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Les Maîtres de la photographie - Michal Karcz - "La route"
Affiche du film "La route" , film américain de John Hillcoat avec Viggo Mortensen et Kodi-SmithMcPhee © Michal KARCZ
Malaysia Airlines. Le débris retrouvé à la Réunion relance l’enquête sur la disparition du MH370
La découverte d’un débris d’avion sur l’île de la Réunion dans l’océan Indien relance l’enquête sur le MH370 de la Malaysia Airlines disparu il y a plus d’un an. Son identification pourrait permettre de résoudre l’une des plus grandes énigmes de l’histoire de l’aviation civile.
“Il faut vérifier le débris avant de pouvoir confirmer s’il appartient bien au MH370”, a déclaré le ministre des Transports malaisien, Dato Sri Liow Tiong Lai. Une équipe d’enquêteurs a été envoyée à la Réunion où a été retrouvé un mystérieux débris d’avion, le 29 juillet, sur la côte orientale de l’île française.
D’une longueur de deux mètres, l’objet, qui ressemble à un morceau d’aile, a été découvert par les salariés d’une équipe de nettoyage sur le rivage, à Saint-André. Il était “recouvert de coquillages” et semblait être “dans l’eau depuis longtemps”, ont assuré des témoins. Sur sa coque, le débris comporte par ailleurs un numéro visible : BB670, largement commenté dans la presse internationale ce 30 juillet. “Ce code va être déterminant pour identifier la provenance du débris”, suggère The Daily Telegraph.
Deux raisons principales laissent penser qu’il pourrait s’agir d’un morceau de l’avion disparu de la Malaysia Airlines, parti de Kuala Lumpur à destination Pékin et mystérieusement disparu le 8 mars 2014, indique encore le quotidien britannique. “D’abord parce que l’objet trouvé semble être une pièce de Boeing 777 – comme le MH370 – et qu’aucun autre Boeing n’a été récemment porté disparu dans la région.” Et deuxièmement parce que, “d’après les océanologues, l’objet a été retrouvé [dans la zone] où auraient pu échouer [les débris] dudit Boeing”.
Dans tous les cas, souligne The Sydney Morning Herald, l’identification de ce débris d’avion pourrait être imminente. Ce sera peut-être le morceau du puzzle qui permettra de résoudre l’une des plus grandes énigmes de l’histoire de l’aviation civile.
Courrier International - France
29.7.15
28.7.15
Grands Peintres Impressionnistes - Paul Cézanne - "Vue de l'Estaque et du château d'If"
L'oeuvre "Vue de l'Estaque et du château d'If", peinte en 1885 par l'artiste peintre et Grand Maître Paul Cézanne, est exposée au musée Fitzwilliam Museum, Cambridge.
Image de petits métiers à Paris en 1900 - Repasseur (rémouleur) de couteaux
Repasseur (rémouleur) de couteaux
Décès du graffeur Kiston (François Rousseau)
Kiston, de son vrai nom François Rousseau, est décédé dans la nuit de jeudi à vendredi, à l’âge de 47 ans. Figure incontournable du graff à Angoulême, il avait redonné un peu de vie aux murs de la ville avec son association K10.
A Angoulême, les graffeurs sont désormais orphelins. Le décès brutal de Kiston a provoqué une vive émotion dans le monde du graph et de la culture en général. Très apprécié artistiquement et humainement, les messages pour lui rendre hommage affluent sur les réseaux sociaux. Une collecte a même été organisée sur internet pour recueillir des fonds pour sa famille.
Kiston avait créé son association K10, il y a une quinzaine d’années. Ce collectif de graffeurs est à l’origine de nombreuses œuvres sur les murs d’Angoulême. Appréciées ou pas. Il y a un peu plus d’un an, le collectif avait réalisé une fresque sur des maisons murées. A l’époque, les Bâtiments de France lui avaient reproché ses couleurs trop criardes. Kiston, lui, ne voulait faire que de l’art. Plus récemment, au mois de mai, Kiston et ses amis graffeurs avaient réalisé une fresque géante d’Akhénato, le chanteur d’IAM, lors de sa venue au festival « Musiques Métisses ». Kiston était également régulièrement sollicité par les associations, les centres sociaux, les collectivités ou encore les collèges où il animait des ateliers.
Selon nos confrères de « La Charente Libre », Kiston annonçait sur les réseaux sociaux qu’il allait « arrêter », avec ces phrases «Vive le graff, vive K10, vive tout ce que l’on fait. Et fuck le business, la tune et la reconnaissance. Vive les vrais ! Et merci à tous ceux qui ont kiffé mon taf… »
France TV Info
27.7.15
France: Un pan de montagne va tomber
Dans la nuit de dimanche à lundi, le pan de montagne qui menace de s’effondrer en Isère depuis avril dernier s’est déplacé de plusieurs mètres. Selon les spécialistes, les 800.000 m3 de roche devraient s’effondrer dans quelques jours.
