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18.1.13
La Suisse grelotte sous un froid sibérien
En Suisse romande, le mercure est descendu jusqu'à -12 à Vuisternens-devant-Romont (FR) et à Oron (VD), selon meteonews.
En montagne, le froid était encore plus mordant: -17 au Glacier des Diablerets (VD), -19 au Gornergrat (VS), -18 au Grand St-Bernard (VS), -21 au Jungfraujoch (VS).
La Brévine (NE) n'a pas démenti sa réputation d'endroit le plus froid du pays avec -23 degrés. Le Plateau n'a pas échappé aux basses températures puisque les météorologues ont relevé -13 à l'aéroport de Zurich.
La neige est également tombée par endroits. L'aéroport de Bâle-Mulhouse a carrément dû interrompre les vols entre jeudi 17 heures et vendredi matin. Mais c'est surtout l'est de la Suisse qui s'est vu recouvrir d'une légère couche blanche, comme à Pfäffikon (ZH) avec 10 cm de neige fraîche. En Autriche, il est même tombé 40 cm à Bregenz. (ats/Newsnet)
Dopage: Ce qu'Armstrong nie ou tait
S'il a reconnu s'être dopé pour gagner le Tour de France, Lance Armstrong a
minimisé son rôle dans l'organisation du dopage au sein de l'US Postal, a
défendu le sulfureux Michele Ferrari et a nié toute tentative de couvrir un
contrôle positif avec l'aide de l'UCI.
SON RÔLE AU SEIN DE L'US POSTAL : «Jamais de directive»
Non, Lance Armstrong n’était pas le grand organisateur
du dopage au sein de l’US Postal. L’ancien septuple vainqueur du Tour de France
n’a même jamais forcé ses coéquipiers à se doper. « J’étais le leader, pas
le directeur sportif ou le manager. Est-ce que je pouvais (licencier quelqu'un
dans mon équipe qui ne se dopait pas) ? Je suppose que je le pouvais, mais je ne
l'ai jamais fait (...). Il n'y a jamais eu un ordre ou une directive pour dire
''Tu dois le faire si tu veux participer au Tour, si tu veux faire partie
de l'équipe''. Cela n'est jamais arrivé».
Plusieurs anciens coéquipiers, comme Christian Vande Velde, ont pourtant témoigné sur la façon dont Lance Armstrong les poussait à se doper : « En tant que leader, je montrais l’exemple, a-t-il reconnu du bout des lèvres. Nous étions dans un environnement compétitif. Nous étions des adultes, nous faisons des choix et certains dans l’équipe ont refusé de le faire. (…) D’ailleurs, ces gars ont continué à le faire quand ils ont changé d’équipe. »
Plusieurs anciens coéquipiers, comme Christian Vande Velde, ont pourtant témoigné sur la façon dont Lance Armstrong les poussait à se doper : « En tant que leader, je montrais l’exemple, a-t-il reconnu du bout des lèvres. Nous étions dans un environnement compétitif. Nous étions des adultes, nous faisons des choix et certains dans l’équipe ont refusé de le faire. (…) D’ailleurs, ces gars ont continué à le faire quand ils ont changé d’équipe. »
SES RELATIONS AVEC MICHELE FERRARI « Un homme bien »
Qui était le
véritable responsable du système de dopage à l’US Postal ? Lance Armstrong ? Le
directeur Johan Bruyneel ? Ou l’ancien médecin Michele
Ferrari, banni à vie depuis l’enquête de l’USADA ? Contre un million de dollars, l’Italien
aurait fourni pendant des années produits dopants et techniques pour
tricher. «Pour moi, c'était un homme bien, un homme intelligent. Je continue
à le penser aujourd’hui», s’est contenté de répondre Armstrong. « Je ne
suis pas à l’aise pour parler d’autres personnes. »
DES CONTRÔLES POSITIFS COUVERTS : « Jamais »
C’est une des accusations qui ébranlaient l’Union
cycliste internationale. Selon Tyler Hamilton, ancien coéquipier du Boss, Lance
Armstrong avait été contrôlé positif à l’EPO lors du Tour de Suisse 2001 mais
