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8.5.13
Un surfeur tué par un requin à La Réunion
Un bodyboardeur est décédé ce mercredi en fin de matinée sur l’Ile de La
Réunion, à Saint-Gilles-les-Bains. La victime, un touriste en vacances avec sa
compagne, aurait été chargé deux fois par le squale à une cinquantaine de mètres
du rivage, derrière la digue de ce spot de surf, d’après le site Orange Réunion.
Il aurait été ramené sur le rivage par les maîtres nageurs rapporte le site Clicanoo. Le SMUR a alors tenté
de le réanimer pendant une quarantaine de minutes avant de constater son décès.
La plage a immédiatement été fermée à la baignade.
Dernière attaque en août 2012
Il s’agit de la sixième attaque de baigneurs par un requin à La Réunion
depuis 2011. La
dernière remontait au mois d’août 2012, lorsqu’un surfeur fait eu une main
et une jambe arrachés à Saint-Leu.
Le problème des attaques de requins à La Réunion avait jusqu’ici était mis
sur le compte des baignades tardives, au coucher du jour, des surfeurs et des
eaux stagnantes, après des pluies. Cette dernière attaque a eu lieu aux
alentours de midi sans qu’aucune précipitation ne soit intervenue les jours
précédents.
20MINUTES
3.5.13
Photo - Animaux - Louveteaux
Une trombe d'eau à Nyon
«L'orage est arrivé et, droit derrière, j'ai vu cette tornade au-dessus du
Léman, raconte Braulio Mora, domicilié à Nyon. Il était 16h30». A peine le temps
d'immortaliser l'apparition météorologique que déjà elle s'était évaporée.
Laissant planer le mystère sur son identité exacte.
«C'est exclu que ce soit une tornade», réagit Frédéric Glassey, directeur de
la météorologie chez MeteoNews.
Il penche plutôt pour une trombe d'eau, soit une colonne d'eau et d'air en
rotation. «Dans une situation orageuse, c'est tout a fait possible, relève le
prévisionniste. Mais on en a plutôt vers la fin de l'été, lorsque le lac est
chaud».
Autre possibilité émise par le météorologue: un rideau de pluie sculpté par
les vents divergents de la journée. Quelle que soit sa nature, le phénomène est
impressionnant. Tant par sa hauteur - de plusieurs centaines de mètres - que par
sa rareté.
LA TRIBUNE DE GENEVE
Bon appétit!
En 1948, Charles Trénet chantait «Qu’y a-t-il à l’intérieur d’une
noix?». Aujourd’hui, il aurait de quoi écrire un album entier. Et ça
ressemblerait moins à de la poésie qu’à une formule chimique et
mathématique.
C’est ce que vous propose de découvrir ce hors-série, qui explore le monde merveilleux de la bouffe industrielle, de ses lobbies, de ses barons et de leurs magouilles financières, de ses adjuvants aux noms savants et incompréhensibles — c’est préférable —, de ses effets comiques sur notre santé et de son riant avenir qui se fout bien du nôtre. Mais, comme il faut tout de même espoir garder, il y est également question des solutions, car il y en a, pour s’affranchir du gavage aux pesticides et aux édulcorants de synthèse. Car, désormais, il ne s’agit plus de manger pour vivre, mais de rester vivant en mangeant.
C’est ce que vous propose de découvrir ce hors-série, qui explore le monde merveilleux de la bouffe industrielle, de ses lobbies, de ses barons et de leurs magouilles financières, de ses adjuvants aux noms savants et incompréhensibles — c’est préférable —, de ses effets comiques sur notre santé et de son riant avenir qui se fout bien du nôtre. Mais, comme il faut tout de même espoir garder, il y est également question des solutions, car il y en a, pour s’affranchir du gavage aux pesticides et aux édulcorants de synthèse. Car, désormais, il ne s’agit plus de manger pour vivre, mais de rester vivant en mangeant.
La mise en scène était succulente. Quand on a commencé à parler du prétendu
«scandale de la viande de cheval», au début de février 2013, on a compris qu’on
avait affaire à de grands acteurs comiques. La palme au ministre de
l’Agriculture, Stéphane Le Foll, déclarant sur RTL le 11 février: «Je
découvre la complexité des circuits et de ce système de jeux de trading entre
grossistes à l’échelle européenne.» Le Foll est l’un des très rares
politiques à connaître l’univers de l’agriculture. Non seulement il est
petit-fils de paysan, mais, en plus, il a en poche un BTS agricole et a enseigné
l’économie dans un lycée agricole breton.
