Nombre total de pages vues

21.4.12

Bayonne descend Lyon


Lyon en Pro D2 - Rugby - Top 14

Au terme d'un incroyable suspense, Bayonne s'impose sur le fil à Lyon (20-19) et envoie le club rhodanien en Pro D2. Enorme déception pour le Lou qui menait de douze points à la pause. C'était sans compter sur le réveil des Basques qui reviennent à égalité de points avec Brive pour le maintien.
Pour chacune des deux formations du jour, c'était le match qu'il ne fallait pas manquer. A fortiori pour des Bayonnais aux abois qui ont désespérément besoin de points pour espérer se maintenir en Top 14 l'année prochaine. Pour Lyon, qui avait effectué dix changements sur la feuille de match, une victoire était vitale afin de garder un espoir infime pour se maintenir parmi l'élite.
C'est un match en deux temps auquel nous avons assisté, avec des Bayonnais très tranchants sur le début de rencontre et qui voulaient marquer l'adversaire physiquement. Un engagement qui s'est trouvé récompensé peu de temps après le coup d'envoi, Huget qui s'en allait pointer en terre promise (3e). Un essai en contre superbe de 70 mètres initié par Guillaume Bernad, qui trouvait Gerber plein champ et qui se terminait par un judicieux coup de pied à suivre de Mazars dans l'en-but pour l'ailier international. Mais ce fut bien tout pour le jeu bayonnais en cette première période. Car il faut bien dire que ce sont les Lyonnais qui se sont illustrés par un essai du jeune et prometteur Suchier tout d'abord (14e), consécutivement à un petit coup de pied dans la boite de Mickaël Forest. Le mauvais rebond mettait Cédric Heymans dans le vent, permettant à l'arrière lyonnais d'aplatir. Et ensuite par leur botteur Lee Thomas, qui profitait des très nombreuses fautes bayonnaises pour faire grimper le compteur des hommes de Raphaël Saint-André (18e, 26e, 30e et 40e). Un score de 19-7 acquis à la pause, qui n'augurait rien de bon pour les Basques qui s'enferraient dans un jeu trop restrictif et trop prévisible pour mettre à mal l'excellente défense du LOU. La rechute sur blessure de leur capitaine Marc Baget (23e) n'arrangeant pas les choses.
Boyet donne un avantage décisif
Mais au retour des vestiaires, le vent avait tourné. Ce sont les Bayonnais qui prenaient enfin le jeu à leur compte, se sortant enfin de la pression que l'on ressent quand on joue pour ne pas perdre. Un état d'esprit retrouvé qui fut récompensé dès la 47e minute, grâce à un essai de l'excellent O'Connor. Un essai qui doit encore beaucoup à Lional Mazars, dont le coup d'oeil pour repérer l'absence de second rideau rhodanien lui permit de délivrer une nouvelle passe au pied pour son ailier, qui s'en allait marquer après une course le long de la touche. Les avants jouaient enfin groupés en accumulant les mauls perforants pour mettre la défense lyonnaise à la faute. Potgieter et Boyet se chargeant de convertir les occasions en points afin de permettre aux Basques d'espérer (44e, 71e). A l'entrée des dix dernières minutes, ce sont finalement les Bayonnais qui prenaient le contrôle du match, pour ne plus le lâcher. Une mi-temps pour cheque équipe pour un destin différent: tandis que le LOU est lui officiellement en Pro D2, Bayonne a gagné le droit de rêver à un maintien en Top 14 qu'il faudra aller chercher avec le même mental que ce samedi.