avait couvert l’affaire en donnant notamment 125.000 dollars à l’UCI. «Ce
n'est pas vrai. Il n'y a pas eu de contrôle positif, pas de paiement ou de
rencontre secrète avec le laboratoire. Cela n'est pas arrivé. Je ne suis pas un
fan de l'UCI mais il n'y a pas eu de contrôle positif à couvrir avec lui,
a-t-il répondu. Il y a eu une donation à l'UCI mais ce n'était pas pour
couvrir un contrôle positif. (…) Ils m’ont demandé de l’argent. J’étais retraité
(à l’époque du don, il était encore coureur, ndlr) et riche. Je me suis dit :
''Pourquoi pas ?'' » Le coureur explique qu’éviter les contrôles
positifs était seulement «une question de timing » : « A l’époque,
il n’y avait des contrôles que pendant les courses. Depuis, tout a changé avec
le passeport biologique et les contrôles hors compétition. » Ce qui
l’aurait poussé à rester propre pour son retour en 2009.
A. T.-C.
L'image du jour 18-01-2013 - Panda prend la pose
Un panda rouge prend la pose
Un panda rouge profite de son repas après l’examen médical de la vétérinaire Hanna Vielgrader et de sa gardienne Nicole Samek au zoo Schoenbrunn de Vienne. REUTERS/Herwig Prammer
17.1.13
Prise d'otages d'In Amenas: Pourquoi l’Algérie a choisi l'intervention rapide sans négociation
Entre six et trente-quatre otages tués, pour quatre libérés. Le bilan de l’assaut mené ce jeudi par l'armée algérienne sur le site gazier où sont retenus les otages de la katiba des Moulathamine est pour le moins déséquilibré. Et pose d’autant plus question quant au choix qui a été fait par l’Algérie de privilégier l’intervention armée par rapport à la négociation.
L’intervention peut en effet sembler hasardeuse aux Français, qui n’ont pas l’habitude de ce «schéma tactique». «La France privilégie la négociation car elle a beaucoup d’avantages», explique Christophe Caupenne, ancien chef négociateur du Raid. «Elle permet de gagner du temps, ce qui peut amener à émousser la détermination de certains membres du groupes terroriste, ou casser la cohésion de ce groupe. Cela permet également d’obtenir un grand nombre de renseignements pour améliorer le plan d’intervention. Et bien entendu parce que cela permet parfois d’obtenir une résolution pacifique de la situation.»
«Il fallait absolument circonscrire les otages sur le site»
A l’inverse, l’Algérie a choisi l’intervention rapide, sans aucune négociation. Pour Jean-Luc Marret, maître de recherche à la Fondation pour la Recherche stratégique et spécialiste du terrorisme, «cette utilisation des moyens militaires pour gérer cette prise d’otages démontre que l’Algérie n’a pas de forces compétentes en matière de contre-terrorisme, comme le Raid ou le GIGN».
Il rappelle ainsi la pression mise par la France sur l’Algérie lors de la prise d’otages de l’Airbus d’Air France à Alger en 1994 pour qu’elle autorise l’avion à décoller et à se poser à l’aéroport de Marseille (Bouches-du-Rhône). «On savait déjà que les forces algériennes n’étaient pas compétentes en la matière. Ici, nous étions dans le même cas de figure, or on ne fait pas décoller aussi facilement un complexe gazier», explique-t-il.
Christophe Caupenne a une vision plus nuancée. «L’Algérie se trouvait face un dilemme. La première chose à faire dans le cas d’une prise d’otages, c’est de s’assurer que les otages ne soient pas éparpillés sur plusieurs sites, parce qu’alors il est beaucoup plus compliqué d’intervenir.» Or, c’est ce que les terroristes semblaient prêts à faire. «Il fallait absolument les circonscrire sur le site. Ils ont donc dû lancer l’assaut dans de mauvaises conditions, sans avoir eu beaucoup de temps pour se préparer.»
