L'actrice et beauté italienne Silvana Pampanini est décédée à l'âge de 90 ans, ont rapporté mercredi les médias locaux. Elle a été l'une des stars de cinéma les plus connues de l'après-guerre.
Silvana Pampanini, qui avait été hospitalisée après être tombée malade en octobre selon le journal Corriere della Sera, a joué dans plus de 50 films au cours de sa carrière, notamment dans les années 50.
Cette brune voluptueuse aux grands yeux, surnommée Nini Pampan en France, avait acquis la notoriété en perdant le concours de Miss Italie en 1946, ce qui avait provoque un tollé dans la presse populaire. Elle a tourné au côtés de Buster Keaton, Marcello Mastroianni, Alberto Sordi, Toto et Jean Gabin.
Elle a incarné la beauté italienne à travers le monde, avant d'autres sirènes italiennes comme Sophia Loren et Gina Lollobrigida.
Très courtisée
Silvana Pampanini ne s'est jamais mariée mais aurait été courtisée par beaucoup d'hommes célèbres, du dirigeant cubain Fidel Castro à l'ex-roi d'Egypte Farouk, en passant par les acteurs Orson Welles et Omar Sharif.
Catholique pratiquante, elle ne jouait plus qu'occasionnellement depuis les années soixante. Elle avait arrêté sa carrière à plein temps pour s'occuper de ses parents âgés.
Exclusif: L’affaire impliquerait deux inspectrices de police de la zone Ouest et huit militaires.
L’information s’est propagée comme une traînée de poudre ces derniers jours au sein de la police. Dans plusieurs zones de la capitale, c’est devenu le sujet de conversation du moment. Huit militaires qui partouzent avec deux policières dans un commissariat, forcément, ça choque, ça interpelle, et ça alimente les conversations entre collègues.
Les faits dateraient d’il y a moins d’un mois. Ils se seraient produits au commissariat de Ganshoren et impliqueraient deux policières et huit militaires. Le chef de corps de la zone Ouest ne confirme pas, mais nous y reviendrons plus loin.
Ce qui est certain, c’est que lors du passage au niveau 4 d’alerte terroriste sur Bruxelles, le commissariat de Ganshoren s’est transformé en site d’accueil pour une vingtaine de militaires. Un étage du bâtiment a spécialement été aménagé en dortoir afin qu’une partie des Chasseurs ardennais puissent y rester la nuit. Ils y ont logé pendant deux semaines au total, avant de migrer une semaine vers le commissariat de Jette.
Pour éviter les longs déplacements vers leur caserne, ces militaires restaient ainsi dormir au commissariat de Ganshoren, une fois leur service terminé, à savoir dès 22 h, chaque soir.
À l’arrivée des militaires dans ce commissariat, plusieurs policiers de la division de Ganshoren ont affirmé que leurs collègues féminines étaient déjà "toutes chaudes et toutes folles" à l’idée de recevoir ces hommes en uniforme.
Selon nos informations , un soir, deux policières, une appartenant à la division de Ganshoren, et l’autre travaillant au dispatching de la zone, seraient passées à l’acte avec huit des vingt militaires dormant sur place.
Des dizaines de Bulgares bravent les eaux glacées du fleuve Tundzha à Kalofer, en Bulgarie, pour participer à la traditionnelle danse “Horo”, dans le cadre des célébrations de l’Epiphanie. REUTERS/Stoyan Nenov
Affecté par la disparition du professeur Galabru, décédé le 4 janvier, l'élève Yannis Ezziadi évoque pour Le Figaro cette relation si particulière qu'il entretenait avec l'acteur de 93 ans. De 2009 à 2012, il se souvient avoir vécu des répétitions intenses aux côtés d'un homme d'exception qu'il considère comme étant «le plus grand acteur français».
«J'ai toujours voulu être comédien et j'ai été viré de l'école à 16 ans. À ce moment-là, j'ai demandé à Galabru de devenir son élève. Malgré mon âge, il a fini par accepter de me prendre», se souvient le jeune homme.
«Je me rappelle alors d'un acteur fou. Il était généreux, simple et, pour autant, il était capable de passer cinq heures à répéter une seule réplique. Avec lui, les cours n'avaient pas de fin. On s'arrêtait fréquemment pour écouter presque religieusement ses anecdotes et ses confessions», raconte Yannis Ezziadi, particulièrement ému par la disparition de son mentor.
«Il me disait qu'il m'offrirait un chapiteau pour jouer Les Fourberies de Scapin»
C'est justement sur la folie et la générosité de l'acteur que l'élève s'attarde. «Même à 92 ans, il mettait ses tripes sur scène. C'était un enfant malgré son âge. Il continuait à avoir des projets ambitieux, et des idées farfelues. Un fou! C'était incroyable. Il me disait qu'il m'offrirait un chapiteau pour jouer Les Fourberies de Scapin, qu'il voulait faire une tournée dans toute la France en roulotte. Vous imaginez? Il louait des théâtres avec son argent pour ses élèves». Face à ses promesses, le jeune homme est gêné, il se demande comment cela est possible. «En fait, c'est notre société d'aujourd'hui qui est trop raisonnable», constate le comédien en herbe.
La dernière rencontre entre l'élève et le professeur a lieu en octobre 2015. C'est à cette période queMichel Galabru disparaît des planches, trop affaibli et affecté par le décès successif de son frère puis de sa femme. «Avant d'aller le voir, j'ai fait part à Michel Fau d'un projet que j'avais en tête. Il m'a dit de foncer. Rapidement, je suis allé voir Galabru. Je lui ai alors demandé s'il accepterait de mettre en scène avec moi Les monologues d'Alan Bennett. Pour cela, il devait se travestir et devenir une femme. Croyez-le ou non, il n'a pas hésité une seule seconde et a accepté», se rappelle Yannis Ezziadi.