Donc, il se fout de nous. Mais pourquoi à ce point-là? Parce que l’industrie
de la bouffe est en France intouchable. Elle est de loin le plus gros employeur
de notre pays de chômeurs, avec 500000 emplois directs, dont la plupart ne sont
pas délocalisables. La viande est au cœur du système. Et c’est pourquoi il
n’était pas question d’ouvrir le vrai dossier, celui d’une industrie devenue si
folle qu’elle paraît incontrôlable.
Au début était pourtant la nourriture. Les panthéons du passé sont pleins de
divinités qui la représentent. Ne parlons pas des Grecs, saoulés d’ambroisie, ni
des Romains, qui offraient à leurs dieux d’interminables gueuletons. Chez les
Slaves, avant que n’arrivent les curés, Zywienia, déesse de la bouffe, couchait
avec Radogast, dieu de l’Hospitalité. Pas si mal. Et Kokopelli, le petit dieu
des Indiens Anasazi, cachait dans sa bosse éternelle des plantes et des graines.
Mais tout cela c’était avant le Grand Progrès.
La révolution industrielle n’a pas seulement inventé la machine à vapeur,
l’usage du pétrole, les abattoirs de Chicago, la bagnole individuelle, la chimie
de synthèse et le téléphone portable. Elle a pulvérisé les anciennes manières de
se nourrir. Ce que vous allez lire dans ce hors-série de Charlie n’est
qu’une évocation dont vous ne sortirez peut-être pas tout à fait indemne. C’est
en tout cas tout le mal qu’on vous souhaite. Car l’apparition des
transnationales de la bouffe a changé en simple marchandise ce qui était jadis
cadeau des cieux et travail des hommes. Désormais, il faut cracher du flouze. On
a vu comment Findus, qu’on croyait un gentil cuisinier, appartenait en réalité à
un fonds de pension, exigeant une rentabilité financière d’au moins 8% l’an. La
bouffe est une industrie, mondialisée, financiarisée, aussi sympathique que les
hedge funds et les subprimes qui ont précipité la crise de
2008. Faut-il ajouter que cette industrie se contrefout des questions de santé
publique, qui ne sont évidemment pas son problème? Elle surajoute, par exemple,
du sel dans tous les plats qu’elle nous fourgue, car cela augmente leur poids,
multipliant le profit. Bilan? 25000 morts par an en France, comme le clame dans
le désert le chercheur Pierre Meneton.
Cargill, Monsanto, Nestlé, Danone font la loi parce qu’ils pèsent davantage
que la plupart des États de la planète. Et les gendarmes du monde, comme
l’Organisation mondiale de la santé (OMS), regardent ailleurs, quand ils ne sont
pas manipulés ou infiltrés par les grands lobbies industriels.
L’histoire que raconte Charlie est sinistre, mais elle fera rire,
car il ne nous reste plus que cela, en attendant mieux. Sauf révolte massive de
la société, pour l’heure improbable, la machine continuera sa route. Pendant que
nous montrons notre impuissance à seulement contrôler le sucre, le sel, le gras,
les pesticides, les colorants, les conservateurs, les ingénieurs de l’industrie
avancent. Leurs labos nous concoctent de la viande sans animal, ou de la bidoche
clonée, ou encore des nanoaliments — taille: un milliardième de mètre — capables
de traverser tous les tissus vivants, cellules comprises. Où sont les études sur
leur toxicité ? Nulle part. Elles n’existent pas. Elles viendront peut-être,
mais quand il sera trop tard.
Y a-t-il une autre voie? Plus d’une, en réalité. Le mouvement Slow Food,
l’agriculture bio, l’alimentation des Karens de Thaïlande, le végétarisme
montrent que nous ne sommes pas condamnés à subir la loi des marchands. Mais
pour échapper à la bouffe industrielle, il faudrait commencer par accepter de
payer le prix réel des aliments. La plupart d’entre nous préfèrent acheter un
téléphone portable que de s’acheter du vrai pain et de vrais fruits. La
publicité a parfois bon dos, qui permet d’échapper à des questions bien plus
dérangeantes. Pour sortir de ce système infernal, il faudrait commencer par
relever la tête. Pour l’heure, nous avons la gueule enfoncée dans l’auge.
