

Que lui reproche-t-on?

La jeune femme était sous le coup d'un mandat d'arrêt européen depuis octobre 2010 "en vue de poursuites pénales pour des faits de participation à une organisation terroriste et terrorisme". On lui reproche notamment d'avoir participé à des réunions publiques du parti Batasuna, légal en France, mais interdit en Espagne en raison de ses liens présumés avec le groupe séparatiste ETA. A l'époque, ce mandat avait suscité une levée de boucliers au Pays basque, pour dénoncer une procédure d'"extradition" d'une Française basée sur des faits qui sont parfaitement légaux en France, où Batasuna a pignon sur rue et où ses militants s'expriment librement.
La jeune femme, qui a épuisé toutes les voies légales de contestation de ce mandat, devrait être rapidement présentée à l'Audience nationale espagnole à Madrid, le tribunal habilité à gérer ce genre d'affaires. Selon le quotidien Sud Ouest, il peut désormais prendre trois types de décision: une libération sans charge, une libération assortie d'une caution, ou une incarcération. La militante risque jusqu'à 12 ans de prison pour son implication dans le mouvement.

Une première tentative d'extradition avortée

Ce n'est pas la première fois que la police parvient à retrouver la trace de la jeune femme. Le 21 juin 2011, la militante avait failli être arrêtée à Bayonne, quatre jours après avoir annoncé sa volonté de sortir de la clandestinité. Mais les forces de l'ordre avaient dû stopper leur intervention car une quarantaine de militants - dont plusieurs élus de la région - avaient fait irruption dans le bar où elle était en train d'être interpellée et en avaient bloqué l'accès. Depuis, elle est réapparue à plusieurs reprises dans des manifestations au Pays Basque.

Une arrestation très contestée

L'annonce de l'extradition d'Aurore Martin a été dénoncée par de nombreux élus. Selon eux, cette décision juridique est disproportionnée par rapport aux activités de la militante, d'autant que l'organisation à laquelle elle appartient est légale en France. "Le Pays basque, dans sa diversité politique et sociale, s'était exprimé pour dire que le mandat d'arrêt européen était disproportionné par rapport à ce qui est reproché à Mme Martin.(...) Quelle est l'utilité de cette arrestation?", s'est indigné Max Brisson, élu UMP. Et la député PS, Sylviane Alaux d'ajouter: "Je suis très surprise par l'arrestation d'Aurore Martin qui vivait dans une sorte de semi-clandestinité avec beaucoup de soutiens amicaux. (...) Quand je mesure ce qui est reproché à Aurore Martin, sa participation à une conférence de presse et à une manifestation interdite, je suis interpellée."
Mais la mobilisation dépasse largement les frontières du pays basque. Dans un communiqué intitulé "Que cherche Manuel Valls?", EELV Pays basque s'est dit "choqué par l'attitude" du ministre "concernant le Pays basque et s'inquiète de voir pratiquer une répression que rien ne justifie dans le climat actuel".
L'EXPRESS 

Par monts et par Valls


"Je voudrais dire quelque chose à Manuel. Pour moi, pour nous, la sécurité n’est ni de gauche ni de droite. Et je dois dire que nous sommes très heureux de son action.” Des éloges comme celui-ci, le ministre français de l’Intérieur – le Barcelonais Manuel Valls – doit en avoir reçu beaucoup ces derniers mois, tant son travail est encensé dans l’ensemble du pays. Toutefois, l’enthousiasme de l’ancien maire de Corbeil-Essonnes, le 11 septembre, avait une dimension politique particulière : l’ex-notable de cette ville située dans la banlieue sud de Paris n’est autre que l’octogénaire Serge Dassault, sénateur UMP, président du groupe aéronautique Dassault et propriétaire du journal conservateur Le Figaro. “Et c’est pour cela qu’il a l’appui d’un journal bien connu, poursuit le patriarche. Actuellement, c’est très bien ! Pour les Roms et tous les autres, c’est formidable.”

