J ‘écris ces mots au bord du désespoir ; j’essaye de vivre depuis la mort de Julia, mais il n’y a rien a faire... Je me raconte maints mensonges censés m’encourager mais, rien n’y fait; ma détresse demeure et, pire encore, elle me touche davantage au point d’envisager des issues inavouables.
Par respect pour beaucoup de gens de ma famille, amis et Julia je sais que je dois rester en vie. Mais, cependant, il ne m’est plus possible de rester seul dans cette maison immense où, chaque jour, tout me rappelle ma compagne chérie.
Alors, pour moi, pour mes enfants, mes amis et ma santé, il faut que je parte.
Une semaine passée tout seul dans cette grande maison de souvenirs, m’a suffi. Il faut que je parte.
Je partirai tout en restant en contact avec tous ceux que j’aime.
L'oeuvre "La ronde de nuit", peinte en 1642 par l'artiste peintre et Grand Maître Rembrandt, exposée au musée Rijksmuseum à Amsterdam, appartient au mouvement Baroque.
Se poser cette question c’est la meilleure manière de ne jamais y répondre dans l'absolu. Pourtant notre questionnement est légitime.
La vie serait le commencement de l’existence... La mort serait donc aussi la fin de cette perception...
J’entends que cette théorie peut donner lieu à débat.
Que devenons-nous après la fin de notre apparence physique ? Qu’étions-nous avant la matérialisation de notre corps ? …
Esprit, énergie, un atome de l'univers ? Notre cerveau est-il fait uniquement de matière ou est-il autre chose qui tende à s'approcher de l'absolu ? Comment expliquer la raison, le comment et le pourquoi de son extraordinaire pouvoir de réflexion, décision tout en étant siège de l'expression et sentiments des êtres ?
Ce que nous étions avant, ce que nous deviendrons après, nous n’en avons aucune certitude. Mais nous pouvons réfléchir, néanmoins, à l'utilité d'une vie si courte pour retourner au néant après un passage connu par ce monde éphémère !
Ainsi le Créateur, ingénieur de génie, se serait-il fourvoyé au point de matérialiser l'esprit en végétal, animal ou mineral ? Pourquoi ?
En fait, et c’est le grand savant Einstein qui le dit, les êtres naissent avec un objectif ; une mission : se rendre de plus en plus intelligents et bons afin de perpétuer l’espèce humaine.
Et pourquoi et dans quel but ?
Tant il est certain que l’Univers, actuellement en phase d’expansion atteindra, en son temps, son apogée pour commencer à se rétracter et disparaître...
Mais grâce à la connaissance et intelligence et bonté acquises, nos descendants lointains pourront quitter le monde où ils vivent pour créer d'autres univers aussi merveilleux que spirituels.
Caros amigos, devido a problemas pessoais, este blog não se econtra a funcionar como gostariamos. Desejo a todos toda a sorte do mundo e que nos possamos reencontrar dentro pouco. Beijinhos e abraços.
Il y a 18 stations fantômes qui traînent sous le béton parisien. Tantôt déplacées, fusionnées, jamais terminées, envisagées ou recyclées, elles attendent sagement qu’on revienne, un jour peut-être, les arpenter… Certaines stations ont été contraintes de fermer pendant l’Occupation. Saint-Martin par exemple est la seule à rouvrir après la Libération mais pas pour très longtemps. Jugée trop proche de Strasbourg - Saint-Denis elle est laissée à son mystérieux sort de stations fantôme. D’autres comme Martin Nadaud et Gambetta ont été fusionnées, celle de Gare du Nord USFRT est devenue le centre de formation des conducteurs par exemple. Comme on dit « rien ne se crée, tout se transforme »...
La station Porte des Lilas par exemple est désormais utilisée pour les tournages de pub ou de cinéma. Un exemple au hasard ? La station Abbesses dans Amélie Poulain est en fait celle-ci. Et oui, parfois le cinéma nous ment.
N'échapper à un danger (ou un inconvénient) que pour se frotter à un autre encore plus grave.
Origine :
Cette expression est employée depuis le XIVe siècle, mais elle remonte à l'Antiquité.