CHARLIE HEBDO
Attention: Inondations et pluies: Vigilance orange dans 11 départements du nord-est
Les fortes pluies et les risques d'inondation se déplacent vers le nord-est
de la France, selon Météo France qui a placé 11 départements en
vigilance orange ce vendredi après-midi.
>> Retrouvez les prévisions météorologiques en cliquant ici
En plus de la Côte-d'Or, du Doubs, du Jura, de la Haute-Marne, de la
Haute-Saône et de la Saône-et-Loire, déjà placés en vigilance orange jeudi et vendredi matin, Météo
France a annoncé une vigilance pour le Bas-Rhin et le Haut-Rhin, la
Meurthe-et-Moselle, les Vosges et le Territoire-de-Belfort.
Les départements de l'Ain, de l'Isère, du Rhône et de la Loire sont en
revanche en «fin de suivi» pour la vigilance orange dans la région
Rhône-Alpes.
Les précipitations perdurent sur un quart nord-est de la France, écrit Météo
France dans son bulletin de 16h00. En revanche il ne pleut plus sur le
département de la Loire et les pluies s'atténuent nettement sur le Rhône et le
nord de l'Isère.
Depuis hier soir, ont été relevés des cumuls de 35 à 60 mm du Rhône et du
nord-Isère à l'Ain, la Saône-et-Loire, la Côte-d'Or et la Haute-Marne. Sur les
Vosges et le Haut-Rhin, ainsi que sur le Territoire de Belfort, qui viennent de
passer en orange, les premières pluies remontent du sud en s'intensifiant,
précise Météo France.
20MINUTES Avec AFP
Journée mondiale de la liberté de la presse: La campagne choc de Reporters sans frontières
MEDIAS - RSF a mis en scène quelques dictateurs en train de faire des doigts ou des bras d'honneur...
Les dictateurs et certains présidents ont du mal avec la liberté de la presse
et Reporters sans frontières (RSF) le leur rend
bien. Pour la journée mondiale de la liberté de la presse, qui se déroule ce
vendredi, l’ONG a dévoilé sa nouvelle campagne choc montrant quelques uns des
plus fameux encore en activité (Bachar al-Assad, Kim Jong-un, Vladimir Poutine
ou encore Mahmoud Ahmadinejad) en train de faire des doigts ou des bras
d’honneur.
RSF a également publié ce vendredi sa liste actualisée des «prédateurs de
l’information», soit 39 chefs d'Etat, hommes politiques ou religieux, milices et
organisations criminelles qui censurent, emprisonnent, enlèvent, torturent et
parfois assassinent les journalistes. «Ces prédateurs de la liberté de
l'information sont responsables des pires exactions contre les médias et leurs
représentants. Leurs actions sont de plus en plus efficaces: 2012 a été une
année historiquement violente pour les acteurs de l'information, avec un nombre
record de journalistes tués» (90), a indiqué Christophe Deloire, secrétaire
général de Reporters sans frontières, dans un communiqué.
Cinq nouveaux entrants dans la liste
Cette année, quatre «prédateurs» sortent de la liste quand cinq autres font
leur entrée. Les cinq nouveaux prédateurs regroupent le nouveau président
chinois Xi Jinping, le groupe djihadiste Jabhat Al-Nosra en Syrie, les membres
et partisans des Frères musulmans en Egypte, les groupes armés baloutches du
Pakistan et les extrémistes religieux des Maldives. Quatre prédateurs en
sortent: l'ancien ministre somalien de l'Information et des Télécommunications,
Abdulkadir Hussein Mohamed, le président birman Thein Sein, dont le pays connaît
une ouverture sans précédent, malgré une situation instable, l'organisation
basque ETA, qui a annoncé la fin
définitive de ses actions armées, ainsi que les forces de sécurité du Hamas et
de l'Autorité palestinienne, dont les exactions «sont en sensible
diminution».
20MINUTES
29.4.13
Hollande à la manœuvre
Le président de la République a entamé le 25 avril une visite d'Etat de deux
jours en Chine, qu'il a mise au service de son combat pour l'emploi - au moment
même où étaient annoncés en France le catastrophique nombre des chômeurs : il
s'établissait fin mars à 3 224 600.