Des conditions particulières
De plus, la prise d’otages se déroule dans un lieu particulier, avec des conditions spéciales, souligne Christophe Caupenne. Il ne s’agissait pas d’une intervention en milieu urbain -ce à quoi sont habituées les forces spéciales algériennes entraînées pour les prises d’otages- mais dans le désert, et qui plus est sur un site gazier, très sensible. «Pour pouvoir les faire intervenir, il aurait fallu une infiltration de longue date, donc de longues négociations.» Or, dans ce genre de situation, il faut compter avec l’implication du politique, et l’Etat algérien a une posture de fermeté par rapport aux terroristes et ne négocie jamais.
«Nombre de pays ont dû proposer leur aide pour cette intervention, sachant que leurs compatriotes étaient retenus en otages, mais l’Etat algérien est souverain», rappelle Christophe Caupenne. Une source diplomatique à l’Elysée a en effet confirmé ce jeudi à 20 Minutes, sans faire de commentaire sur l’assaut, que «cela se passe sur le territoire algérien, cela relève donc de l’entière souveraineté algérienne», et que «chaque Etat confronté à une attaque terroriste réagit comme il le peut à la menace».
Bérénice Dubuc
20 MINUTES
16.1.13
Lance Armstrong - le tricheur!
Mali - "La charia s'applique à tous, y compris nos propres combattants"
Sur la place du marché de Tombouctou, des porteurs bousculent des passants. Des vendeuses de légumes marchandent avec des clients. Des bouchers exposent leur viande sur des étals envahis par les mouches. Dans les rues, des motos cèdent le passage aux camions, tandis que des gamins, pieds nus, tapent dans un ballon de fortune. Soudain, un convoi de véhicules surmontés d'armes lourdes traverse la place pour disparaître en direction de la sortie orientale de la ville. Le convoi s'arrête pour encercler une vaste cuvette de sable mou, grande comme deux ou trois terrains de foot. En quelques minutes, une foule immense envahit la place, puis une voix relayée par un haut-parleur s'adresse au public. "C'est la charia, c'est la loi d'Allah", répète plusieurs fois l'homme au micro.
Encadré par trois ou quatre gardes, un homme au teint clair, au crâne dégarni et à la barbe fournie, sort d'un tout-terrain qui vient d'arriver au milieu de la cuvette. C'est Moussa Ag Mohamed, un éleveur touareg de 40 ans originaire de Goundam, petite ville située à 90 km au sud-ouest de Tombouctou. Ce père de quatre enfants est le premier condamné à mort dans le cadre de l'application de la charia par le mouvement Ansar Dine (les défenseurs de la religion), un des groupes jihadistes qui contrôlent le nord du Mali.
Aidé par ses gardes, Moussa, pieds et mains liés, avance en titubant. On lui ôte ses liens. Le temps d'une dernière prière, d'une dernière larme aussi. L'homme se met à genoux. Venue de derrière lui, une balle lui perce le coeur, traverse le torse, puis meurt dans le sable, juste devant ses yeux. De puissants "Allah Akbar" retentissent, tandis qu'un filet de sang coule lentement sur sa poitrine. Moussa se couche, se relève, se recouche, murmure quelques mots. On devine qu'il demande à être achevé. Une seconde balle le jette définitivement sur le sable tiède.
"Il a tué mon fils, il doit être tué"
Jugé par un tribunal islamique, il venait d'être reconnu coupable du meurtre d'un pêcheur noir de la communauté des Bozos, suite à un incident provoqué par ses vaches, qui avaient abîmé les filets de sa victime. Selon les préceptes de la charia, Moussa, lui-même membre d'Ansar Dine, n'avait aucune chance de sauver sa tête : la famille de la victime ne lui a pas accordé son pardon, ni n'a accepté les 30 millions de francs CFA (45 000 euros environ) que ses proches ont proposés en guise de diya, c'est-à-dire le prix du sang prévu par la charia. "Il a tué mon fils, il doit être tué", confie sèchement la mère du pêcheur, voilée dans un boubou aux couleurs vives et contemplant le corps immobile du Touareg. Voulait-elle s'assurer qu'il était bien mort ? Sans doute.