L’anecdote, probablement embarrassante pour le ministre socialiste, illustre à quel point sa fermeté en matière de sécurité a conquis les forces de l’ordre, les classes populaires et une grande partie des électeurs de droite. Et cela explique pourquoi Manuel Valls, qui n’a pas pour autant perdu la faveur de l’électorat socialiste, est devenu en six mois l’homme politique le plus populaire de France. On le préfère au président de la République, François Hollande, et au Premier ministre, Jean-Marc Ayrault : sa popularité grimpe au rythme où celle des deux autres dégringole.
LA VANGUARDI
Lire la suite sur http://www.courrierinternational.com/article/2012/10/25/par-monts-et-par-valls

Images du Monde - Madrid

Des membres du groupe des «victimes hypothécaires» campent devant le siège de la Bankia à Madrid le 29 octobre. Les manifestants, installés ici depuis une semaine, réclament que lorsque la banque prend possession de leurs propriétés, elle devrait ainsi effacer leurs dettes et leur permettre de continuer d'habiter ces logements grace à de faibles loyers.J. MEDINA / REUTERS
Des membres du groupe des «victimes hypothécaires» campent devant le siège de la Bankia à Madrid . Les manifestants, installés ici depuis une semaine, réclament que lorsque la banque prend possession de leurs propriétés, elle devrait ainsi effacer leurs dettes et leur permettre de continuer d'habiter ces logements grace à de faibles loyers.

Images du Monde - Kashmir

Un jeune homme patiente au bord de la rivière Jehlum à Srinagar, au Kashmir, sous des tissus fraichement teints le 30 octobre.F. KABLI / REUTERS
Un jeune homme patiente au bord de la rivière Jehlum à Srinagar, au Kashmir, sous des tissus fraichement teints

Images du Monde - Pakistan

Dans une rue de Lahore au Pakistan, un homme répare des reines de chevaux le 31 octobre.M. RANA / REUTERS
Dans une rue de Lahore au Pakistan, un homme répare des reines de chevaux le 31 octobre.

Images du Monde - New Jersey


Depuis le passage de Sandy, les paysages du New Jersey ont un air d'apocalypse.S. NESIUS/REUTERS

Depuis le passage de Sandy, les paysages du New Jersey ont un air d'apocalypse.

L'image du jour 02-11-2012

Les violences sectaires s'intensifient en Birmanie

Les violences sectaires s'intensifient en Birmanie
Déplacé par les récentes violences à Pauktaw, un enfant erre près d’un camp de réfugiés musulmans à l’extérieur de Sittwe. Les enquêteurs de l’ONU chargés des droits de l’homme ont appelé les autorités birmanes à cesser les violences sectaires et les ont mis en garde de ne pas utiliser le conflit comme un prétexte pour réprimer la minorité musulmane des Rohingya. REUTERS/Soe Zeya Tun

31.10.12

Texte: Manu, ou les dialogues improbables


Dialogues improbables

 

- Allo, c’est toi Manu ?...

- Allo… oui… qu’est-ce que c’est ?

- Je suis bien chez Manu ?

- Oui…pourquoi ? Qu’est-ce qu’il y a… ?

- Il n’est que 5 heures du mat. Je ne te réveille pas, au moins… ?

- Putain ! Oui tu m’as réveillé ! Mais qui es-tu ?

- Ton copain Joan !

- Mais j’ai pas de copain Joan…!

- Tu habites toujours dans le seizième, dis ?

- Non, bordel ! Je vis à Sarcelles, et je suis flic. Au

  fait, où tu habites, toi ?

- Pourquoi tu me demandes ca, Manu ?

- Pourquoi ? Mais pour te remercier, mon pote ; tu m’as réveillé,

  tu m’as emmerdé au moins cinq minutes… Alors, si t’es pas très loin,

  on pourrait prendre le petit-déjeuner ensemble.

- C’est vrai ? C’est très gentil Manu…

- Moi ce sera du rouge et du saucisson, comme d’habitude ;

  toi ce sera de la matraque, petit con !