C'était avant la disparition du comédien. «Avec la mort de Michel Galabru, c'est le rêve de ma vie qui disparaît», conclut Yannis Ezziadi qui ne réalise pas encore avoir perdu l'homme dont il espérait obtenir la fierté.
Dans le public, la spectatrice Robin Roy fait une drôle de tête quand le candidat à l’investiture républicaine Donald Trump l’aborde lors d’un meeting à Lowell, Massachusetts.
Une partie du lac Powell, près de Page, en Arizona, est asséchée alors qu’elle devrait normalement se trouver sous les eaux. Le niveau du lac est seulement à 42% de sa capacité, ce qui inquiète de nombreux commentateurs qui y voient un nouvel effet du changement climatique.
Un talent nous a quittés; Michel c'était une voix de velours, un
compositeur de talent de la chanson populaire française tant décriée par les
"critiques" ; pseudo intellectuels qui, tels des coucous (ou
vautours), s'enrichissent, pauvrement, au détriment des vrais créateurs.
Michel c'était une grande gentillesse, en scène ou dans la vie; c’était
un sociologue qui chantait la philosophie telle que nous l’entendons, sans
fioritures.
Michel c'était l'harmonie et des textes cisaillés sans rimes
inutiles.
C'était un Homme, un vrai; courageux à l'extrême, demandant à
ses proches de ne pas divulguer, après sa mort, combien il avait souffert.
Au-revoir l'Ami; j’ai vécu une grande partie de ma jeunesse au rythme de tes mélodies qui seront
éternelles, même après nos retrouvailles.
« Dis que j’ai été courageux », avait-il demandé à son ami Michel Drucker en juin 2015. Geneviève Delpech, la femme du chanteur a annoncé que son mari était «mort ce soir à 21H30». A 69 ans, «Cela faisait trois ans qu'il se battait contre un cancer» de la langue et de la gorge a-t-elle ajouté. Quand Michel Delpech était chanteur.
Premier succès « Chez Laurette »
Jean-Michel Delpech, dit Michel Delpech, est né le 26 janvier 1946à Courbevoie. Il mène une enfance paisible auprès de son père, qui travaille dans l’entreprise familiale de chromage de métaux, sa mère, femme au foyer et ses deux sœurs : « J’avais l’essentiel : l’amour, tout était charmant, sans excès », résume-t-il.
Fan de Charles Aznavour et de Gilbert Bécaud, il monte un groupe avec des copains de lycée. Les pions du lycée, séduits par sa voix de velours, l’encouragent à auditionner pour les Disques Vogue, la maison de disques de Jacques Dutronc. A dix-huit ans, il tente sa chance et enregistre un quatre titres, Anatole. En pleine vague yé-yé, le directeur artistique veut faire de Michel Delpech un rocker. Il claque la porte.
Il rencontre alors Roland Vincent, qui deviendra son compositeur attitré. Leur première collaboration, le quatre titres Elle se moque de moi, sort en novembre 1964sur le label Festival.
Le succès arrive en 1965. Michel Delpech joue avec sa future femme Chantal Simon dans la comédie musicale Copains Clopant et entonne six mois durant Chez Laurette, son premier tube. L’année suivante, il signe son second succès Inventaire 66, avec l’impresario Johnny Stark et une nouvelle maison de disques, Barclay. Il obtient le Grand Prix du disque de l’académie Charles-Cros pour Il y a des jours où on ferait mieux de rester au lit, chanson coécrite avec Jean-Jacques Debout.
« L’homme qui avait construit sa maison sur le sable »
Chemise ouverte sur pendentif, pattes d’éph, il fait craquer les filles en chantant « hippie-hippie-pie » sur le planant Wight is Wight en 1969. Le disque se vend à trois millions d’exemplaires !
En 1971, il sort sur la face B du 45-tours Le Blé en herbe, une ritournelle entraînante, Pour un flirt. Michel Delpech enquille les succèsQue Marianne était jolie, Les Divorcés, Le Chasseur, et Le Loir-et-Cher, Quand j’étais chanteur. C'est le temps de l'argent à foison, mais aussi de l’alcool, des drogues et des conquêtes « Il n’y en avait que pour ma pomme », dira-il.
Sa femme le quitte en 1978 pour s’installer avec son amant en Polynésie. Michel Delpech entame une traversée du désert et sombre dans la dépression jusqu’à sa rencontre avec Geneviève Garnier-Fabre, sa seconde épouse. Il écrira un livre sur ce parcours L’homme qui avait construit sa maison sur le sable.
« Vivre ! »
Nouveau départ en 1986 avec l’album Oubliez Tout Ce Que Je Vous Ai Dit. Succès confidentiel.Michel Delpech s’oriente vers la world music et loue Les Voix du Brésil en 1991. En 1997, il enregistre Le Roi de rien, un album réalisé avec Pascal Obispo et Jean-Louis Murat, Comme Vous, un album blues folk en 2004. Le public boude toujours.
En 2006, il renoue avec le succès en revisitant les standards de son répertoire en duo. Le chanteur annule une tournée en mars 2013 en raison de la maladie. Après quelques mois de rémission, l’artiste annonce dans Vivre !, un récit autobiographique qui racontait soncombat contre le crabe, paru en mars 2015 : « Il y a deux mois, la douleur s’est réveillée. En fait, je n’avais pas guéri ».