Les élus suisses jugent catastrophique l'état de la France



«La situation est catastrophique. La France a perdu 600'000 emplois en 10 ans dans l'industrie et l'ampleur de sa dette est très préoccupante». L'ancien maire socialiste de Genève, Manuel Tornare, n'y va pas avec le dos de la cuiller quand il s'agit de décrire la situation économique de la France deux jours avant le premier tour l'élection présidentielle française.
Faut-il y voir un coup de pouce entre camarades socialistes pour savonner la planche du président sortant UMP? Pas vraiment. La droite, qui est majoritaire depuis toujours en Suisse, juge aussi sévèrement le bilan de Nicolas Sarkozy.
«Tout le monde en a ras-le-bol»
«La situation en France est vraiment catastrophique», estime le conseiller national démocrate-chrétien Luc Barthassat, qui se situe au centre droit. «Je pense même qu'elle est malsaine. Les petits patrons sont surtaxés. Les employés touchent 1300 euros par mois et tournent avec le minimum. Ils ne sortent plus, ne vont plus au resto. Et tout le monde en a ras-le-bol ».
Hansjörg Walter, le président du Conseil national et donc premier personnage de l'Etat suisse, appartient à la droite nationaliste UDC. Il a de la sympathie pour Sarkozy mais pas pour son bilan. «Il n'a pas atteint ses objectifs électoraux. La France doit être réformée. Il faut introduire un vrai frein à l'endettement et assainir les assurances sociales».
Les «fautes graves» de Sarkozy
Hans Fehr, conseiller national UDC, premier parti de Suisse, enfonce le clou. «Sarkozy a promis beaucoup de choses. Mais il a échoué sur le chômage et l'immigration. Beaucoup de Français sont désillusionnés». Werner Lüginbühl, sénateur du parti bourgeois démocratique, pointe aussi «des fautes graves». Il cite la fête au Fouquet's, les vacances aux frais de Bolloré et la volonté de placer son fils à la tête de l'EPAD. «Même dans les cercles bourgeois, il y a une antipathie envers lui ».
Le conseiller national socialiste Jean-Christophe Schwaab dénonce d'ailleurs l'accroissement des inégalités en France, «la distribution des prébendes aux grandes entreprises comme Dassaut, Bouygues ou Bolloré» et le favoritisme qui récompense les proches. Il n'en fait pas cependant un travers spécifique à l'UMP. «Avec DSK, les socialistes auraient été exposés aux mêmes risques».
Les politiciens suisses estiment aussi que la personnalité «bling bling» de Sarkozy nuit gravement à sa réélection. «Il est toujours dans la com', l'esbrouffe, c'est insupportable», relève le conseiller national socialiste Roger Nordmann. «C'est tout le contraire d'une Angela Merkel». Luc Barthassat enchaîne: «Il n'a pas l'image de quelqu'un proche des gens. Il vit dans un autre monde, côté Saint Trop'.»
TRIBUNE DE GENEVE

PORTUGAL, les députés cèdent à "l'ultralibéralisme européen"


Le Premier ministre portugais Pedro Passos Coelho (à droite) et le ministre des Affaires parlementaires Miguel Relvas lors d'une séance parlementaire consacrée au traité budgétaire, le 13 avril à Lisbonne. AFP PHOTO/ FRANCISCO LEONG

Le gouvernement [de droite] a voulu que le Portugal ratifie au plus vite le traité budgétaire [204 députés sur 240 ont voté pour, dont ceux du Parti socialiste]. Pourquoi une telle précipitation ? Les échos des difficultés rencontrées lors du processus d'approbation dans d'autres pays pouvaient nourrir l'opposition, chez nous, à ce traité. C'est un signe des temps que nous vivons actuellement en Europe : la démocratie fait peur aux politiques qui sont là pour liquider le modèle social européen et imposer une économie d'appauvrissement. Ils savent que le peuple n'accepterait jamais ce choix, d'où l'invention de mille et une raisons pour ne pas le consulter. Le prétexte ? La crise, comme d'habitude. Et le chantage est toujours le même : pour y faire face, la seule réponse possible est la restriction des droits et la réduction de l'Etat au minimum. C'est ça ou rien.