Au Mali, comme dans la plupart des pays du pourtour du Sahara, le sceau de la méfiance est le marqueur principal des rapports entre sédentaires noirs et nomades au "teint clair" ou "peau rouge", c'est-à-dire des Touaregs et des Arabes. Et ces derniers étant dominants au sein des groupes islamistes qui contrôlent le nord du pays, leurs actes sont souvent perçus avec suspicion parmi les populations noires. Plusieurs jours après la mise à mort du berger touareg, dans certains milieux noirs de la ville, on mettait encore en doute son exécution. "Il n'a pas bougé quand ils ont tiré la première balle, puis il s'est relevé. C'est quand même bizarre", s'étonnait, par exemple, derrière son comptoir, Baba, un commerçant songhaï, la principale ethnie noire du nord du Mali. "Vous avez été à son enterrement ?", demandait Yahya, un lycéen, installé au "grain", ce petit coin de rue où les jeunes Maliens aiment se retrouver entre amis.
Les ordres de Dieu ne se discutent pas
"La charia s'applique à tout le monde, Noirs ou Blancs, y compris nos propres combattants", explique Sanda Ould Bouamama, porte-parole d'Ansar Dine, faisant allusion à la "filiation" islamiste du Touareg exécuté. Selon la tradition musulmane, c'est sa famille qui devait l'enterrer. Mais celle-ci n'a pas souhaité le faire. Restée à Goundam, elle n'avait pas assisté à son procès. Moussa a donc été enterré par les islamistes eux-mêmes. C'était le lendemain de son exécution. Tôt le matin, à l'aube, juste après la première prière du jour, sa dépouille, drapée dans un linceul blanc, avait été amenée dans une mosquée de la ville pour la traditionnelle salat al-janaza,la prière du mort. Des dizaines de croyants étaient présents. Tous ou presque étaient des djihadistes. "C'était trop fort", dit Al Mouataz Billah, un combattant islamiste revenant du cimetière. "C'était trop dur", ajoute Abou Jendel, son compagnon. "Je n'ai presque pas dormi de la nuit", complète un autre.
Entre yeux embrumés et voix enrouées, le trio avoue qu'il aurait bien souhaité voir le Touareg épargné. Et si l'un d'entre eux avait été désigné au peloton d'exécution ? Auraient-ils désobéi aux ordres ? Certainement pas. "La charia est une obligation divine et elle s'impose à tout musulman. C'est une fierté pour tout croyant sincère de participer à son application", explique l'imam Daouda Cissé, membre du tribunal islamique qui a prononcé la condamnation du berger touareg. Lui aussi dit qu'il aurait bien voulu voir Moussa sauvé. "Même s'il prévoit la peine de mort, l'islam recommande aussi le pardon. Mais la famille de la victime a refusé de pardonner. Et c'était son droit. Ce n'est donc pas nous qui avons décidé de tuer cet homme. C'est Dieu qui nous l'a imposé et les ordres de Dieu ne se discutent pas", dit le religieux.
Lemine Ould M. Salem
COURRIER INTERNATIONAL
Cuba • Choléra à La Havane : les autorités confirment l'épidémie
Depuis plusieurs jours, une épidémie de choléra survient dans la capitale cubaine - Nathan Laurell/FlickR/CC |
Le gouvernement cubain a confirmé officiellement la présence du bacille du choléra à La Havane, avec 51 cas déclarés, et exhorté la population à prendre des mesures d'hygiène pour stopper la propagation de l'épidémie. Le communiqué du ministère de la Santé a été rendu public mardi 15 janvier.
