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L'image du jour - 02-05-2016 - 1er mai à Moscou

1er mai à Moscou




Une femme sympathisante du Parti communiste scande des slogans pendant un rassemblement du 1er mai à Moscou, avec un portrait du co-auteur du “Manifeste du Parti communiste”, Karl Marx, en arrière-fond. REUTERS/Sergei Karpukhin

1.5.16

Texto - Violência reprimida

Confesso que nunca adepto de incompreensão fui. Sou normalmente um ser calmo e, concerteza, anti-violento. Porém, às vezes, chegam-me à mente tão violentas ideias que, rapidamente fecho os olhos tratando de desviar o meu cérebro para sentimentos mais  risonhos.

Este é o meu jeito de viver. Não faço mal a ninguém e pretendo tão somente que me deixem viver em paz os últimos anos de vida! Mas é facto que, por vezes, me apetece ir torturando lentamente até à morte certas criaturas maléficas, fora da familia.

Poderia, vida inteira, continuar suprimindo idiotas; mas reconheço que tão ardil tarefa duraria, decerto e no mínimo, um milhão de anos-luz à escala humana; por isso me quero definitivamente remeter à minha pobre condição, poupando com amor, todos os que me ofenderam..

Mas não esqueçam nunca que sempre ajudei, apoiei, dei meu contributo à família; cometi faltas, sem dúvida, mas nunca foram intencionais; un erro infeliz nessa merda do facebook não pode servir de pretexto para que me condenem; quem não gostar não leia; quem não perceber Português que aprenda; Tentei sempre dar o meu contributo possível a todos e nunca esquecerei, o bem ou mal, tudo o que foi dito e feito.

Que dadores de lições - fora dos meus filhos Véro, Dan, Sophie et Mary, -  façam um trabalho exaustivo de introspecção e venham depois confrontar ideias. Verão que depois de simples reflexão, ficarão felizes de pertencerem à familia Mira !

Facebook c’est terminé. Quand vous voudrez me parler, mon téléphone c’est le 07.83.44.18.45

01 de Maio  de 2016

JoanMira


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Renaud - "Les mots" - Video - Musique

Renaud
"Les mots"

Texte - Souvenirs de jeunesse

Comme la vie passe vite au gré de tant d’imbéciles rencontrés au passage.

De mes souvenirs d’école il ne me reste qu'un seul marquant, parmi tant d’autres. Je ne sais dans quel Pays, école, époque, il y avait un élève délicat, intelligent, calme que tous appelaient la "fillette"… Je ne me souviens plus de son nom ; seul j’ai présent son souvenir de garçon délicat qui n’aimait pas trop se joindre aux jeux de brutes auxquels nous nous livrions quand nous en avions le temps, c’est-à-dire, constamment !

Je transportais ma petite sœur, Christine, à l’école des filles et, entre son domaine et le parvis de Saint-Vincent, j’entrais dans le beau et brutal royaume…

Les profs, Pène, Passicousset, Lataste, Guichemère distribuaient autant le savoir que les coups; ils étaient bons, "enseignaient" bien, parfois à grands coups de baffes arrivées le plus souvent en temps opportun.

Et, grandeur de la méthode, donnait, dans la plupart des cas, des résultats au-delà de toute espérance ! 

A la "récré" toute la frustration d’une vie familiale moins réussie se réglait et jouait là ! Entre deux cours à Saint-Vincent c’était  "Yo pour le Roi", une espèce de jeu de pelote stupidement adapté aux règles de "costauds"... Valait mieux être viril car il ne s’agissait pas simplement, au milieu de la confusion, de "chopper" la balle : encore fallait-il ne pas se la faire prendre par l’andouille immensément costaud et la probable "tabassée" qui pouvait s’en suivre..

Ce jeu, au demeurant intéressant, finissait invariablement par une bagarre générale interrompue par la sonnerie indiquant la fin de la " récréation"…

Comme je comprends, aujourd’hui, que la "fillette" ne voulût point se joindre à ce jeu "à la con"; si j’avais pu saisir à l’époque son idée, peut-être que je n’y aurais jamais participé…

La "fillette", (j’en ai marre je l’appellerai Jean désormais) subissait tous les sévices de cette virilité campagnarde, sans dire mot… je le comprenais mais ne m’empêchais pas de me placer du côté des " hommes";  J’ai un grand regret rétrospectif : ne pas m’être opposé à la bande de brutes dont je faisais partie…

Parfois, le mercredi surtout, nous nous aérions allant jouer au " ruby " du côté du Gond… Avec mes frêles 65 kilos, je ne faisais pas trop le poids ni le fier ; mais je jouais, quand-même, profitant de ma vitesse pour éviter l’affrontement; souvent cela marchait.

Mais un jour, en pleine vitesse, sur un terrain very boueux, après quelques feintes de passe, regardant à gauche et à droite, me suis-je venu empaler sur un « mamouth » qui, (d’après Jean qui assistait au spectacle), traînait à cet endroit, immobile depuis pas mal de temps, dans l’espoir d’attraper la brêle qui se présenterait ! Et le le coup de corne fut si rude que j’ai dû reculer de beaucoup de mètres… Lui s'est cassé un bras...

Mais, dans l’enthousiasme de la narration, j’ai complètement oublié le pourquoi de ce post… 

Si je ne suis pas éternel, du moins j’ai quelque peu vécu.

Ma vie (mes vies) a été passionnante. Je souhaite la même à tous ceux qui me survivront !

Un jour vous lirez ces quelques mots – le plus tard possible – et vous penserez, des étoiles dans les yeux : c’était vraiment un sacré man !

Bordeaux, le 30 avril 2016.

JoanMira