Le traité budgétaire est une privation de démocratie

L'état d'exception est devenu la règle. Et dans un état d'exception, la possibilité de choisir n‘existe pas. En clair, il n'y a pas de démocratie. Le traité budgétaire représente un pas des plus dangereux dans cette direction. Sous le prétexte de créer une "union budgétaire" pour mettre fin à la crise des dettes souveraines, on consacre en réalité l'intangibilité d'un programme et le caractère illégal des solutions alternatives à celui-ci. L'imposition de l'inscription constitutionnelle ou paraconstitutionnelle de l'interdiction de déficits structurels supérieurs à 0,5 % du PIB, l'obligation de la mise en œuvre d'un plan de réformes structurelles dès qu'ils deviennent excessifs et l'octroi à la Cour de justice de l'Union européenne de pouvoirs lui permettant de contrôler le respect de ces injonctions - voilà la synthèse d'un programme d'interdiction de tout ce qui n'est pas en adéquation avec l'ultralibéralisme économique.

Quelle place pour l'Etat ?

Avec un tel traité, l'Etat ne pourra plus faire face à une récession, répondre à l'augmentation des demandes d'allocation-chômage [qui touche 15 % de la population contre 12,4 % en 2011 à la même époque] ou renforcer les politiques de lutte contre la pauvreté. Par conséquent, l'Etat minimal - dans lequel l'assistanat remplace les services publics universels entre-temps privatisés - devient la règle sans aucune exception.

Nous aurons droit à nouveau dans les semaines et les mois à venir au discours de l'"européisme convaincu". Ses porte-parole l'utilisent invariablement comme argument massue contre toute tentative de critique de la direction prise par l'intégration européenne. Les européistes convaincus sont des gens qui se considèrent comme plus légitimes pour avoir été, dès le début, partisans de l'Europe. Pour eux, les critiques sont toujours, en dernier ressort, l'expression d'une volonté mal déguisée d'abandonner l'Europe, voire de la tuer. Derrière cette conviction étalée, on occulte leur soutien au triste héritage de Maastricht, qui a vu l'Europe capituler devant les adversaires de la cohésion économique, sociale et territoriale, et faire le choix de la réduction des salaires et de l'augmentation des inégalités comme moyen prétendument unique d'affronter les crises. Aujourd'hui, il existe une question qui réellement divise, c'est celle du rôle de l'Etat dans la lutte contre les inégalités. C'est cela que le traité tranche. Cette fois-ci, le discours vide de l'"européisme convaincu" ne peut plus servir d'alibi. Comme Manuel Alegre [candidat socialiste à la présidentielle de 2011] et Mário Soares [ancien président de la République] l'ont dit, c'est au nom de l'Europe que ce traité doit être rejeté par les autres pays. Une Europe de la démocratie, de la justice sociale. Une Europe décente.
COURRIER INTERNATIONAL

L'image du jour 21-04-2012

Bahreïn : Grand prix ou grogne populaire?

Bahreïn : Grand prix ou grogne populaire?
Troisième séance d’essais du Grand Prix de Bahreïn sur le grand le circuit de Sakhir, à Manama. Les manifestants ont promis trois jours de rage à travers le Bahreïn alors que le monde de la Formule 1 descend sur l‘état du Golfe ce week-end.

L'image du jour 20-04-2012

Une pause en costume de panda à Pékin

Une pause en costume de panda à Pékin
Déguisés en panda, des étudiants de l‘école de sport de Shichahai dans la

19.4.12

Le panneau stop, une illusion d'optique?


Le panneau stop, une illusion d'optique?

