Nombre total de pages vues

4.9.12

Photo - Sculpture géante dans la baie de Botafogo (Brésil)

Une sculpture du nom de Awilda dans la baie de Botafogo à Rio de Janeiro le 3 septembre. Mesurant 12m de haut, elle est l'oeuvre de l'espagnol Jaume Plensa réalisée dans le cadre du projet «OIR» (Others Ideas for Rio) auquel participent de nombreux artistes qui occuperont divers espaces publics de la ville.

Une sculpture du nom de Awilda dans la baie de Botafogo à Rio de Janeiro le 3 septembre. Mesurant 12m de haut, elle est l'oeuvre de l'espagnol Jaume Plensa réalisée dans le cadre du projet «OIR» (Others Ideas for Rio) auquel participent de nombreux artistes qui occuperont divers espaces publics de la ville.

Elections: Opération charme à Québec

marois

Pauline Marois passe sa dernière journée de campagne à Québec lundi pour courtiser les électeurs de la région où elle reconnaît que son parti tire de l’arrière.
La chef péquiste a pris un bain de foule à Cap Rouge, près de la plage Jacques-Cartier ce matin et a appelé les gens de la ville à choisir son parti.
« J’ai besoin que la région de Québec soit bien représentée au gouvernement », a-t-elle dit en point de presse.
Mme Marois avait appelé ses militants quelques minutes plus tôt à redoubler d’ardeur pour convaincre les indécis d’appuyer le PQ.
« Il ne s’agit pas de se raconter des histoires entre nous, c’est un petit peu plus difficile pour Québec », a-t-elle reconnu.
Mme Marois s’explique mal comment il se fait que son parti peine à grimper dans les intentions de vote à Québec alors que son parti a défendu bec et ongles le projet de loi 204 sur l’amphithéâtre.
Elle a insisté sur le fait qu’elle formerait un gouvernement responsable, un message visant les électeurs de la région séduits par le ménage proposé par le Coalition avenir Québec qui mène dans les intentions de vote dans la région.
« Nous sommes préparés à gouverner dès le lendemain du vote », a-t-elle indiqué.
Le PQ est troisième derrière les libéraux dans la région selon les plus récents sondages.
Mme Marois a pu compter ce matin sur la présence de sa mère de 85 ans, Marie-Paule Gingras. La visite surprise de cette dernière a ému Mme Marois qui l’a remerciée pour son héritage et ses bons gènes qui lui ont permis de rester en forme pendant toute la campagne.
Le vote étudiant
Mme Marois a continué de faire campagne lundi en compagnie de son candidat-vedette et ancien leader étudiant, Léo Bureau-Blouin afin de mousser le vote étudiant.
« Je veux envoyer un message très clair à tous les jeunes Québécois d’aller voter, qu’ils soient étudiants ou qu’ils ne le soient pas », a insisté la chef péquiste.
« C’est un message très fort que j’envoie par sa présence à mes côtés hier et aujourd’hui », a-t-elle ajouté.
LE JOURNAL DE QUEBEC

Texte: "Flipper & Juke-Box"


FLIPPER ET JUKE-BOX

 

Arrête de déconner Jimmy.
Faut débarrasser l’esplanade.
Sûr, il n’est que quatre heures
Du mat, mais Régis veut fermer.

 
 
Attends, je vais mettre de la tune
Dans le juke-box : veux encore
L’écouter, Ray Charles… Et puis,
Boire encore boire un coup…

 

Tu me suis ? Allez, on s’en jette
Un dernier ; fait chaud, nom de dieu
Messieurs, on ferme, tonne la voix
Du patron… Jimmy lui a cassé la tête.

Faut pas l’énerver le Jimmy, tout
Maigre et pâlichon il en a maté d’autres...
..Couchés sur le trottoir, nous pansons nos
Plaies au son de « In the heat of the night »…

Andorre, 26 novembre 2011
 
JOANMIRA

26.7.12

Reprise du blog

Ok; nous nous rendons à ...l'évidence!
 
Devant les réactions de bien des suiveurs de ce blog regrettant son arrêt, il ne nous reste comme alternative que de  poursuivre cette joyeuse aventure, en reprennant, dès maintenant ce que nous avions cru pouvoir délaisser.
 
Nous le faisons avec la joie et la force que nous ont transmis vos encouragements.
 
Nous le faisons, aussi, en vous remerciant vivement de votre fidélité.
 
Croyez que je vous sais gré d'accorder quelque importance à ces petits écrits sans prétention et à la sélection de textes qui font l'actualité.
 
Merci encore...

JOANMIRA

Attentat du 18 juillet à Damas: La thèse d'une manipulation émerge


Un panache de fumée s'élève au dessus de Damas, après l'attentat qui a tué quatre hauts responsables syriens, mercredi 18 juillet

SYRIE - Plusieurs opposants y voient une mise en scène du pouvoir...A qui profite le crime? Alors qu’il ne s’agissait que d’une rumeur, plusieurs opposants au régime syrien y voit désormais une théorie, jugée comme crédible par plusieurs d’entre eux. Cette hypothèse, relayée par Le Monde ce mercredi, concerne l’attentat survenu le 18 juillet à Damas, dans lequel une partie de l’appareil sécuritaire syrien a été tué.
D’après ces opposants, c’est du côté du pouvoir en place qu’il faudrait chercher les responsables de cet attaque. Et non pas du côté de l’Armée syrienne libre (ASL). Selon cette hypothèse, la dictature syrienne aurait en effet cherché à maquiller la mort de ses membres, soupçonnés d’avoir envisager se rallier à l’opposition, détaille Le Monde.
«Idéal pour mener un conflit militaire de long terme»
Le quotidien cite notamment Ayman Abdel Nour, le patron du site d'informations All4Syria, qui assure que le régime aurait «préféré prendre le risque que leur disparition ne démoralise l'armée plutôt que d'être poignardé dans le dos».
Selon Haytham Al-Manna, le chef du Comité de coordination pour le changement démocratique, installé à Paris, cité également par Le Monde, la disparition des quatre hauts responsables ferait même l'affaire du régime, en ce qu'elle le resserre sur «un noyau dur, mû par un esprit de corps, idéal pour mener un conflit militaire de long terme, à l'algérienne».