Jean de la Fontaine l'a utilisée dans "la vieille et les deux servantes" () où il conte l'histoire de deux servantes qui, étant dérangées dès le chant du coq par leur patronne, crurent bon d'égorger l'animal. Hélas, une fois l'animal passé de vie à trépas, la vieille, craignant de laisser passer l'heure du réveil, n'arrêtait plus de les déranger.
A l'origine Charybde et Scylla auraient été deux dangers du détroit de Messine, entre l'Italie et la Sicile, le premier étant un tourbillon, le second un écueil.
Les marins qui cherchaient à éviter le premier allaient périr en s'écrasant sur le second.
Présents dans la Mythologie, Scylla était présenté comme une créature monstrueuse à plusieurs têtes () et Charybde comme un monstre qui, trois fois par jour, aspirait dans d’énormes tourbillons les eaux du détroit avec les bateaux qui y naviguaient, puis les recrachait ().
Dans l'Odyssée, Ulysse, qui vient à peine d'échapper aux chants des sirènes, doit tenter de se glisser entre ces deux grands dangers. Mais il y perdra 6 compagnons dévorés vivants par Scylla.
Bien que ces vaches de bourgeois Bien que ces vaches de bourgeois Les appellent des filles de joie Les appellent des filles de joie C'est pas tous les jours qu'elles rigolent Parole, parole C'est pas tous les jours qu'elles rigolent.
Car même avec des pieds de grue Car même avec des pieds de grue Faire les cent pas le long des rues Faire les cent pas le long des rues C'est fatigant pour les guiboles Parole, parole C'est fatigant pour les guiboles.
Non seulement elles ont des cors Non seulement elles ont des cors Des œils de perdrix mais encore Des œils de perdrix mais encore C'est fou ce qu'elles usent de groles Parole, parole C'est fou ce qu'elles usent de groles.
Y'a des clients, y'a des salauds Y'a des clients, y'a des salauds Qui se trempent jamais dans l'eau Qui se trempent jamais dans l'eau Faut pourtant qu'elles les cajolent Parole, parole Faut pourtant qu'elles les cajolent.
Qu'elles leur fassent la courte échelle Qu'elles leur fassent la courte échelle Pour monter au septième ciel Pour monter au septième ciel Les sous croyez pas qu'elles les volent Parole, parole Les sous croyez pas qu'elles les volent.
Elles sont méprisées du public Elles sont méprisées du public Elles sont bousculées par les flics Elles sont bousculées par les flics Et menacées de la vérole Parole, parole Et menacées de la vérole.
Bien qu'toute la vie elles fassent l'amour Bien qu'toute la vie elles fassent l'amour Qu'elles se marient vingt fois par jour Qu'elles se marient vingt fois par jour La noce est jamais pour leur fiole Parole, parole La noce est jamais pour leur fiole.
Fils de pécore et de minus Fils de pécore et de minus Ris pas de la pauvre Vénus Ris pas de la pauvre Vénus La pauvre vieille casserole Parole, parole La pauvre vieille casserole.
Il s'en fallait de peu mon cher Il s'en fallait de peu mon cher Que cette putain ne fût ta mère Que cette putain ne fût ta mère Cette putain dont tu rigoles Parole, parole Cette putain dont tu rigoles.
SEOUL (Reuters) - Les cours du pétrole s'envolent lundi et la hausse du Brent a atteint en séance un niveau sans précédent depuis la guerre du Golfe en 1991 après les attaques de drones contre des installations pétrolières en Arabie saoudite qui ont réduit de moitié la production de pétrole du royaume.
Le Brent de mer du Nord prend 10,08% à 66,29 dollars le baril après avoir gagné jusqu'à 19,5%, du jamais vu depuis le 14 janvier 1991, à 71,95 dollars.
Le brut léger américain (West Texas Intermediate, WTI) est en hausse de 8,97% à 59,77 dollars après avoir pris jusqu'à 15,5%, sa plus forte hausse journalière depuis le 22 juin 1998.
L'Arabie saoudite est le plus gros exportateur mondial de pétrole et les attaques contre deux installations stratégiques de la compagnie Aramco ont réduit la production de 5,7 millions de barils par jour, soit près de la moitié de la production saoudienne, ou l'équivalent de 5% de la consommation quotidienne mondiale.
Aramco n'a pas fourni de calendrier de retour à la normale, se contentant de déclarer dimanche qu'elle ferait dans environ 48 heures un nouvel état des lieux.