Venu convaincre les autorités chinoises d'ouvrir davantage leur gigantesque marché aux produits français, Hollande a réaffirmé, depuis Pékin, son objectif de faire reculer le chômage d'ici fin 2013.
Cette visite a d'ores et déjà eu comme résultat non pas de faire progresser les droits de l'homme en Chine - la question n'était pas au programme - mais de signer des promesses de commandes d'Airbus. La signature de contrats concernant Areva et Suez a également été annoncée.
Venu convaincre les autorités chinoises d'ouvrir davantage leur gigantesque marché aux produits français, Hollande a réaffirmé, depuis Pékin, son objectif de faire reculer le chômage d'ici fin 2013.
Cette visite a d'ores et déjà eu comme résultat non pas de faire progresser les droits de l'homme en Chine - la question n'était pas au programme - mais de signer des promesses de commandes d'Airbus. La signature de contrats concernant Areva et Suez a également été annoncée.
Images du Monde - Maracanã - Rio de Janeiro
Le temple du foot, le stade Maracana de Rio de Janeiro, a fêté sa réouverture
avec la sobriété légendaire des Brésiliens le 27
avril.
Censure: FACEBOOK toujours à l'ouvrage!
La guerre et Facebook font mauvais ménage. Ce matin, la une du
journal flamand De Morgen était censurée par le réseau social. En cause? Une
image jugée trop violente pour les membres du réseau social…
“La guerre que personne ne veut voir” faisait la une ce matin dans
le journal De Morgen. Sur Facebook en revanche, aucune trace de la couverture du
journal. Et pour cause puisque Facebook a tout simplement fait disparaître
l’image…
Ce matin, le journal De Morgen proposait à ses lecteurs une édition spéciale
sur la guerre en Syrie. L’occasion de découvrir de nombreux témoignages mais
aussi clichés chocs de cette guerre de l’ombre. Pour la une de ce numéro
spécial, le journal avait choisi la photo d’un enfant blessé. Une image jugée
trop choquante par Facebook pour apparaître sur le réseau social.
On le sait, Facebook a la censure facile, et d’une efficacité redoutable. Il
n’aura en effet fallu que quelques minutes aux équipes de Facebook pour
supprimer le cliché en question.
Rappelé à l’ordre, le quotidien flamand a également reçu un avertissement,
rappelant les consignes d’utilisation du réseau social.
De Morgen, qui se défend en évoquant l’impact visuel de cette photo, regrette
la décision de Facebook et les règles mises en place par le réseau social, qui
ne laissent que peu de liberté aux organes de presse.
Pour rappel, Facebook applique une censure très sévère sur son réseau pour
tout ce qui concerne la sexualité et la violence visuelle. Qu’il s’agisse de
photos, d’illustrations ou de dessins, le réseau social ne tolère aucun écart et
use à la fois de méthodes de contrôle automatisées et manuelles.
LE SOIR - BELGIQUE
L'image du jour 29-04-2013
Le mythique stade de football de Rio de Janeiro a rouvert samedi 27 avril
2013 après deux ans et demi de travaux. A l’issue de cette rénovation complète,
un match-exhibition a servi de test avant la Coupe des Confédérations en juin et
la Coupe du monde l’an prochain.
REUTERS/Ricardo Moraes
27.4.13
L'image du jour 27-04-2013
"Le cosmos poétique du souffle" à Hong Kong
Photographe en plein travail devant une création baptisée “Le cosmos poétique du souffle” par l’artiste argentin Tomas Saraceno à Hong Kong. Il s’agit de l’une des oeuvres présentées lors de l’exposition “Inflation!” qui se tient dans le quartier culturel de West Kowloon. “Le Parc”, comme on l’appelle, s‘étendra d’ici fin 2015 sur 14 hectares dédiés à l’art et à la culture. REUTERS/Bobby Yip
26.4.13
Photo - Animaux - Bande de brutes, va!
Photo - Animaux - Hehehehe...Je sais que vous êtes là, les amis!
Un phoque gris du centre de Repino près de Saint-Pétersbourg. Deux phoques gris ont été trouvés par un pêcheur dans le Golfe de Finlande.
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