 

Rio de Janeiro, 31 octobre 2012

 

JoanMira

 

30.10.12

Maroc: Un rapport officiel déplore des traitements "inhumains" dans les prisons


Les détenus subissent des "traitements cruels, inhumains ou dégradants", surtout pour les femmes, dans la plupart des prisons du Maroc, en l'absence de contrôles et d'inspections efficaces, selon un rapport publié mardi par le Conseil national des droits de l'Homme (CNDH).
"Ces exactions ont été observées dans la plupart des prisons visitées", selon le CNDH, dont les membres sont tous nommés par le roi Mohammed VI, à qui le document doit être remis. "Ces violations se manifestent par des coups portés aux moyens de bâtons et de tuyaux, la suspension sur des portes à l'aide de menottes, les coups administrés sur la plante des pieds, les gifles, les pincements à l'aide d'aiguilles, les brûlures", ajoute le rapport. Le 11 septembre, le CNDH avait déjà établi un constat critique s'agissant de la situation dans les hôpitaux psychiatriques, la qualifiant "d'archaïque et inadaptée". Sur les prisons, la persistance de ces violations va à l'encontre "des lois régissant les établissements pénitentiaires et de toutes les conventions pertinentes qui considèrent de tels agissements comme des formes de traitement cruels, inhumains ou dégradants", relève encore le CNDH. Dans son rapport, l'organisme souligne par ailleurs que la détention provisoire et la lenteur des procès constituent la première cause du surpeuplement dans les prisons marocaines.
Les femme pâtissent davantage de traitements cruels
Concernant les femmes détenues, le constat est encore plus critique. Elles "pâtissent davantage, pour des considérations d'ordre socioculturel, de traitements cruels et comportements dégradants (insultes, humiliations), aussi bien dans les postes de police qu'en prison", avance le CNDH. "Les détenues incarcérées pour des affaires de moeurs sont particulièrement visées par certaines surveillantes", précise en outre le document, qui a nécessité cinq mois d'enquête dans plusieurs prisons du royaume.
Concernant les femmes accouchant en prison, "le Conseil constate (...) l'exiguïté de l'espace" réservé à ces femmes dans "plusieurs prisons, l'absence de crèches et de moyens de divertissement pour ces enfants". "A l'expiration du délai qui leur est accordé pour garder leurs enfants, et en l'absence des proches ou devant leur refus de les prendre en charge, les détenues sont contraintes de les abandonner à des tiers qui les exploitent dans certains cas dans la mendicité ou les placent dans des orphelinats", souligne le CNDH.
Dans ses recommandations, il appelle à "l'élaboration d'un plan d'action pour l'éradication de la torture" en partenariat avec "les autorités judiciaires, le Parlement, le gouvernement et la société civile".
L'HUMANITE

Nouvelles de Mars

 
29 octobre 2012 - Seconde cible de Curiosity, cette roche a été baptisée Et-Then. Elle sera elle aussi étudiée de très près.
Par Chloé Durand-Parenti

L'ouragan Sandy est-il exceptionnel?

Photo satellite de Sandy diffusée par l'Agence américaine océanique et atmosphérique (NOAA).