Pour faire sauter un PV, un scientifique américain a écrit une lettre de quatre pages démontrant, grâce aux lois de la physique, que la contravention dressée par le policier était la conséquence d'une illusion d'optique. 
Chacun sa technique pour faire, ou en tout cas essayer de faire, sauter les PV. Il y a ceux qui pleurent, ceux qui accusent la terre entière, ceux qui misent tout sur leurs atouts pour séduire M. l'agent. Et ceux qui comptent sur les lois de la physique. C'est ainsi qu'un physicien américain de l'université de San Diego, verbalisé pour avoir grillé un stop, a réussi à faire sauter une amende de 400 dollars (304 euros), raconte ce jeudi Le Monde.  
Devant le tribunal, Dmitri Krioukov a démontré aux juges - schémas et équations à l'appui - que le policier ne pouvait pas formellement prouver que sa voiture n'avait pas marqué l'arrêt au stop. Selon lui, "si une voiture s'arrête à un stop, un observateur, par exemple un officier de police, situé à une certaine distance à la perpendiculaire de la trajectoire du véhicule, aura l'illusion que la voiture ne s'arrête pas si les trois conditions suivantes sont réunies: 1- L'observateur mesure non pas la vitesse linéaire mais la vitesse angulaire du véhicule; 2- La voiture décélère, puis accélère relativement rapidement; 3- Un objet extérieur, par exemple un autre véhicule, obstrue brièvement la vision de l'observateur, à l'instant où les deux voitures sont situées près du panneau stop."  
Il explique, dans une lettre de quatre pages intitulée The Proof of innocence, qu'à la vue du stop, il a ralenti puis a ré-accéléré très rapidement. Le policier qui était placé à une trentaine de mètres n'a pas pu voir qu'il avait freiné si une voiture lui a traversé son champ de vision, ne serait-ce que quelque secondes. S'il concède à la justice que les interrogations quant à son bon respect du code de la route étaient justifiées, il conclut sa démonstration par une conclusion sans appel: "la perception de 0. [ndlr: l'agent de police] de la réalité ne reflète pas parfaitement la réalité". 

L'image du jour 19-04-2012

L'apiculteur et ses 33 kilos d'abeilles

L'apiculteur et ses 33 kilos d'abeilles
L’apiculteur She Ping a battu un record du monde en couvrant son corps de 33,1 kilogrammes d’abeilles dans la ville de Chongqing. REUTERS/China Daily

L'image du jour 18-04-2012

Un militant d'Occupy Wall Street arrêté à New York

Un militant d'Occupy Wall Street arrêté à New York
Un militant du mouvement “Occupons Wall Street” a été interpellé à New York. Cet indigné manifestait contre l’Ultralibéralisme devant le Federal Hall (plus ancien immeuble de Wall Street). REUTERS/Andrew Burton

18.4.12

Texte - "Rêver, cela fait du bien"


REVER, CELA FAIT DU BIEN !

J’errais guilleret comme tous les jours
Dans cet univers apaisé et enfin atteint
Je saluais, ca et là de vieux et doux amis
Du ciel ; mort enfin, j’étais épanoui.

Copines les planètes, comètes et étoiles
Le printemps était radieux au-dessus des nuages
Dans un coin d’azur electrique et magnétisé,
La terre, calme et belle ronronnait au soleil.

Et là, au détour d’une comète, j’ai eu une
Sensation très forte, de celles qui surprennent,
Effraient et apaisent à la fois ; sorte d’étrange
Sentiment de connaître un lieu singulièrement

Familier sans jamais s’y être rendu ;
Et, tout-à-coup, sans savoir pourquoi, ais-je
Eté rendu au passé et transporté, ou téléporté,
Dans la très belle et regrettée année 1968.

Rentrant d’une fête, à pied comme il se doit dans ces
Temps-là, engagé que j’étais dans les derniers hectomètres
De « Bel-Air »,dans un sentier en terre battue, bordé
D’acacias en voûte, dans la vraie obscurité d’une nuit

Sans lune, j’ai eu la prémonition de ne pas être seul,
Même si mes pas sur quelques gravillons improbables
Ne me permettaient, tout-à-fait, d’entendre le chant des
Grillons et quelques cris de chouettes lointaines. Mais,

Soudain, je m’arrête, comme tout bruit familier ;
L’Espace devient profond, insondable et l’arrêt du
Bruit de mes pas me fait frissonner ; ce chemin, tant de fois
Parcouru… Sensation inquiétante jamais auparavant éprouvée .