Mais de nombreux médias, tels le site Internet Café Fuerte, ou des journalistes indépendants avaient lancé une alerte dès le 9 janvier à propos de ce début d'épidémie, citant des sources de la Direction provinciale de la santé à La Havane et rapportant la distribution d'antibiotiques dans les quartiers de la capitale concernés. Officiellement, le ministère de la Santé ne fait état d'aucun décès.
Mais de nombreux médias, tels le site Internet Café Fuerte, ou des journalistes indépendants avaient lancé une alerte dès le 9 janvier à propos de ce début d'épidémie, citant des sources de la Direction provinciale de la santé à La Havane et rapportant la distribution d'antibiotiques dans les quartiers de la capitale concernés. Officiellement, le ministère de la Santé ne fait état d'aucun décès.
COURRIER INTERNATIONAL
L'image du jour - 16-01-2013
Deux hommes travaillent les finitions d’une sculpture sur neige en Chine
Images du Monde - Grèce
Des touristes affrontent une tempête de neige sur la colline de l'Acropole, à Athènes, le 8 janvier.
Images du Monde - Allemagne
Michael Dalder/REUTERS
Images du Monde - Nicaragua
Oswaldo Rivas/REUTERS
15.1.13
Le carnage continue: Plus de 82 morts dans une attaque à l'université d'Alep - Video
Il n'était pas possible de déterminer avec certitude l'origine des explosions ou ses responsables, rébellion et pouvoir s'en rejetant la responsabilité.
"Le bilan de l'attentat terroriste qui a visé nos étudiants s'élève à 82 martyrs et plus de 160 blessés", a dit le gouverneur Mohammad Wahid Akkad, reprenant la terminologie des autorités qui n'ont jamais reconnu l'ampleur de la contestation et accusent les rebelles de "terroristes".
Le bilan a été confirmé par un médecin à l'hôpital universitaire d'Alep.
L'Observatoire syrien des droits de l'homme (OSDH) a en soirée fait état d'au moins 83 morts en précisant que les "martyrs sont des étudiants et des déplacés" qui ont trouvé refuge à l'université après avoir fui les combats.
Deux roquettes
Des vidéos postées par des étudiants montrent la panique dans un bâtiment universitaire. Certains pleurent, tandis que des vitres brisées et des parties du plafond effondrées jonchent le sol. Des étudiants s'approchent de la porte d'entrée, mais quelqu'un leur crie de rester à l'intérieur.
Selon des militants anti-régime, l'attaque est due à un raid aérien mené par les troupes du régime, mais une source militaire syrienne a assuré qu'elle avait été provoquée par deux missiles sol-air tirés par les rebelles et qui ont raté leur cible en tombant sur le campus.
L'agence officielle Sana a fait état de "deux roquettes tirées par des terroristes" contre l'université située dans un secteur contrôlé par l'armée dans l'ouest d'Alep, la deuxième ville du pays où les rebelles contrôlent plusieurs quartiers.
"C'était le premier jour des examens trimestriels et des étudiants et des réfugiés font partie des victimes", a confirmé Sana.
TRIBUNE DE GENEVE
Images du Monde - Nigéria
Akintunde Akinleye/REUTERS
Images du Monde - Groenland: survie en territoire infini
Vincent Berthet et Alban Michon ont affronté les glaces du Groenland sur deux coques de noix. Pendant cinquante et un jours, les deux jeunes Français ont survécu, quelques centimètres au-dessus de l’eau, cernés par les monstres qui jouaient les casse-noix. Seuls la technique et le courage leur ont permis de réussir une première sur un continent où se sont illustrés d’autres Français célèbres dans le monde entier, Jean-Baptiste Charcot, Paul-Emile Victor, Jean Malaurie. Instant de calme exceptionnel, Alban et Vincent progressent à l'abri du vent, sur l'eau lisse d'un fjord.Photo Andy Parant
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