Il a déjà fait plusieurs dizaines de morts, fait fermer la Bourse de Wall Street et interrompu la campagne présidentielle américaine... Qu'a donc l'ouragan Sandy de si exceptionnel ? François Gourand, prévisionniste à Météo-France, décortique pour Le Point.fr les particularités du phénomène.
Le Point.fr : Comment se forme un tel ouragan ?
François Gourand : Dans un premier temps, vous avez des perturbations à petite échelle, des amas orageux qui se forment généralement - pour ce qui concerne l'Atlantique - à l'ouest de l'Afrique et qui dérivent ensuite vers les Caraïbes. Sur le chemin, si la mer est suffisamment chaude en surface (de l'ordre de 25 à 26 degrés) et s'il n'y a trop de différences entre le vent au sol et celui présent en altitude, un tourbillon va se former et se mettre à tourner de plus en plus vite pour devenir tempête ou ouragan. C'est un phénomène que l'on observe régulièrement...
Qu'est-ce que Sandy a donc de si particulier ?
D'abord, on a rarement vu, depuis que l'on fait des relevés météorologiques fiables, un système avec une pression aussi basse, s'approcher aussi haut, en latitude, des États-Unis.
Or, la puissance d'un ouragan résulte justement du différentiel de pression entre le centre du système et l'extérieur. C'est à cause de cela que les vents sont particulièrement violents. De plus, les violentes rafales qui se concentrent d'habitude assez près de l'oeil du cyclone ont été observées sur des centaines de kilomètres, bien au-delà de celui-ci. Enfin, Sandy a également une trajectoire assez inhabituelle. En général, les ouragans qui ont sévi dans cette région s'incurvent vers le nord-est à mesure qu'ils remontent vers le nord, de sorte qu'ils passent plus alors au large, sans pénétrer profondément dans les terres. Sandy, lui, s'est au contraire rapproché de la côte pour entrer largement dans une zone très peuplée du nord-est des États-Unis.
Comment peut-on expliquer ce phénomène ?
En réalité, c'est parce qu'il y avait déjà une perturbation sur les États-Unis avec de l'air froid qui avait envahi la région des Grands Lacs. Il y a alors eu une interaction entre l'ouragan qui remontait et cet air froid qui descendait des Grands Lacs vers l'est des États-Unis. Cela a créé une sorte d'effet d'aspiration qui a ramené l'ouragan vers la côte.
Y a-t-il d'autres éléments qui peuvent expliquer l'ampleur des dégâts déjà constatés ?
Les rafales ont atteint jusqu'à 150 km/h en arrivant sur la côte et 130 km/h à New York même. C'est important, mais ce n'est pas un record. En revanche, dans le même temps, Sandy s'est déplacé très lentement, ce qui a laissé aux vents violents le temps de faire un véritable travail de sape. Par ailleurs, les cumuls de pluie sont allés jusqu'à 300 millimètres localement dans le New Jersey, ce qui est l'équivalent de deux mois de précipitations tombées en seulement 24 heures. Et il faut ajouter à cela une importante montée du niveau de la mer, avec jusqu'à 3,5 m de surcote localement. La pression très basse au coeur du cyclone a joué le rôle d'une pompe qui a fait monter mécaniquement le niveau de l'océan alors que la marée était déjà forte à ce moment de l'année. Ajoutez ensuite à cela des vents violents qui poussent toute cette eau vers les côtes et vous obtenez des inondations importantes, y compris dans les quartiers bas de New York.
LE POINT 

VIDEO. New York frappé par Sandy : la façade effondrée qui fait le tour du Web

New York, le 29 octobre. La façade d'un immeuble new-yorkais emportée par l'ouragan Sandy.

La photo fait le tour des réseaux sociaux depuis cette nuit de lundi à mardi. C'est l'une des conséquences les plus spectaculaires du passage de l'ouragan Sandy à New York : la façade d'un immeuble de quatre étages s'est effondrée en quelques secondes dans le quartier de , à Mahattan, laissant apparaître l'intérieur des appartements, à la manière d'une maison de poupées.
Lits, commodes, posters au mur et radiateurs sont encore intacts, mais rien ne reste de la façade donnant sur la rue. Selon NBC, des témoins époustouflés rapportent la rapidité de l'effondrement, à la verticale. «C'est comme si tout avait fondu» raconte Susan Milyavsky qui a tout vu depuis le balcon de l'appartement d'un ami, juste en face. «Il s'est écroulé», tout simplement. Les témoins sont encore sous le choc, mais expliquent n'avoir vu personne ni tomber ni courir. «Je ne crois pas qu'il y ait eu quiconque dans le bâtiment», ajoute Susan. Les pompiers sur place n 'avaient pas pas eu à prendre en charge des blessé ce mardi matin. En revanche, ils restaient attentifs aux nombreux débris qui virevoltent autour de l'immeuble.
VIDEO. La façade de l'immeuble s'écroule


La photo d'origine, postée sur Twitter à 4h13 (heure française) par Meg Robertson