Perception palpable, le cœur s’accélère, la respiration devient
Haletante, vous étrangle, petit à petit, l’inquiétude gagne terrain,
Plus rien n’est maitrisable. et le sentiment de frayeur vous
Envahit sans avertissement préalable…

Retenant ma respiration, tendant mes muscles, dans un dernier
Sursaut, regardant en arrière…effectivement la « Chose » est là ;
A  quelques pas d’homme, d’une couleur rougeoyante
Mais non pas éclatante, une sphère immobile en silence…



Tout d’un coup, elle tressaillit et disparait  à une vitesse vertigineuse, 
Dans le ciel noir. Je n’ai pu établir ni sa taille ni sa vitesse mais je sais
Qu’elle filait drôlement vite et en silence et que les derniers mètres
Franchis jusqu’à « Bel-Air » resteront à jamais gravés dans ma mémoire.

Aujourd’hui encore, la question reste sans réponse ; était-ce un
Phénomène météorologique sensitif, mystique, philosophique…
D’aucuns apporteront des réponses selon leur croyance. Moi,
Je préfère ma thèse onirique : rêver cela fait du bien !

Rio de Janeiro, 17 de abril de 2012.
JMIRA  

17.4.12

Présidentielle: petit-sarko en chute libre!


Nicolas Sarkozy le 14 avril 2012, à Perpignan (Pyrénées orientales).

COURSE 2012 - Le président-candidat a récemment décidé de changer de stratégie en lorgnant vers le centre et laissant de côté l’extrême droite...
L’élection est-elle encore gagnable pour Nicolas Sarkozy? A lire la dernière étude CSA pour 20 Minutes, BFMTV et RMC, la réponse est non. En moins d’une semaine, le président de la République a perdu deux points, à 24% (estimation la plus basse depuis son entrée en campagne, le 15 février), pendant que François Hollande en gagne deux. Le différentiel au premier tour devient un gouffre au second où le socialiste battrait le candidat UMP avec un écart de 16 points (58%-42 %).

>>
Comparez les programmes des candidats
Comment expliquer cette chute libre à quelques jours seulement du premier tour, moment où tout devait redevenir possible, selon les stratèges de la majorité? Depuis une semaine, le président semble avoir changé de stratégie en faisant des appels du pied à François Bayrou, candidat du MoDem, évoquant, notamment dans 20 Minutes, la «proximité» de certaines de leurs propositions et son attachement à l’«ouverture». Des déclarations qui ont semé le trouble dans le camp de Sarkozy où certains considèrent qu’il fallait continuer à séduire l’électorat de Marine Le Pen, la plus forte réserve de voix, selon eux. Et effectivement, dans la même période, la candidate du FN a repris du poil de la bête (+ 2 points). Les prochains jours risquent d’être tendus dans la cellule stratégique de l’UMP.
Le scénario rêvé du PS
Au contraire, côté PS, tous les clignotants sont au vert: Hollande est en hausse, Mélenchon en baisse et les reports de voix au second tour semblent toujours aussi bons. «Le cauchemar pour nous serait d’avoir un Hollande affaibli par Mélenchon, un Sarkozy en hausse en grignotant sur toutes les droites car au soir du premier tour, l’effet psychologique serait catastrophique», imaginait, mardi, un dirigeant socialiste. Pour le moment, il peut dormir tranquille, ce scénario catastrophe pour le PS ne semble pas d’actualité. De moins en moins discrètement, de nombreux socialistes commencent d’ailleurs à considérer cette élection comme «imperdable».