Une source au fait de la situation a dit à Reuters qu'un retour à la normale de la production de pétrole saoudienne devrait prendre "des semaines plutôt que des jours".
(Jane Chung; Arthur Connan pour le service français, édité par Marc Angrand)
Henri Matisse né le 31 décembre 1869 au Cateau-Cambrésis, et mort, le 3 novembre 1954, à Nice, est un peintre, dessinateur, graveur et sculpteur français
Créé le 2 septembre 1970 et désigné Réserve de biosphère en 1985, le Parc national des Cévennes est remarquable par un équilibre particulier entre l'Homme et une nature façonnée par les générations successives, depuis le néolithique, et par souci d'associer protection et développement. Il est habité jusque dans son « cœur », espace protégé et réglementé. Il constitue aussi 70 % du bien reconnu par l'Unesco en 2011, les Causses et les Cévennes, au titre du Paysage culturel de l'agropastoralisme méditerranéen.
Cette expression contient un adjectif composé qui est extrait d'une locution parfois encore employée "cultiver, aimer... la petite fleur bleue".
Dans le langage des fleurs, le bleu pâle exprime une tendresse inavouée, discrète et idéale.
Il faut remonter à 1811 et à une oeuvre du jeune écrivain allemand Novalis (), qui était en réalité le baron Friedrich von Hardenberg, pour trouver l'origine de cette expression.
Dans son roman inachevé "Henri d'Ofterdingen" (Novalis est mort à 29 ans), il y évoque à sa manière la légende d'un trouvère médiéval qui, parti à la recherche d'un idéal, découvre la fleur bleue symbole de la poésie.
Les Allemands parlent d'ailleurs de "die blaue Blume der Romantik" ou "la fleur bleue du romantisme".
En traversant le Rhin, la fleur bleue a un peu changé de sens, puisque de la poésie, elle a été associée à une sentimentalité mélée de naïveté.
Exemple :
« Il vous faisait à volonté une missive qui, transmise à un graphologue, trahissait un homme d'affaires, riche, volontaire, mais au fond un cœur d'or, généreux avec les dames, ou un timide employé de banque, sentimental, prêt à tout croire, épris de petite fleur bleue. »
Une histoire bien morbide. En 1793, le portier du Val-de-Grâce, Philibert Aspairt décide de visiter les mystérieuses carrières qui se dérobent juste sous ses pieds dont on lui parle sans cesse… On ne sait pas ce qui lui a pris de s’aventurer dans ce labyrinthe sous terre avec seulement une lampe à huile. Le malheureux n’a pas pris la peine de prévenir qui que ce soit de cette balade nocturne pourtant il aurait mieux fait.
Vue sur la place Notre-Dame sur l'île de Porquerolles, dans le parc national de Port-Cros
Créé en 1963, le Parc national de Port-Cros couvre une surface terrestre de 1.671 hectares et marine de 2.950 hectares qui inclut les îles de Porquerolles et de Port-Cros. Son patrimoine historique est considérable comme l'illustrent les vestiges romains découverts, des épaves et une vingtaine de forts militaires. Le Parc national est aussi connu pour la beauté de ses paysages et une nature bien préservée où vivent des espèces terrestres endémiques (qui n'existent qu'à cet endroit) comme le discoglosse sarde, petit batracien, et le phyllodactyle d'Europe, reptile en voie de régression.
Le Soleil est une sphère de gaz composée principalement d'hydrogène. Au centre, la température est très élevée, 15 millions de degrés. Si, en moyenne, le Soleil est à peine deux fois plus dense que l'eau, son noyau est dix fois plus dense que le plomb.
Dans de telles conditions, le cœur du Soleil est un colossal réacteur nucléaire, dans lequel les noyaux d'hydrogène fusionnent en une réaction en chaîne continue produisant des noyaux d'hélium, ce qui entraîne une légère perte de masse. Celle-ci se convertit en énergie - moitié sous forme de lumière, moitié sous forme de particules appelées neutrinos.
Le Soleil est donc en perpétuelle activité. Il abrite en son cœur une réaction thermonucléaire qui dégage de la lumière et un vent solaire qui vient ensuite frapper notre planète. Parfois, il est le théâtre de puissantes éruptions. Le télescope à rayon X nuSTAR a pu capturer une des plus puissantes de 2014 (voir la vidéo ci-dessous).