Depuis le mois d’avril, un pan de montagne à proximité du lac Chambon dans l’Isère menace de s’effondrer. Il y a trois semaines, les autorités ont craint à un effondrement massif et soudain qui n’a finalement pas eu lieu. Seuls quelques rochers s’étaient détachés.
Mais il semblerait que le déplacement géologique de la roche se soit accéléré ces dernières heures. Selon les capteurs mis en place, les 800 000 m3 évalués par les spécialistes risquent de chuter dans les prochains jours.
11 mètres en 12 heures
Samedi, l’alarme installée a retenti une première fois à 16h23. Dimanche matin, la préfecture de l’Isère publiait donc un plan de phase d’alerte géologique: «Les masses en mouvement connaissent une nouvelle accélération dont les vitesses moyennes de déplacement augmentent de jour en jour. Le pied de la falaise s’est déplacé de 4 mètres vers l’aval depuis le début du mois de juillet. Tout en continuant de résister, le phénomène de déformation, de boursouflement et de frustration dont il fait l’objet est observable à l’œil nu.»
Dans la nuit de dimanche à lundi, un déplacement de 11 mètres en 12 heures a finalement été constaté. Et un volume équivalent à 100 000 m3 s’est détaché de la montagne. Cela a entraîné une fracture verticale dans la roche, c’est-à-dire que deux pans de la montagne ont été séparés.
Une sécurité renforcée
L’arrêté rendu dimanche par la préfecture prévoit des mesures de sécurité renforcée. Les accès à proximité du lac Chambon étaient déjà interdits ainsi que la pratique de la pêche sur les berges et le trafic sur la GR50. Désormais, les navettes fluviales mises en place depuis trois mois sont suspendues et le survol de la zone est temporairement interdit, sauf pour les aéronefs de secours et de l’État.
Plusieurs militaires ont été dépêchés sur place afin de veiller au respect des règles de sécurité. Car depuis samedi, de nombreux touristes et les médias sont attirés par ce phénomène naturel exceptionnel.
L'Avenir - Belgique
Les Suisses volent...de l'eau aux Français!
«Pour sauver ses vaches, la Suisse 'vole' de l’eau en France», titrait de manière provocatrice dimanche matin le «Parisien».
Sur le site du «Progrès», un déferlement de commentaires chauvins et courroucés accompagne la nouvelle du journal lyonnais. Le petit voisin suisse aurait eu l’outrecuidance d’envoyer son armée puiser l’eau du lac des Rousses (F) pour étancher la soif des vaches du Jura vaudois, qui tirent la langue à cause de la canicule. Et, suprême crime de lèse-majesté, s’indignent les Français, le ballet des hélicoptères suisses de jeudi dernier s’est fait sans que les autorités locales hexagonales aient été averties.
«Tout s’est déroulé à notre insu alors que la commune est propriétaire du lac. Ce n’est pas normal», s’insurge le maire des Rousses, Bernard Mamet, joint par «20 minutes». Du côté de la population, la pilule passe d’autant plus mal que la Préfecture vient de prendre un «arrêté de restriction des usages de l’eau».
Entre sa volonté de désenfler la polémique et celle de rétablir la vérité sans offusquer Paris, l’armée réagit sobrement. «Mercredi, une demande officielle a été envoyée à l’Etat français, qui nous a donné son feu vert», affirme le porte-parole Daniel Reist. Selon lui, c’est pour des raisons d’efficience que le lac des Rousses a été choisi par rapport à l’emplacement des vaches. «Nous avons gagné quinze minutes par vol», signale-t-il.
Histoire de ne pas souffler sur les braises, les Super Puma des forces aériennes n’ont plus atterri aux Rousses depuis jeudi.
Outre le Jura vaudois, l’armée a secouru le bétail dans les Préalpes fribourgeoises et dans le canton de Saint-Gall.
20 Minutes - France
Incendie à Saint-Jean-d'Illac (33) : quatrième jour de lutte, la crainte d'un retour du vent
L'incendie de forêt qui sévit depuis vendredi près de Bordeaux n'a pas progressé dans la nuit, mais les secours craignent une reprise du vent dans l'après-midi.
Depuis vendredi, 580 hectares de pinède sont partis en fumée à Saint-Jean-d'Illac, près de Bordeaux. Les causes de l'incendie restent inconnues, l'enquête de gendarmerie ne privilégiant aucune hypothèse, criminelle ou accidentelle. Il s'agit de l'un des plus importants incendies de ces cinq dernières années en France. Le point sur la situation ce lundi.
Sud-Ouest - France
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