L'image du jour 17-04-2012

Commémorations à Virginia Tech cinq ans après le massacre

Commémorations à Virginia Tech cinq ans après le massacre
Cinq ans après qu’un étudiant déséquillibré a abattu 32 personnes à l’université de Virginia Tech à Blacksburg (Virginie), des membres de la communauté étudiante se sont rassemblés en mémoire des victimes, mortes ou blessées. REUTERS/Chris Keane

16.4.12

L'affaire de cannibalisme qui horrifie le Brésil


Jorge da Silveira et Isabel Pires (POLICIA / AFP)

Le Brésil a vécu un week-end marqué par les révélations sur les horreurs commises par trois cannibales, arrêtés jeudi dernier et accusés d’avoir tué et mangé trois femmes ainsi que d’avoir utilisé les "restes" dans des beignets vendus dans leur quartier.
Le trio, Jorge da Silveira, 51 ans, Isabel Pires, 51 ans, et Bruna da Silva, 25 ans, assassinaient les femmes, les dépeçaient puis mangeaient leur chair dans un "rituel de purification".
"Je n'ai tué personne. J'ai fait trois missions avec la permission de Dieu et elles (les trois victimes) sont toutes avec Dieu purifiées", a déclaré Jorge da Silveira dans une interview à une TV locale, rejetant le terme "d'assassinats".

Des beignets salés

Selon la police, des morceaux de chair des victimes ont été utilisés aussi dans la fabrication de beignets salés qui étaient vendus dans les rues de Garanhuns, une ville à 230 km de Recife, la capitale du Pernambouc, rapporte la presse samedi.
Da Silveira a expliqué avoir agi "sous le commandement" non pas de démons mais de "deux anges, un Blanc et un Noir", dont il a des visions depuis l'enfance.
Il a nié "être fou" même si "à l'adolescence, les psychiatres m'ont obligé à prendre des médicaments", a-t-il dit.
Il ne se "rappelle plus" de la façon dont il tuait ses victimes dans la "Chambre du Mal" mais a dit qu'il ne "se servait pas du sang" et mettait "la chair dans de l'eau pour la purifier avant de la manger".
Les victimes étaient choisies en fonction des numéros de leur carte d'identité "qui donnaient quelque part le numéro maudit 666" (du diable), selon lui.
Avant de mourir, "elles pleuraient et je leur disais que leurs péchés étaient pardonnés", a-t-il dit sans afficher le moindre regret.
Il a dit que c'était Isabel Pires, 51 ans, qui attirait les victimes en leur proposant un bon salaire mais cette dernière a nié rejetant la culpabilité sur Bruna da Silva, 25 ans, la maîtresse de Da Silveira.
Des détails des faits et gestes du trio, avec des dessins, ont été trouvés dans un livre de 50 pages écrit par da Silveira, diplômé en éducation et ceinture noire de karaté.
Deux corps ont été retrouvés jeudi dans le jardin de leur maison et pourraient être ceux de deux femmes disparues récemment : Alexandra Falcao, 20 ans, et Gisele da Silva, 30 ans. Elles auraient été vues près de la maison des suspects avant de disparaître, selon la police. Mais selon CNN, citant des sources policières, le nombre de victimes du trio pourrait dépasser la dizaine.
NOUVEL OBS

Sarkozy cache sa montre suisse à ses militants (video)

Alors qu'il saluait la foule sur la place de la Concorde dimanche, le président candidat a pris soin d'enlever sa montre à 65'000 francs (suisses...) avant de la ranger dans sa veste.

Avant son discours dimanche, Nicolas Sarkozy a serré les mains de ses militants sur la place de la Concorde. Peut-être par peur d'un pick-pocket, le président s'est arrêté pour enlever sa montre de l'horloger suisse Patek Philippe, d'une valeur de 65'000 francs, d'après le Nouvel Observateur. Une montre en or blanc qui lui a été offerte par son épouse Carla Bruni en janvier 2008. Mais Nicolas Sarkozy a pris des risques en la plaçant dans sa veste.
LA TRIBUNE DE GENEVE


La contre-offensive des fan(d)as de "'ti-sarko" ne s'est pas fait attendre. Ils ont publié ce vidéo-montage pour faire croire qu'en fait le candidat-président aurait été victime d'un pseudo pick-pocket. C'est gros, non? Désespoir, quand tu nous tiens!!! 
JMIRA

Le dessin du jour 16-04-2012




HERRMAN
LA TRIBUNE DE GENEVE

Montréal. Actes de sabotage dans le métro

metro montreal