Cinq réserves naturelles sont adjacentes au cœur du Parc national de la Vanoise qui comprend une limite commune de 14 kilomètres avec le Parc national italien du Grand Paradis (70.300 hectares) avec lequel il est jumelé depuis 1972.
Quelque 1.400 espèces (dont 65 protégées) sont recensées dans cet espace couvrant 53.300 hectares. On y rencontre le bouquetin et le chamois et plus de 100 espèces d'oiseaux nicheurs, parmi lesquels le gypaète barbu et l'aigle royal.
Né en 1989, le Parc national de la Guadeloupe assure la préservation d'écosystèmes extrêmement diversifiés qui s'étendent des fonds marins de la Côte sous le Vent et du Grand Cul-de-Sac marin au sommet du volcan de la Soufrière. Sa surface terrestre est de 18.800 hectares et sa surface marine s'étend sur quelque 3.300 hectares.
La forêt tropicale de la Basse-Terre est l'une des mieux conservées des Petites-Antilles. Véritable château d'eau, sa protection est primordiale pour le maintien de la qualité de vie des habitants. Sur le toit de l'île se développe une végétation robuste mais sensible. Ces milieux sont le refuge d'une faune rare. De nombreuses espèces ou sous-espèces ne se rencontrent qu'en Guadeloupe.
Une ville sous la ville…et pas n’importe laquelle puisqu’il s’agit des égouts de Paris ! A priori un poil cra-cra, notre réseau d’égout est l’un des plus anciens et des meilleurs au monde. Véritable musée vivant, ces allées souterraines s’étendent sur 2 500 kilomètres. Pour se repérer, elles disposent d’un numéro et d’une plaque de rue qui correspondent à l’adresse Parisienne juste au dessus, comme un miroir. Une prouesse technique qui a démarré avec Philippe Auguste, s’est perfectionnée en 1850 grâce au Baron Haussmann et à l’ingénieur Eugène Belgrano et qui continue à être exploitée et modernisée par les égoutiers actuels. Voyez plutôt :
Curieux ? Les égouts de Paris sont ouverts aux visites depuis le XIXe siècle ! Dans une sorte de « petit train » touristique, en barque et désormais à pieds, on peut s’aventurer dans les entrailles de Paris en se rendant au Pont de l’Alma. Le Bonbon - France
On file maintenant vers le Nord pour plonger dans le lac mystérieux coincé sous l’Opéra Garnier. Sujet de tous les fantasmes pendant longtemps, on sait maintenant que les souterrains jadis habités par le fantôme de l’Opéra abrite une étendue d’eau… Il s’agit en fait d’un « simple » réservoir d’eau créé en même temps que l’édifice par Charles Garnier en 1860.
« Il assure la lutte contre un éventuel incendie dans l’Opéra et surtout, à l’origine, pour maintenir les fondations du bâtiment contre la poussée des infiltrations d’eau, fréquentes dans le sol de la capitale » d’après les informations du Parisien. Voilà qui met un terme au mythe.
Curieux ? Rangez vos bottes de pêcheurs et maillots de bain, la visite de ce « lac » souterrain se fait à de rares occasions.
Sous les blocs de pierre des secrets se cachent sous des monuments que nous voyons chaque jour. Il existe en tout 3 grands réservoirs souterrains à Paris intra-muros qui alimentent les Parisiens en eau potable chaque jour. Outre ceux de Ménilmontant et des Lilas, le plus grand et le plus spectaculaire se trouve au Sud de la capitale. Bienvenue dans les entrailles de Paris, direction le réservoir de Montsouris construit au 19e siècle par l’ingénieur Eugène Belgrand, encore en service aujourd’hui.
Avec ses 60 000 m2 répartis sur deux étages, offrant « une capacité maximale de stockage de plus de 200 000 m3 d’eau », ce réservoir fut longtemps la plus grande réserve d’eau potable de la capitale. Exploit technique et bijou architectural, le réservoir est doté d’un plafond magnifique réalisé au début du XXe siècle par la manufacture de céramique Janin Frères et Guérineau à Paris.
Incroyable mais vrai. En juillet 1939, l’armée française décide de « construire un abri / bunker contre les bombardements permettant la continuité du service ferroviaire en cas d’attaque » explique Pierre-Henry Muller, photographe passionné d’urbex qui a eu la chance de visiter cet endroit insolite. Les agents SNCF (toujours propriétaire de l’endroit) pouvaient donc gérer la circulation des trains de ce bloc de béton armé de 120 m2, entièrement hermétique à l’extérieur grâce à trois portes blindées.
Fait étonnant, la construction de cet abri se terminera alors même que la capitale est occupée, à l'abri du regard (c'est le cas de le dire) en mars 1941 !
Le lac Gentau aux rives verdoyantes. À l’arrière-plan le pic du Midi d’Ossau.
Le Parc national des Pyrénées s'étire sur plus de 100 kilomètres entre les hautes vallées d'Aure et d'Aspe, le long de la frontière de l'Espagne. Véritable barrière climatique, son influence océanique explique l'aspect verdoyant de ses paysages, la profusion de lacs et de cascades. Le Vignemale, plus haute cime des Pyrénées françaises, culmine à 3.298 mètres. Le Parc national joue le rôle de zone refuge pour de nombreuses espèces : isards, ours, gypaètes barbus...
Vaste de 105.447 hectares, le Parc national de La Réunion s’étend essentiellement au cœur de l’île dominée par le Piton de la Fournaise. Le volcan toujours actif a façonné ses paysages couverts de forêts où vit une faune et une flore exceptionnelle, comme cette fougère arborescente photographiée sur le site de Sans-Souci.
Le Parc national des Écrins s’étale sur 92.000 hectares entre Huez et Embrun. Son nom vient du point culminant de la Barre des Écrins (4.102 mètres). Créé en 1973, il était déjà dans les cartons de plusieurs amoureux de ce domaine, alpinistes, forestiers, botanistes qui voulaient le mettre en place dès 1913. Le climat alpin de la région est influencé par la Méditerranée.
Si vous demandez à un phoque s'il est homosexuel, il y a de fortes chances pour qu'il refuse de vous répondre. Probablement parce qu'il aura été très vexé.
Tout juste, peut-être, pourra-t-il admettre qu'il est 'gay' comme un pinson.
Plaisanterie mise à part, aucune observation, même approfondie (si j'ose dire), n'a confirmé le comportement homosexuel du phoque.
Ni du pinson, d'ailleurs.
Alors pourquoi cette expression ?
Malheureusement, nous ne devons nous contenter que d'hypothèses.
Mais avant de les citer, pour ceux qui ne le sauraient pas, il est important de rappeler que pédé est l'abréviation de pédéraste, mot qui vient du grec et qui aujourd'hui désigne un homosexuel mâle, mais qui autrefois désignait un homme 'aimant' un peu trop les enfants, personne qu'on qualifie aujourd'hui de pédophile, même si, pour certains, on devrait plutôt les appeler des pédocriminels.
La plus probable des origines vient de la marine à voile, avec une déformation orale du mot foc, petite voile triangulaire située à l'avant du bateau.
Mais là encore, les suppositions sont multiples :
Pour certains, ce serait parce que cette voile prend le vent par l'arrière (je vous laisse faire le rapprochement). Mais ceux qui ont déjà pratiqué la voile savent que, même 'au plus près', le foc est bien gonflé avec un vent pourtant proche de l'avant.
Pour d'autres, ce serait parce que, lorsque le bateau avance avec du vent plein arrière, le foc est placé de l'autre côté de l'axe longitudinal du bateau par rapport à la voile principale, cette dernière symbolisant l'hétérosexualité et le foc, l'autre 'bord' ().
Enfin, l'introduction du 'foc' dans cette expression pourrait aussi venir d'un jeu de mots extrêmement capillotracté (tiré par les cheveux) : tout le monde connaît la mauvaise réputation faite aux Grecs quant à leurs moeurs. Quand on est féru d'histoire, dès qu'on parle des Grecs, on ne peut s'empêcher de penser aussi aux Génois. Et quand on sait qu'un grand foc s'appelle un génois...
Ainsi, 'pédé comme un Grec' serait devenu 'pédé comme un Génois', puis 'pédé comme un foc', et enfin 'pédé comme un phoque'.